Don't let me fall, just let me know when we'll make it through

L'heure avançait tranquillement dans la soirée. Le bal était toujours aussi majestueux que dans ses souvenirs. Matthiew avait parlé à quelques amis qu'il avait délaissé le temps des examens. Ça avait été un temps dure pour tous les élèves de l'université. La majorité des gens d'ailleurs en profitait pour boire un peu trop d'alcool pour décompresser. Matt avait été beaucoup plus sage de se coté. Il désirait avoir toute sa tête pour cette fille qui l'accompagnait. Ils ne s'étaient pas beaucoup parlé durant la soirée, le buit de tous les gens ainsi que la musique de fond n'était pas très propice à la discussion. Lorsque fut le temps aux invités du bal de prendre place sur la piste de danse Matthiew en profita pour demander à sa cavalière de le suivre. Elle l'avait d'abord regardé avec un regard plein de question avant de prendre sa main pour le suivre.

Ils s'étaient rendu à la terrasse presque vide main dans la main. Matthiew avait fini par trouver un endroit plus tranquille et prit place sur le banc de bois. Il fit signe à Juliet de venir s'assoir près de lui.

« - Alors tu as bien apprécié ta première année ? » demanda-t-il à sa cavalière un sourire en coin. Juliet le rendait si nerveux qu'il pensait plusieurs fois quoi lui dire. Jamais une fille l'avait mis dans un tel état. Il avait eu quelques conquêtes mais n'avait jamais pris ses fréquentations pour du sérieux. Puis il avait une chose qui le rendait plus nerveux qu'à l'habitude. Matthiew réussissait à avoir toutes les filles qu'il voulait mais Juliet ne se laissait pas faire comme les autres. D'ailleurs c'est ce qui le charmait le plus, elle restait authentique à ses valeurs en tout cas c'est l'impression qu'elle donnait à Matt.

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Le premier bal de toute mon existence, je le passe en ce moment même et en charmante compagnie puisqu'un garçon m'a invitée moi à venir avec lui à cet événement que tout le campus ne louperait pour rien au monde. Enfin tout le monde sauf mes meilleurs amis qui ne voulaient pas se mêler à la foule parait il. Je crois que c'était surtout pour ne pas trop jouer aux papas poules avec moi et me surveiller toute la soirée. Ils voulaient peut-être que je profite de cette soirée avec un garçon pour tenter de comprendre ces nouveaux sentiments qui m'arrivaient sur le coin de la figure. Car ce n'est pas en Islande que j'avais eu l'occasion d'assister à un bal digne des contes de princesses dont je faisais un peu partie puisque je devais rentrer pour minuit selon Ty' et Dan'. La soirée avançait doucement et heureusement car je comptais bien en profiter même si je dois avouer que me retrouver face à Matt sur la piste de danse me mit mal à l'aise, ce qui me semble étrange car d'ordinaire je suis plus encline à aller vers les mecs amicalement parlant évidemment. Et là avec lui, c'est différent, je suis différente, je deviens comme une petite chose fragile et un petit bébé, une chose que je déteste car cela me fait penser à Ty' et Dan' qui aime me prendre pour leur bébé encore. La danse passe relativement vite mais ce fut un agréable moment bien qu'étrange. Je ne peux expliquer ce que je ressens puisque je ne le sais pas moi même. Ah qu'est ce que j'aimerai mettre des mots sur les sentiments que j'ai pour Matt ? Mais c'est chose impossible apparemment. Puis après cette danse collés l'un à l'autre car c'était un slow, on se dirige vers la terrasse. D'ailleurs, je m'étais demandé quand il m'a demandé de venir danser avec lui s'il l'avait fait exprès de me le demander sur un slow d'ailleurs mais au fond j'en avais envie et puis rester assise à la table n'était pas dans mes plans. Il m'avait amené donc sur la terrasse vide après qu'on ait croisé Wolf et sa cavalière afin de discuter un peu tous les deux au calme. Et en effet, il vint me demander si j'avais apprécié ma première année. Alors je vins lui répondre, la voix légèrement hésitante et ne pouvant le regarder dans les yeux.

Euh oui, c'est encore un peu compliqué de m'adapter ici. Mais en même temps je viens pas de la grande ville mais d'un petit pays.

J'attendis sa réponse tout en gardant la tête baissée, je ne savais pas comment agir avec lui et cela me rendait nerveuse, il avait du le sentir vu sa question. Mais en temps normal je n'ai pas de mal à parler avec un mec mais lui c'est différent et je ne sais pas quoi faire.

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Matthiew ne pouvait s'empêcher de sourire. Il la trouvait si belle dans cette jolie robe. Ils s'étaient envoyé quelques messages textes avant le bal et il lui avait demandé seulement la couleur pour pouvoir agencer sa chemise avec la robe. Il n'était pas vieux jeu mais il trouvait ce détail important.

« - Tu sais, je viens de l'Allemagne et ce ne fût pas toujours facile de s'adapter quand on est tous débarqués pour vivre dans une grande ville comme New York. On venait d'une petite ville près de Berlin. On parlait tous allemand avec quelques notions d'anglais pour faire plaisir à mon père qui trouvait ça SI important. Aujourd'hui on le remercie mais à l'époque on trouvait ça dure. J'ai quand même été chanceux j'avais 6 ans quand on est arrivé donc pour la barrière de la langue ce ne fut pas très compliquer de la briser, j'ai été bilingue assez jeune. Mon frère par contre à trouvé ça plus difficile. » Matthiew trouvait ça si facile de parler avec Juliet.

« - je ne vais pas te cacher que ça prend un certain temps d'adaptation mais ... Même moi qui restais à New York depuis des années je me sentais un peu perdu quand je suis arrivé sur le campus. » Dit-il en souriant à la jeune fille près de lui. Le temps c'était rafraichi et comme dans tous les films clicher la terrasse étaient d'un romantisme à faire pleurer.

« - Est-ce que tu veux mon costard pour ne pas attraper froid ? » Avait demandé le jeune homme puisque la robe de Juliet était à manches courtes. Il ne voulait pas qu'elle attrape froid. C'était aussi une excuse pour rester plus longtemps seul à seul à la terrasse.

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Après avoir quitté la table qui n'était pas très bavarde voire quasiment vide, il m'avait proposé d'aller danser avec lui, ce que j'ai accepté. Il sait qu'il me plait et je sais que je lui plais mais malgré tout, on reste maladroit l'un envers l'autre comme deux adolescents qui n'y connaissent rien à l'amour. Pour la part, c'est vrai, je ne connais rien à l'amour mais lui doit avoir pas mal de petites amies avant moi. Alors après cette danse l'un contre l'autre car il avait choisi un slow, ce qui n'était pas franchement pour me déplaire car je ne sais pas correctement danser en vérité, on se dirige vers la terrasse afin de faire plus ample connaissance et en apprendre sur l'un et sur l'autre. Il venait de me demander si j'avais réussi à m'adapter ici avant de me faire savoir qu'il venait d'Allemagne et que lorsqu'il a débarqué à New York, il ne parlais pas anglais mais allemand. Pour ma part, j'ai encore du mal avec l'anglais et je ne parle l'islandais qu'avec mes deux colocataires. Je vins repenser aussi au moment où il m'a présenté Wolf bien que je le connaissais déjà mais je me demandais s'il le connaissait depuis longtemps. Alors je vins lui répondre assez naturellement comme si je parlais avec Ty' ou Dan' en vérité.

Ah d'accord. Pour ma part, je n'ai jamais quitté l'Islande de toute ma vie ni l'orphelinat où j'ai grandi et on avait pas ce genre de grand bal à la fin de l'année. Je suis pas encore bilingue anglais/islandais car dès que je suis à la maison avec mes colocs, on parle qu'islandais et pourtant ils sont ici depuis plus longtemps que moi. Je voulais savoir, tu connais Wolf depuis longtemps ?

Il vint me faire savoir que l'adaptation prend un certain temps, ce dont je ne doute pas vu que j'ai mes deux supers colocs qui après deux ans ici ont encore souvent du mal à se faire à l'immensité du campus et à la ville. Puis il vint me demander si je n'avais pas froid et si je voulais pas mettre sa veste sur mon dos. So romantic, pensais je mais je suis quelqu'un qui aime le froid alors cela allait en fait. Mais comment lui dire sans le blesser car son attention est touchante ? Alors je vins lui répondre, un peu hésitante et un peu taquineuse aussi.

Oh t'en fais pas, je le sais. Mes deux meilleurs amis ont beau être là depuis deux ans, ils ont encore du mal à se faire à l'énorme campus ou à la ville mais en même temps on a grandi limite à la campagne alors. Et non j'ai pas froid mais toi tu devrais le garder au cas où tu aurais froid non ?

Après tout, je suis une fille du Nord et le Nord est réputé pour y faire très froid. Parfois en Islande, on pouvait vite atteindre les -30 degrés et il m'arrivait de sortir manteau sur le dos quand même pour aller voir les animaux de la banquise. Mais je ne pus que lui adresser un léger sourire car son attention à mon égard me touchait et attendant sa réponse.

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Juliet avait posé une question à Matthiew. Depuis quand il connaissait Wolf. Wolf était son meilleur ami, c'était un peu comme le deuxième frère qu'il n'avait pas eu. Ça fessait quand même différent qu'avec son frère biologique, il n'y avait aucun drama entre les deux. D'accord le drama c'était la faute à Matthiew mais tout de même ça changeait d'air d'être ami avec un buddy comme Wolf.

« - On est amis depuis un moment déjà. C'est quelqu'un de très important pour moi. »

Comme il la trouvait charmante. Il avait ri de bon coeur quand elle lui avait dit qu'il devrait garder la veste pour ne pas avoir froid. Matthiew n'était pas du genre à avoir froid facilement. On le taquinait souvent en lui disant qu'il devait avoir le sang trop chaud. D'ailleurs sa soeur qui dormait avec Matt plus jeune avait arrêté quand le jeune homme s'était mis à dégager beaucoup trop de chaleur durant la nuit.

« - Non ça va, j'ai rarement froid. » Avait-il dit en souriant à Juliet. Ils avaient tant à découvrir tous les deux sur l'un et l'autre.

« - Tu es orpheline ? Vraiment ? Des fois je me demande qu'est que ça ferait si je n'avais pas mes parents, ma soeur et mon frère. On est très proche comme famille, si quelqu'un touche à ma soeur je peux être méchant et mordre. » Avait-il fini de dire en fessant un clin d'oeil à Juliet.

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Depuis la fois où Matt était venu jusque chez moi pour me demander de venir avec lui au bal et où il m'avait avoué ses sentiments tout comme moi d'ailleurs, je n'avais qu'une envie, en apprendre plus sur lui. Car on ne peut pas dire que je connaisse beaucoup de choses sur lui. Après tout, on a un ami en commun qui est Wolf qui compte pour nous deux alors je ne veux pas décevoir Wolf en faisant souffrir son ami mais je refuse que Matt me fasse souffrir. Après tout, Matt est le premier garçon qui s'intéresse à moi autrement qu'en amie alors je compte pas le laisser m'échapper même si je sais que je risque d'être maladroite. J'ai tout à apprendre de l'amour et j'espère qu'il me guidera. Il vint alors me répondre au sujet de Wolf alors je vins lui répondre aussi.

Ah d'accord, je connais Wolf grâce au foot et aux animaux pour ma part mais depuis moins longtemps que toi. C'est un bon ami à mes yeux, même si personne ne pourra remplacer mes deux meilleurs amis avec qui je vis.

Puis il venait de me proposer sa veste pour ne pas que j'ai froid sauf que je suis habituée aux grosses températures mais il me fit savoir qu'il n'avait jamais froid non plus. Et un point commun, c'est déjà pas mal en plus de notre amitié respective pour Wolf. Il vint me demander si j'étais vraiment orpheline avant de me faire savoir qu'il ignorait comment il aurait vécu sans sa famille, tout en venant me faire un clin d'oeil, ce qui me rappelait la bise que je lui avais faite la dernière fois avant qu'il parte à son cours de guitare. Alors je vins lui répondre.

Oui je suis orpheline, j'ai failli être adoptée mais le couple est mort dans un accident de voiture, j'ai gardé leur nom et je suis retournée aussi vite à l'orphelinat mais c'est là qu'est ma famille. La preuve avec mes deux colocs, on a grandi ensemble, ils aiment jouer aux grands frères avec moi et me prendre encore pour un bébé. Une vraie famille ne m'a jamais manqué à vrai dire et je pense qu'on peut très bien vivre sans mais ce n'est que mon avis.

Je réalise que je parlais trop sans doute le stress alors je m'interromps avant de reprendre.

Mais en arrivant ici, j'ai découvert que j'avais une demie sœur et une cousine dans la même maison que moi. D'ailleurs ma demie sœur a été ma bizutrice en arrivant et depuis on est proches comme deux sœurs le sont.

Je vins lui adresser un sourire, attendant sa réponse et j'espère ne pas le choquer ou le faire fuir car je commence à m'attacher un peu beaucoup à lui. Il me plait énormément, il a ce quelque chose qui fait que je rougis facilement quand je lui parle alors que cela ne m'arrive jamais quand je parle à Wolf ou un de mes meilleurs amis par exemple.

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Matthiew l'écoutait parler comme si la vie s'était mis sur pause. Il la trouvait si belle, si attachante, tellement différente de toute celle avec qui il était sorti. D'accord il ne sortait pas encore avec Juliet mais ce n'était pas l'envie qui lui manquait.

« - Au moins tu n'étais pas toute seule. Tu avais tes colocs et en plus tu as trouvé de la famille à Harvard. La vie est vraiment bien faite. » Avait-il dit en souriant à celle qui prenait place près de lui.

La terrasse était toujours vide. Le vent c'était un peu levé fessant virevolté les cheveux de Juliet. Un joli ange avait souri à Matthiew. Il avait baisé les yeux le temps de quelques secondes pour ce parler à lui-même. Il avait envie de l'embrasser. Il se disait qu'il ne pouvait pas faire ça sur un coup de tête. Des plans pour qu'il reçois la main de la jolie demoiselle en pleine figure. Depuis le début de la soirée, il n'avait pas senti qu'elle lui envoyait des signaux contraires. Il secoua la tête rapidement avant de s'avancer vers elle. Il avait cru la voir figé quelques secondes avant qu'il touche les lèvres délicates de Juliet avec les siennes. Il avait passé la main sur sa joue pour la retenir un plus vers lui. Elle semblait si vulnérable le temps du baiser, il était si charmé par celle qui fessait battre son coeur à toute vitesse. Lorsqu'il se recula lentement de Juliet il lui adressa un sourire sincère.

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Tout ce qui pouvait se passer sur la terrasse en ce moment même n'avait plus d'importance à mes yeux car j'étais avec mon beau cavalier. En effet, je venais de lui faire savoir que j'étais orpheline et que je vivais très bien sans famille, même si depuis mon arrivée à Harvard, j'ai trouvé Nancy et Alicia qui sont respectivement ma demie sœur et ma cousine. Jamais j'aurai imaginé un jour retrouver ma vraie famille ou du moins une partie car toute ma vie, ma famille a toujours été Tyler et Danny. Eux ne m'ont jamais abandonné et ne le feront jamais, enfin sauf récemment où Tyler est rentré en Islande car la vie à Cambridge ne lui allait plus. Il me fit savoir que la vie était bien faite car je n'étais pas seule de toute ma vie avec mes colocs et puis j'ai trouvé une famille en arrivant, ce qui était vrai. Je vins lui adresser un sourire avant de lui répondre.

Oui c'est vrai que la vie est bien faite. Parfois il suffit pas d'avoir des parents pour être heureux, même si la seule famille qui a failli m'adopter restera dans mon cœur à jamais et que j'ai bien l'intention de connaitre mon père un jour.

Puis pendant un court moment, la vie semblait s'être arrêtée car lorsqu'une brise de vent vint se lever, je vis Matt se rapprocher de moi, il vint baisser les yeux un instant avant de venir poser ses lèvres sur les miennes. Jamais je n'avais imaginé un moment aussi romantique que celui là pour avoir mon premier baiser et de plus avec celui qui me plait et à qui je plait. Je pouvais sentir son cœur battre à mille à l'heure et il a du entendre le mien. Ce baiser me faisait couper du monde et plus rien ne comptait à part lui. Sauf que ce moment eut une fin comme tout moment aussi merveilleux, je le vis se reculer légèrement et me sourire. Alors je vins lui sourire et je vins le remercier pour ce moment.

Merci pour ce baiser, tu crois qu'il y en aura d'autres ?

Après tout, il devait être convoité sur le campus et il pouvait avoir toutes les filles qu'il voulait. Mais en voyant son sourire, je le sentais sincère sauf que moi en bonne débutante maladroite, je venais de lui demander s'il comptait me donner d'autres baisers. Parfois j'ai envie de me donner des gifles d'agir aussi stupidement. Malgré tout, je vins lui sourire à nouveau, attendant sa réponse et espérant ne pas le faire fuir.

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Matthiew se mit à rire de bon coeur lorsque Juliet lui demanda s'il croyait qu'il allait avoir d'autres baisés. A vrai dire le jeune homme ne savait pas trop quoi répondre. Il aimait bien être en présence de cette jolie demoiselle. Tandis qu'il luttait avec ses propres sentiments. Il ne montrait rien et restait impassible mais en l'intérieur c'était un vrai bordel. Il luit souria, de sa personne elle savait détendre le jeune homme. Elle n'était probablement pas au courant de ce qu'elle fessait sur Matthiew mais c'était rafraîchissant. Ça fessait un moment qu'il n'avait pas ressenti ce genre d'émotion pour une personne.

« - On peut bien recommencer maintenant si tu veux. » Dit-il en blaguant.

Matthiew se rapprocha de Juliet une deuxième fois pour l'embrasser de nouveau. Cette fois un peu plus intense que la première fois. Une porte s'ouvrit laissant entendre la musique qui jouait à tue-tête provenant du bal. Ramenant à la réalité le jeune homme. Il recula légèrement de Juliet regardant la jeune femme devant lui. Elle était beaucoup trop angélique alors que Matthiew semblait tout le contraire avec tous ses tatoues. Il savait que ce genre de détail ne le dérangeait aucunement. Il s'en foutait de ce que les autres pouvaient bien dire à son sujet. Il ne voulait tellement pas la blesser, elle avait l'air si vulnérable comme si c'était son tout premier baisé et Matthiew se sentait mal que ce sois lui qui l'est eut. Tout se bousculait dans sa tête depuis qu'il avait croisé Mecky au bar. Il regardait autour d'eux quelques étudiants étaient venus les rejoindres sur la terrasse, ils n'étaient plus seuls.

« - On devrait rentrer, retourné s'amuser. » Avait-il dit en souriant à Juliet. « - Même si je m'amuse bien ici, mais Mia doit se demander ou je suis bien rendu. » Était-ce la réalité ou Matthiew se cherchait des excuses ? Il expérait que ce soit la réalité.

Spoiler:

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Abandon du sujet.

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