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Nicole Josephine Lee-Prescott fiche; en cours - terminée C'est le 12 juillet 1990 à Manhattan, que la famille Lee m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Nicole Josephine. Je suis un open bar et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fiere. Je viens d'une classe sociale aisée. J'ai décidé de poursuive des études à Harvard en astrologie, je suis maintenant en 3ème année d'étude. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Mather House ou les students. |
Études N'ayant pas les pieds sur Terre, Nicole est faite pour l'astrologie. C'est bien l'une des seules choses qui la passionne, après les ragots et la méchanceté gratuite. Elle en est actuellement à sa troisième année et ne s'en lasse pas, elle compte bien devenir une astrologue de renommée. Le système planétaire de la galaxie la plus proche, ce sera elle qui le trouvera. Sur le campus il n'est pas rare de la croiser la tête dans le cul en journée et en party party une fois la nuit tombée. Cependant une règle est d'or: ne pas toucher aux drogues dures. Ça, pas question. En revanche petits joins&co c'est appréciable, d'ailleurs lorsque ceux-ci commencent à faire leur effet il n'est pas rare d'entendre la demoiselle déclarer qu'elle s'en va pour l'autre galaxie. | Caractère Un simple coup d’œil suffit pour comprendre que Nicole est une vraie peste. Garce et narcissique, elle n'a que faire des règles et vit selon son propre crédo. Complètement à l'ouest, elle est 24/24h à coté de ses pompes; quoi qu'il lui arrive d'être sérieuse de temps en temps. Quand elle s'énerve par exemple, rare, mais dans ces cas là les tentatives de claques et les noms d'oiseau fusent. Demoiselle au vocabulaire très harmonieux, elle maitrise l'art de rester classe tout en ayant un langage quelque peu vulgaire. En bitch professionnelle elle adore critiquer les gens quelle que soit la situation, si la personne est en face d'elle c'est encore mieux. Cash, ce n'est pas le genre de personne à être faux-cul avec ceux qu'elle ne supporte pas c'est d'ailleurs pour cela que s'engueuler avec les gens ne lui fait pas peur; tant que c'est pas avec elle-même. On pourrait aisément la qualifier de fonceuse, or le mot inconsciente est beaucoup plus approprié. Pensant que l'argent des parents pourra la sauver de n’importe quelle situation, elle ne se préoccupe de rien et surtout pas des prix de ses fringues et de ses consommations en alcool. En tant que véritable fêtarde, Nicole a tout essayé, tout vu, tout entendu (elle a la science infuse par la même occaz'; et sachez qu'elle a TOUJOURS raison), son truc à elle c'est d'être pompette au point de baiser avec n'importe qui pour -bien souvent- ne plus s'en rappeler le lendemain, d'où la question typique "Nicole tu niques?" qu'elle se voit proposer à chaque coin du campus. Ce genre de remarque ne la vexant pas le moins du monde, elle se contente d'envoyer un taquet à la gueule du pauvre type qui a osé lui adresser la parole sans permission. Très ouverte sur la question sexuelle, la demoiselle défend cependant fièrement la cause féministe; les hommes d'Harvard ont tendance à prendre les filles faciles pour des objets et ça, c'est pas cool. |
Everyone Has Their Own Story
Lorsqu'on nait avec une cuillère en argent dans la bouche, la vie est plus facile. Sauf lorsque vous êtes en conflit permanent avec votre fucking mère. Fille chérie à son papa adoré, qui est au passage directeur marketing de renommée, Nicole a toujours été pourrie gâtée et choyée par les nourrices; quand père était en voyage d'affaires bien sûr. Les relations avec sa mère sont différente. C'est bien simple, madame Prescott, de son nom de jeune fille, a vu en sa fille une concurrente dès sa naissance. L'amour de son compagnon étant bien trop précieux pour être partagé, elle cultiva ce sentiment des années durant afin de finalement se faire une raison, après tout ils avaient déjà un fils et n'avaient pas cessé de s'aimer pour autant. Liam, de son prénom, a toujours guidé sa sœur vers le mauvais chemin. Vous voyez ce type qui fait n'importe quoi de sa vie tout en passant pour un ange auprès de la communauté bourgeoise grâce à ses notes excellentes et à son comportement exemplaire? Il est ce genre de type. Une petite sœur suit toujours les traces de son grand frère, surtout lorsqu'elle le regarde les yeux brillants d'admiration. C'est ainsi que la belle Nicole Joséphine brûla les étapes et commença à se quereller sévèrement avec sa mère. Entrainée dans des soirées où la moyenne d'âge était de trois ans supérieure au sien, elle y découvrit les méfaits de l'alcool. A un âge bien trop précoce, alors qu'elle organisait sa première fête avec des amis de lycée dans le but de faire découvrir à ses amis tout ce que son frère lui avait appris sur les jeux d'alcool et compagnie, la demoiselle fut embarquée dans une fougueuse passion d'une nuit et perdit sa virginité bêtement. A l'heure actuelle, c'est son plus grand regret. A dix-sept ans la belle découvrit le véritable amour avec un homme à qui elle aurait tout donné, et c'est à ce moment là que la culpabilité commença à la ronger, c'est à partir de là qu'elle comprit que par admiration elle avait fait de sa vie un véritable foutoir tandis que son frère, lui, contrôlait parfaitement tout. Ayant peu d'amis de part son caractère spécial, elle eu une période vide après la rupture où elle se remit totalement en question. Il disait être fatigué. Elle, disait être passionnée. De part la fortune de ses parents, la demoiselle intégra Harvard directement après le lycée, ça sert d'avoir de l'argent. Sa mère lui a fait la morale pour la prévenir "c'est ta dernière chance", hurlait-elle à tout va. Forcément avoir une fille "dépravée" et "indigne" ce n'était pas du rang de madame Lee-Prescott. A savoir que les parents de la demoiselle ont additionné leurs noms afin de garder chacun de leur côté leur identité. pour deux personnes aussi importantes qu'eux, c'était primordiale. Le métier de la mère? Directrice du plus grand salon d’esthétisme de Manhattan, rien d'étonnant à ce que e soit une femme très axée sur les apparences et qui n'exige qu'une chose: la perfection. Les morales qu'elle peut adresser à sa fille la font d'ailleurs doucement rire, comment une esthéticienne peut-elle exiger que sa fille fasse des études digne des plus grands? C'est limite criminel. Soit. La belle a au moins eu la chance de choisir sa filière, cependant sa maternelle ne se prive pas pour lui mener la vie dure. Lorsqu'elle a apprit son choix de confrérie, elle l'a tout simplement privée de sa superbe Ferrari rouge pour lui atteler une bicyclette avec laquelle elle se trimballe dans tout le campus afin de se déplacer pour rapidement. Quand elle arrive à pédaler. Plus occupée par les soirées que ses cours, elle arrive cependant à alterner les deux. Début d'un équilibre? Pour l'instant, lui manque plus que des amis.
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