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Waela ¤ Soixante mille dollars la danse.

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Se retrouver! Le bal… J’avais eu hâte de m’y rendre. J’avais eu envie d’y danser, de m’y souler, de m’amuser, de rire, d’y retrouver mes collègues de promo, mes soeurs à la Cabot. Le bal devait être la soirée du siècle et de toute évidence, je ne l’oublierai pas. Mais pas pour les raisons que je pensées. La forêt enchantée s’était transformée en forêt de l’horreur. Et c’était en partie ma faute. J’avais choisi d’ouvertement provoquer Olive, chose que la demoiselle n’avait pas appréciée, bien entendu. Sauf que je n’avais pas prévu de ressembler à une folle sur laquelle un chat en chaleur se serait défoulé. J’avais passé près de vingt minutes dans les toilettes à panser mes blessures, pestant toute seule, riant parfois. Et pourquoi je riais, ce mystère n’était pas encore résolu, mais j’avais une hypothèse qui me semblait improbable. J’avais par mégarde avalé un comprimé d’ecstasy plutôt que ma pilule contraceptive. Ce n’était pas impossible. Cela n’expliquait pas mes hallucinations mais qu’importe. Je m’étais – sans doute inutilement – fais vomir. Je ne me sentais pas vraiment mieux. Juste plus faible…
En sortant des toilettes, j’étais allée me servir une assiette au buffet bar et enfin je m’étais mise à la recherche de mon cavalier, m’arrêtant et parlant au passage avec ceux qui méritait mon attention. J’avais fini, par entendre la conversation d’étudiants qui parlait d’une bagarre et du fait qu’un étudiant avait été renvoyé. ‘’ Il a frappé le président des mathers. ‘’ avais-je entendu en me doutant qu’ils s’agissaient de Warren.
Plusieurs minutes plus tard, je quittais le gymnase où la musique m’aurait empêché d’entendre ses réponses. Je prenais mon portable et appelait mon sexy cavalier. Après deux tonalités. « Tu serais pas parti sans me dire au revoir quand même. » lançais-je d’une voix taquine. Je me doutais que la soirée n’avait pas été de tout repos pour lui non plus. Il voulait probablement être seul. Peut-être même était-il déjà rentré à la winthrop. Après sa réponse je demandais timidement «  Je peux te rejoindre ? »

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Dans ta bulle, tu planes. Maintenant seul, car tu n'es qu'un con qui ne sait pas contenir ses pulsions colériques, tu as la tête dans de noirs nuages, et tu t'insultes mentalement suite aux enchaînements pires les uns sur les autres de la soirée. Après le désastre avec Olive, après avoir tapé un mec qui ne le méritait pas, après avoir reçu un mot anonyme, puis dansé avec Zoya, sur qui tu as découvert de sombres secrets, après avoir dansé avec Marloes, suite à ta baston horrible avec Alexander... tu te retrouves maintenant seul et... anéanti. Il n'y a que lorsque tu es seul que tu réalises l'ampleur de tes gestes, l'ampleur de ce qui t'arrive, aussi. T'as envie de chialer, mais tu te retiens. Ce n'est pas digne d'un vrai homme. T'as presque menacé un mec qui passait par là avec sa cavalière pour qu'il te file et t'allume une cigarette, que tu vas déguster jusqu'à la toute fin, jusqu'à ce qu'elle ne soit plus que cendres... Ta soirée est horrible, tu as juste envie de crever, encore. Mais tu reçois un coup de fil qui te réveille de tes doux cauchemars... « Tu serais pas parti sans me dire au revoir quand même. » Putain. C'est la voix de Mickaela. Tu l'avais complètement oubliée, bien que ce ne soit pas volontaire. Tu avais seulement traversé trop de trucs au cours de la soirée pour penser à tout... "Bien sûr que non.. Mais je peux pas repointer l'bout de mon nez dans le gym.", maugrées-tu entre tes dents en tirant une taffe de ta clope. « Je peux te rejoindre ? » Tu hoches la tête - bien qu'elle ne te vois pas. 'Ouais.. Ouais, bien sûr. J'suis à l'entrée du gym, dehors.. Vers la gauche, y'a une espèce de cour arrière extérieure avec plein de plantes. J'suis caché là.. Tu comprends mes indications ou j'viens te chercher?", demandes-tu dans un semi-rire, attendant patiemment son arrivée..
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Se retrouver! La voix de Warren le fit immédiatement sourire. J'écoutai ses instructions, tout en me dirigeant vers le lieu qu'il m'indiquait. J'avais supposé à sa voix qu'il s'en voulait de ne pas avoir pensé à me prévenir de son départ. Dans mes mains je tenais toujours quelques tartelettes et amuse bouche que j'avais pris sur le buffet. En pensant qu'il serait bon pour moi de manger après ce que je m'étais infligée dans les toilettes. D'ailleurs je ne me sentais guère mieux. Ma tête tournait toujours, un fin brouillard me troublait la vue, j'étais mal et je ne savais pas pourquoi. " Je devrais me débrouiller..." avais-je répondu en riant. " La cour extérieur... Des plantes." répétais-je avant de l'apercevoir.
Un sourire se dessinait sur mes lèvres. Je montrais l'assiette que j'avais préparée pour nous. " Une petite douc... Merde ! m'interrompais-je en le voyant. Je me mordais la lèvre, dire que j'avais presque oublié qu'il s'était battu. " Ca va ? " demandais-je en déposant ce que je tenais en main.
Je m'étais rapprochée de lui et avais posé sa main sur son bras. J'avais hésité à lui poser la question, peut-être ne voudrait-il tout simplement pas lui répondre. Et puis quelle question lui avais-je posée. Comment cela pouvait-il aller ? Comment, avec tout ce qu'il avait appris ces derniers jours.
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À vrai dire, tu réfléchissais à tout ça. Est-ce que les bals étaient si mouvementés, d'année en année, ou bien...? Tout ça t'effrayait. Tu te détestais, aussi. Tu détestais Olive. Tu détestais Alexander. Et ce serveur qui t'avait apporté le message anonyme. Et tu te détestais encore une fois. T'avais provoqué et cherché la merde toute la soirée. Jamais, jamais tu n'aurais dû venir ici.. Non, jamais. Tu te dégoûtes. Que vas-tu faire, ce soir? Où vas-tu aller? À quoi vas-tu ressembler, demain matin? Dans quel état seras-tu? Pitoyable, c'est clair. Comme maintenant. " Une petite douc... Merde ! C'est là que tu entends la voix de ta cavalière. Elle n'a rien de mauvais, la Mickaela. Enfin, si les autres ne l'aiment pas, toi tu l'aimes bien, vraiment. T'es en train de fumer ta cigarette, lorsqu'elle te voit en si mauvais état - bien que ce soit tellement moins pire que lorsque tu étais avec Marloes, un peu plus tôt. Mecky laisse toute l'assiette par terre et se penche vers toi. Son contact t'apaise. Tout de calme t'apaise, ce soir. T'es con. Tu lui souris en coin. " Ca va ? " Encore ce sourire. Tu jettes un coup d'oeil à l'assiette. Miam. T'étais affamé. "Beaucoup mieux, j'te jure. Et toi.. la fourchette? J'espère que ça fait moins mal. J'suis désolé de t'avoir embarquée dans un cirque pareil." Sincèrement, tu en voulais à Olive pour ce qu'elle avait pu faire à Mecky. Tu poses tes yeux sur sa poitrine encore toute rougie. Mon dieu, ça devait brûler..
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Trois fois rien… Warren minimisait ce qui lui était arriver. Au fond de moi, je savais que ce n'était pas : Rien. Comme il voulait bien me le faire croire. Au fond de moi, je savais que ça n'allait pas mieux. Je savais aussi que c'était l'impression que laissais l'alcool qu'il avait bu. Ces boissons permettaient d'oublier bien des choses... Pour ma part, j'étais passé à une toute autre catégorie d'amnésiant. Vous savez cette fine poudre, illégalement vendu et affreusement chère dont on devenait vite dépendant. Je me plaisais à croire que je pouvais m'en passer, mais là encore, je savais que c'était faux.
* Eh bien... Tu en sais des choses * se moquait ma conscience. Je secouais la tête comme pour la faire taire et souriais faiblement à mon cavalier.
Ce dernier me retournait d'ailleurs la question, je fronçais les sourcils lorsqu'il évoqua la fourchette, le regardant l'air de dire. * Mais de quoi tu parles* Lorsque ses yeux se baissèrent sur ma poitrine je l'imitais et finis par rire. " Oh ça ! " je riais de bon coeur et haussais une épaule. "C'était une fourchette. Ah ben je comprends mieux." ajoutais-je riant toujours. Je terminais en lui souriant pour le rassurer. Il s'inquiétait vraiment pour moi là ? C'était adorable. Avait-il conscience qu'il n'était pas forcé de faire preuve d'autant d'attention pour que j'accepte d'être sienne cette nuit ? A moins que cela soit son caractère... C'est rien... T'inquiète. Je ne suis pas en porcelaine. Voilà ce que je pensais lui répondre. Voilà ce que je lui aurais sans doute répondu s'il n'avait pas été si sexy. Je faisais une petite moue boudeuse. "Un baiser magique devrait calmer la douleur." affirmais-je. Je me rapprochais à nouveau de lui, laissant pourtant cette fois quelques centimètres en ses lèvres et les miennes. J'étais collé à son torse, je sentais son souffle sur moi.
Je me mordais alors sensuellement la lèvres inférieurs en soupirant profondément comme pour résister à la tentation. *Recule Mecky ! * m'ordonnais-je sans bouger d'un cil. Je lui murmurais plutôt. Tu vois... Là par exemple, ça va déjà beaucoup mieux. terminais-je avec un sourire.
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C'était trois fois rien, c'que t'avais au visage. Ça ne te rappelait que mieux encore qu'Olive avait bel et bien eu un autre amant, et que ce n'était pas qu'un mauvais rêve. Ça ne faisait qu'accentuer, nourrir ta colère, ton besoin de vengeance, ou de compréhension, p'têtre bien. Et chaque fois que tu serrais les poings, t'en oubliais la douleur que tu pouvais ressentir. Celle à ton coeur était bien plus forte, plus puissante, que celle de ton corps. Demain, ce serait peut-être autre chose, qui sait. " Oh ça ! " Tu la vois rire, ce qui a le don de te rassurer, quand même. "C'était une fourchette. Ah ben je comprends mieux." Tu lui souris faiblement, presque timidement, en te repassant la scène horrible, en tête. Olive qui sautait à la gorge de ta cavalière pour la griffer sauvagement de sa fourchette, lui arrachant quelques morceaux de peau au passage. Elle était rougie par le sang qu'elle avait dû nettoyer, en fait.. "Un baiser magique devrait calmer la douleur." Ça moue boudeuse et son air provocateur te font afficher un sourire qui l'est tout autant. Elle est joueuse, ta cavalière. Tu l'avais tout de suite remarqué, lors de la vente aux enchères. Comme pour prouver ce que tu penses, elle se rapproche dangereusement de toi, son visage se retrouvant à quelques centimètres du tien. Avec Zoya, avec Marloes, tu n'avais pas pu. Mais avec Mecky.. c'était zéro engagement, tu le sentais. Et c'était une fille bien, que t'appréciais quand même, sans même trop la connaître. Elle soupire si fort que ça te réveille, encore endormi et gelé par l'alcool, quelques instants plus tôt. Tu souris en coin. "T'es certaine, que ça va mieux? Parce que..." Et comme elle est collée contre toi, tu penches ton visage pour te retrouver avec, sous les yeux, sa poitrine, dissimulée bien sûr par sa robe. Et pourtant, son décolleté prononcé te donne terriblement envie. Tu y déposes tes lèvres, déposant ici et là quelques chauds baisers. Tu relèves la tête en te mordillant la lèvre. "Parce que ça me semble douloureux..", murmures-tu en passant tes doigts autour, lentement, des blessures.. "Là, ça va mieux...?"
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Se retrouver! Finalement, Warren se mettait à jouer lui aussi. Leur regard se croisait et l’instant d’après il baissait les yeux sur mon décolleté. Pour mon plus grand plaisir bien sur. Après tout j’avais acheté cette robe pour lui, dans le seul but qu’il puisse mieux apprécier ma plastique. Et là, ce soir, face à lui, je me doutais – je savais – qu’il aimait ce qu’il  voyait, je supposais – et j’espérais – ce qui allait suivre. Dès mon arrivée au bal, je n’avais attendu que le moment où je pourrais enfin être seule avec lui. Car, après tout, je l’avais pas gagné ce droit, de profiter pleinement d’une soirée en charmante compagnie. Et quelle plus charmante compagnie que la sienne. J’ignorais bien au départ qui était ce bellâtre sur lequel j’avais allègrement misé à la vente aux enchères. Une vente aux enchères organisées par les Winthrop, où je m’étais rendue dans le but de me distraire et aussi, peut-être payé pour passer du temps avec Umberto. Tout ceci avant de me laissé prendre au jeu, de miser sur ce corps de rêve ; chose qui n’avait pas plus à sa femme, femme qui avait eu des propos qui ne m’avait pas plus non plus et hop : embrouille. Alors bien sur même si j’avais tout de même « gagné » Warren, l’échange avec son épouse m’avait laissé une envie grandissante de vengeance dont je m’étais délectée ce soir en allant littéralement me jeter sur les lèvres du jeune homme. Un baiser qui avait à nouveau fait sortir de ses gongs sa dulcinée, et comme je pouvais la comprendre.
Je me remémorais aisément le goût de ses lèvres, chaudes, douces et sucrés. Je me remémorais aussi son goût, partagé entre les cocktails qu’il avait avalé et celui des cigarettes qu’il avait fumé. J’avais été d’autant plus étonné qu’il répondu avec autant de fougue à ce baiser ; un baiser dont je m’étais délectée et dont espérait ardemment les répliques.
Warren déposait finalement ses lèvres sur ma poitrine, tandis que j’oublier comment respirer tout en me mordant la lèvre. Hormones et sens étaient en ébullition. Mon corps tout entier semblait s’éveiller d’une longue léthargie. Alors que le jeune homme relevait les yeux vers moi, je me forçais à retrouver l’usage de mes poumons, libérais sensuellement dans un même geste ma lèvres inférieur que ma canine avait emprisonné et demeurant ainsi, parfaitement immobile, comme si j’avais besoin de reprendre mes esprits. Mes yeux se perdaient un instant dans les siens, ma bouche était légèrement entre ouverte et l’air chaud de ma respiration tremblante s’en échappait. Mon regard allait ensuite se balader sur sa chemise que je mourrais d’envie de déboutonner pour mieux aller caresser son torse. Torse que j’avais vu nu lors de cette vente aux enchères, mes yeux s’aventurèrent ensuite jusqu’à sa ceinture que mon esprit s’imagina faire sauter pour mieux pouvoir le taquiner. * Mecky allons ! Reprends toi * me rappelais-je à l’ordre alors que je me mettais ensuite à rougir violemment. Un sourire se dessinait finalement sur mes lèvres. « … Et si jamais ça n’allait pas mieux ? » lâchais-je dans un souffle. « Tu ferais quoi ? » avais-je ensuite demandé dans un murmure.  
Etais-je en train de le tester ? Doutais-je qu’il ne soit capable d’aller plus loin ? * Et toi ! * me rétorquais-je à moi-même. La encore me revenait en mémoire les paroles qui m’avaient été adressée. Des paroles durent, certaines plus que d’autres. Dans toute mon ivresse, j’en avais ri, il n’en restait pas moins qu’elle m’avait troublée. Warren n’était à l’heure actuel, pas tellement différent de moi cinq ans plus tôt. Oui, ce fameux soir où j’avais appris qu’Angel se foutait royalement de moi, où mon petit cœur avait été brisé… Allait-il prendre le même chemin que moi ?
Attrapant la main qui caressait agréablement mes fines cicatrices, pour reprendre le contrôle de moi-même et de se tumulte de sensation qu’il provoquait chez moi, je m’éloignais pour attraper l'assiette que j'avais apporté pour nous. "Tu as faim ? demandais-je innocemment.
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Tu sais que cette fille... non, cette femme, est sublime. Étonnante, c'est aussi le mot qui la décrirait. En réalité, bien des mots lui iraient à merveille. Sublime, étonnante, divine, magnifique, excitante, charmante... Et bien encore. Si tes yeux plongent dans son décolleté, si tu la dévores du regard, si tu as envie de la découvrir dans toute la beauté qu'elle semble dégager, c'est bien parce que ce qui émane d'elle est dangereusement excitant. Tu ne savais pas que vous en arriveriez à ce point là, même après la vente aux enchères. Délicieux, mais douloureux souvenir. C'était la première fois que ton ex-femme la frappait au visage. La deuxième fois qu'elle l'attaquerait, ce serait ce soir.. Oh. Voilà pourquoi tes yeux s'étaient posés sur sa poitrine. Voilà pourquoi tu avais déposé tes lèvres sur les fines lignes rougies de sang séchés et épongé qui décoraient le haut de ses seins, dévoilé avec plaisir à ta vue d'homme. Cette femme réveillait tous tes sens rien qu'en humectant ses lèvres, rien qu'en se passant une main dans les cheveux, rien qu'en se mordillant la lèvre, rien qu'en étant ce qu'elle est. L'alcool aidant - et pourtant, même sans alcool, tu serais subjugué, hypnotisé par elle, tes sens sont tous portés vers elle. Ton sang bouille dans tes veines, tes yeux ne cherchent qu'à se poser sur elle, sur la peau nue que tu as sous les yeux.. Tu lui sauterais dessus, si tu ne te retenais pas. Et pourtant, tu n'es pas sauvage. Pas comme ça, tout du moins. Tu as pris goût à sa peau, à ses lèvres, et comme un homme, comme un homme en quête de plaisir charnel, tu n'as qu'une envie, soit celle d'y goûter de nouveau. En relevant la tête, suite à ce baiser sensuel sur sa poitrine meurtrie, tes yeux rencontrent les siens, puis se posent, dévorent visuellement cette dent qui mord sa lèvre inférieure, lèvre que tu aurais envie de mordre toi-même. Dieu sait comment elle te fait de l'effet, là tout de suite. « … Et si jamais ça n’allait pas mieux ? » Tu hausses un sourcil, amusé, étonné, provoqué par sa question qui en laisse place à une autre. « Tu ferais quoi ? » Cette tension sexuelle qui régnait entre vous deux, d'un coup, était réellement palpable. Oh, tu t'imaginais bien des choses.. Tu te voyais en train de lui retirer sa robe et la dévorer, autrement que seulement par ton regard envieux, désireux d'elle. "Tu n'as qu'à me dire que ça ne va pas mieux, et tu verras, beauté..", souffles-tu dans un murmure rauque. Quelques secondes plus tard, à ton plus grand étonnement - et tu l'es beaucoup, dans l'instant, elle retire ta main de sur sa poitrine, toi qui croyait qu'elle aimait cette douce caresse sur ses blessures. "Tu as faim ? Elle s'éloigne alors pour prendre l'assiette qu'elle t'avait apportée, en te rejoignant dehors. Fronçant les sourcils, tu secoues la tête de gauche à droite. "Hm, hm.." Tu lui prends l'assiette des mains pour la déposer à côté de toi, au sol. Tu secoues encore la tête négativement, tes doigts se posant sur son épaule nue, glissant contre celle-ci, remontant vers son cou que tu rêves de mordre sensuellement. "J'ai atrocement faim... de la femme que j'ai devant moi." Certes, l'alcool t'aide à te montrer plus extraverti dans une situation telle que celle-ci, mais tu n'as pas bien de mal à être ainsi avec elle. Elle est divine, et tu ne changeras jamais d'avis là-dessus. "Si je ne me retenais pas.. je glisserais ces minuscules morceaux de tissus sur tes bras qui retiennent le haut de ta robe.. Je découvrirais enfin les seuls fruits que j'ai envie de croquer, ce soir.." Tu soupires presque en prononçant ces mots, si dangereusement attiré par elle. Mon dieu, elle te fait tant d'effet..
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Se retrouver! Séduction et provocation. Tout un art en réalité si on considérait le fait que j’excellais dans le domaine. Warren était face à moi et en dépit de la fraicheur de la fin de soirée, j’avais chaud… L’alcool que j’avais avalé, la drogue qui s’y était glissé et bien entendu la présence du jeune homme qui était loin de me laisser indifférente. Je gardais ses paroles en tête, me promettant de réutiliser cette phrase au moment opportun. Warren ne masquait pas sa surprise quant à ce subit changement de comportement. Il fronçait les sourcils je l’imitais souriante avant de lui demander alors qu’il secouait la tête. « Non? » fis-je surprise de sa réponse. Le Winthrop ne se priva d’ailleurs pas pour me remettre sur le droit chemin, m’indiquant dans détour ce dont il désirait se délecter. Sa réplique me fit rire en rougissant. C’était quelque chose que j’aurais très bien pu lui dire, et voilà qu’il me devançait.
Maintenant certaine que je ne laisserai pas mes inquiétudes prendre le dessus sur moi, je me décidai alors à reprendre la partie. Warren savait ce qu’il faisait, autrement, je ne serai pas là avec lui. Et puis j’en avais assez de penser à tout ce que dirais les autres. Les autres n’étaient pas là, il n’y avait plus que lui et moi. Et je crois avoir suffisamment entendu d’horreur pour ce soir, j’étais bien ici, avec lui, à céder au petit jeu de séduction auquel j’adorais me prêter. Il savait quoi dire pour me flatter, je savais quoi faire pour le taquiner, sans en faire trop, sans qu’il ne s’ennuie : Le juste milieu. Et puisqu’il voulait jouer, nous allions jouer. Ma main effleura alors la peau de ma poitrine lésée avec une lenteur captivante, suivant  volontairement leur galbe. Je passais ensuite mes mains derrière son cou, jouant du bout des doigts avec ses cheveux. « Je vois… » murmurais-je à mon tour d’une voix envoûtante avant de poursuivre. « … Et pourquoi tu te retiens ? » Il n'avait pas besoin de se retenir avec moi. Jamais... Pas alors qu'il était si sexy, pas lorsqu'il me regardait avec ses yeux là, pas lorsqu'il faisait naitre en moi un désir qu'il avait nourri depuis plusieurs heures. Agissait-il toujours de la sorte, où bien était-il plus entreprenant parce que son ivresse l'y poussait. Son ivresse, sa tristesse et sa colère...
Mon corps s'était lové contre le sien et mes yeux s'étaient plongés dans le sien pour ne pas regarder ailleurs je suppose : Ses lèvres par exemple. Est-ce que j’avais envie de l’embrasser ? Sans aucun doute ! Est-ce que j’avais envie de lui. Terriblement. Est-ce que je doutais que ce soit l’endroit approprié… Je me posais encore la question. Mais une autre chose me frappait telle une évidence. Une gêne, une sensation étrange et familière qu'il me manquait quelque chose. Je me substituais si fréquemment aux drogues que j'avalais que désormais j'en ressentais même le manque. Et à l'instar de ce que j'avais quelques semaines plus tôt avec un autre séduisant jeune mâle, je m'accrochais à l'espoir que Warren, son corps, ce regard, ces muscles et ses mains posées sur mon corps pourraient être l'éphémère antidote de ma grandissante addiction. « Emmène moi ailleurs. » le suppliais-je presque sans quitter ses lèvres du regard.


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