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Je ne suis plus vierge. A 25 ans. Miracle ou grosse boulette ? Sa requête m’avait un peu étonnée par contre. On s’était sans doute croisés dans les couloirs, bien que sa tête ne me dise absolument rien. A part les gens de la Mather, je ne fais pas trop attention aux autres. Ceci dit, il a des yeux bleus qui m’ont fait regretter de ne pas l’avoir connu plus tôt ! Et voilà qu’aujourd’hui, il m’avait abordé alors que j’allais partir au travail. Il m’a demandé de le suivre, et, naïve et innocente que je suis, je l’ai suivi. J’avais marqué l’arrêt devant le bâtiment de la Eliot House ; mon dernier souvenir dans cet endroit a été quand j’ai été prise la main dans le sac par une Eliot dont je devais mettre à sac la chambre pour mon bizutage. Mais Marc m’avait pris la main, et traîné derrière lui. De nouveau, je ne lui avais opposé aucune résistance. Après tout, la situation était bien différente si c’était lui qui m’emmenait. Mais j’allais être en retard au travail s’il continuait. Quand il avait ouvert la porte de sa chambre, j’avais reculé instinctivement, mais il avait été plus rapide, m’avait tiré à l’intérieur et fermé la porte derrière nous. Il m’avait plus ou moins sauté dessus peu après. Et je devais dire que c’était plutôt agréable. Je me sentais étrangement bien. D’habitude, je n’aime pas quand tout tourne autour de moi, mais ç’avait été une bonne expérience. Et c’était tout. Juste une expérience. Il n’y avait eu aucun sentiment, juste des pulsions à assouvir. J’étais restée assez passive, ne sachant absolument pas quoi faire. Il n’avait pas eu la patience de m’apprendre pour notre première fois.
Maintenant, je suis repliée en position fœtale sous les draps, le nez dans le torse de Marc. Il sent bon. Ses bras autour de mon corps nu me promettent la sécurité. Mais j’ai mal dans le bas-ventre maintenant. Et mon patron a essayé de me joindre à trois reprises : j’ai entendu mon portable vibrer et il n’y avait bien que lui pour m’appeler. Je cale ma respiration sur celle de Marc et ferme les yeux. Une question me trotte dans la tête : pourquoi ? Ou plus exactement, pourquoi moi, ici, chez les Eliot ? Et aussi soudainement ? Ca pue le coup fourré maintenant que je peux y réfléchir. Mais ce qui est fait est fait, et au point où j’en suis, autant jouer la cruche jusqu’au bout.
-Dis, je ne suis pas la première fille que tu emmènes aussi haut, si ? Parce que j’ai eu l’impression que tu savais vraiment bien t’y prendre. Alors que moi… Pas tellement. Pourquoi être venu aussi soudainement vers moi ?
Maintenant, je suis repliée en position fœtale sous les draps, le nez dans le torse de Marc. Il sent bon. Ses bras autour de mon corps nu me promettent la sécurité. Mais j’ai mal dans le bas-ventre maintenant. Et mon patron a essayé de me joindre à trois reprises : j’ai entendu mon portable vibrer et il n’y avait bien que lui pour m’appeler. Je cale ma respiration sur celle de Marc et ferme les yeux. Une question me trotte dans la tête : pourquoi ? Ou plus exactement, pourquoi moi, ici, chez les Eliot ? Et aussi soudainement ? Ca pue le coup fourré maintenant que je peux y réfléchir. Mais ce qui est fait est fait, et au point où j’en suis, autant jouer la cruche jusqu’au bout.
-Dis, je ne suis pas la première fille que tu emmènes aussi haut, si ? Parce que j’ai eu l’impression que tu savais vraiment bien t’y prendre. Alors que moi… Pas tellement. Pourquoi être venu aussi soudainement vers moi ?
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