EDEN&JULIET # Les animaux sont les meilleurs amis de l'homme pas vrai ?

Une nouvelle journée au refuge qui me donne toujours autant le sourire. En fait, être avec des animaux à 4 pattes me donne toujours un immense sourire car je sais que je peux leur parler plus que librement. Ils ne me jugent pas comme nous autres les humains mais ils ne peuvent pas me répondre alors je ne fais que me confier. Une fois sur place, la responsable me confie un husky pour le brosser et le faire beau car il allait nous quitter. Si j'avais pu, je l'aurais adopté mais Ty' et Dan' ne veulent aucuns animaux à la maison. Cela me rend un peu malheureuse mais je sais que je peux en voir au refuge alors cela compense. Et puis il faut dire qu'en Islande, je pouvais voir les manchots se balader devant l'orphelinat en pleine campagne blanche et cela me faisait rire, ils étaient tous à la queue leu leu. Alors que je m'occupais du husky trop mignon, j'étais en train de lui parler et je me trouvais donc naturellement partie dans mon monde. En parlant à un animal, je suis dans ma bulle et je me sens bien. Mais je ne vis pas arriver un jeune homme sans doute pour adopter un animal mais en relevant légèrement la tête, je vis Eden, un collègue bénévole du refuge. Alors je lève un peu la tête afin de le saluer.

Oh salut Eden, tu viens aider aussi ?

Je vins lui adresser un sourire car je sais qu'il a la même passion que moi pour les animaux ce qui nous rapproche un peu et puis j'adore parler avec des garçons en toute amitié. Avec moi, il n'y aucune ambiguïté hormis avec Matt mais il est l'exception lui.

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Après une grosse matinée à l’animalerie, mon patron me donne comme mission d’emmener quelques sacs de croquettes, des sacs de litières et quelques produits médicaux de base pour me refuge. C’est ainsi que j’arrive avec le fourgon de l’animalerie et que je descends alors que je vois Juliet s’occuper d’un Husky, j’aime beaucoup ses animaux, j’en ai trois chez moi, un couple et leur petit chiot. Elle met quelques secondes à se rendre compte que je suis là. Je lui souris en ouvrant le coffre du fourgon en riant, tout en lui répondant.
« Je suis en mission spéciale, mon patron m’a demandé d’amener des croquettes, de la litière et quelques produits médicaux, et oui, je vais en profiter pour aider, il m’a donné l’après midi pour faire ma mission. Comment vas-tu ? »

Je commence à sortir un par un les sacs de 10kg de croquette en tout genre, chien, chat, il devait y en voir pour une tonne voir plus vu tous les sacs qu’il y avait.

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Aller au refuge était devenu pour moi presque une bouffée d'oxygène car j'aime les animaux d'un amour inconditionnel et ils savent comment me le rendre. Et puis cela me rappelle ma vie en Islande où je pouvais passer des heures avec les animaux de la banquise. Certes ici ce ne sont que des chats ou des chiens mais malgré tout, ce travail bénévole me plait et ne me fait jamais partir mon sourire habituel. Alors que je m'occupais d'un husky après être arrivé il y a peu de temps, je vis arriver Eden, un ami qui travaille aussi de temps en temps ici en tant que bénévole également. Sauf qu'en réalité il me fit savoir qu'il était en mission spéciale car il travaille à l'animalerie située pas loin du refuge. Aussi dès qu'Eden commençait à sortir le paquet de croquettes de son petit camion après m'avoir demandé comment j'allais, je vis le husky dont je m'occupais commencer à s'agiter. Mais en même temps mettre des croquettes sous le nez d'un chien qui a déjà mangé n'est pas très judicieux. Alors je vins répondre à Eden tout en tenant le chien.

Ah d'accord, bouge pas, je vais ramener le chien dans son box car là sinon il va manger toutes les croquettes ce vorace.

Je partis donc ramener le chien dans son box avant de revenir vers Eden et de venir répondre à sa question.

Voilà, il devrait pas nous embêter pour décharger toutes les gourmandises. Sinon pour te répondre, je vais bien, les animaux sont une vraie bouffé d'air, tu trouves pas ?

Je commence à décharger ou du moins aider Eden à sortir les paquets du fourgon car ce sont quand même d'énormes paquets de croquettes ou de gourmandises en tout genre. Les chiens et les chats étaient gâtés pour le coup. Je vins lui adresser un sourire, tout en attendant sa réponse.

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Je n’ai pas vraiment d’autres choix que de sortir les sacs sous le nez du chien, car faut bien sortir la marchandise pour pouvoir y ranger dans la réserve du refuge. Je suis fier d’être employer de l’animalerie voisine, cela me donne un rôle de sauveur dans le refuge vu que c’est moi qui amène le manger des animaux, ainsi que les litières pour chats et les soins médicaux de base. Je souris en hochant la tête quand elle me dit qu’elle ramène le chien.
Entre temps j’ai le temps de sortir deux ou trois sacs, j’ai heureusement pas mal de force a force de faire le coursier des animaux. Elle revient et je lui souris alors qu’elle répond à ma question. J’hoche la tete dans un rire.
« Oh que oui, ca fait un bien fou de les voir. J’ai 21 petites bêtes chez moi, si je ne compte pas les chevaux et les animaux de mes frères et sœurs. Car les 21 sont mes animaux personnels. Alors je veux bien te croire, que serait la vie sans eux. »

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Je dois reconnaître qu'Eden n'a pas trop d'autres choix que de sortir les sacs remplis de croquettes devant le chien dont je m'occupais avant son arrivée. C'est pour cela que je pris la décision de rentrer le husky dans son box, seulement le temps qu'on décharge le camion. Je n'avais pas envie qu'Eden le décharge tout seul, c'était un peu mon travail aussi au refuge après tout. En revenant près d'Eden, je vis qu'il avait déjà déchargé deux sacs et tout en finissant d'aider, je venais de lui faire savoir qu'ils étaient comme une bouffée d'air fraiche, il vint acquiescer mes dires tout en me confiant qu'il avait 21 animaux. Sous le coup de la surprise et un peu de jalousie, je vins lâcher un sac avant de lui répondre.

Non sérieux ? Tu as 21 animaux chez toi ? Je rêverai d'en avoir mais mon coloc est pas trop d'accord pour le moment. Enfin je désespère pas de le faire craquer un jour.

Je vins lui adresser un sourire, tout en venant ramasser le sac que j'avais fait tomber par mégarde ce qui n'avait pas échappé aux chiens dans leurs boxes car ils se mirent à aboyer. J'attendis la réponse d'Eden avec impatience.

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