Adrian Ekström ►Clark Bockelman

Je ne peux pas vous dire comment c’est passé mon enfance, car je ne peux pas m’en rappeler, mais je peux vous raconter ce que ma maman m’a raconté. Supposément, j’étais le parfait petit garçon que toutes les mères de Suède auraient aimé avoir. Je naquis, le deuxième jour de printemps alors qu’il faisait encore froid à Stockholm. J’étais premier enfant de Hedda et Mikkel Ekström. Mon père Mikkel était un haut placé dans la chaîne de vêtement suédoise H&M et ma mère Hedda rectrice de l’Université de Stockholm. À l’âge de 3 ans, mon petit frère est né, Isak Ekström. Je fus élevé dans le grand luxe et je n’ai jamais manqué de rien. Je fus inscrit dans un collège privé pour garçon à Stockholm. Mes parents m’ont beaucoup forcé à étudier et bien réussir à l’école. J’étais toujours premier de classe. Dès le l’école primaire, mes parents remarquèrent que j’étais doué en langue étrangère et en mathématique. À 7 ans mes parents m’envoyèrent en Allemagne pour une année pour apprendre l’allemand et ensuite en Grande-Bretagne pour l’anglais. Je n’aimais pas trop être en pensionnat pendant l’année. À l’époque, j’en voulais un peu à mes parents de m’avoir envoyé dans différentes écoles, mais maintenant, je suis reconnaissant, car je connais plusieurs langues étrangères et cela m’aide beaucoup en traduction.

Pendant mon adolescence, je me rapprochai beaucoup de mon petit frère. C’est à lui que j’avouai ma bisexualité pour la première fois. Je fus étonné que lui aussi me confie la même chose. Cette confession nous avait beaucoup rapproché. Toujours premier de classe en mathématique et langue, je savais que je voulais travailler un jour dans au sein de la compagnie de mon père. J’eus beaucoup de misère à accepté mon attirance vers les mecs, mais mon frère su m’aidé à surmonter cette peur. Je n’eus aucune relation pendant le lycée à cause de cette peur, alors je me concentrai à faire du sport et apprendre de nouvelles langues. À la fin du bac, je savais parlé l’Anglais, danois, l’allemand, norvégien et le finlandais. J’étais un pro des langues de la Scandinavie.

À la fin du lycée, mon père me força de m’inscrire à la meilleure université des Etats-Unis, Harvard. Me voilà, maintenant en finance et traduction faisant de mon mieux pour être encore le meilleur de la classe et rendre fière ma famille en Suède. Mon but ultime, devenir riche comme mon père. Je ne voulais pas dépendre de la richesse de ma famille, même si pour le moment j’en profitais au maximum.

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