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Si je t'énerve t'as qu'à partir.

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Rose Evannah M. Morrighan & Nikolaï A. Strahovski
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« Sérieusement, t'as pas une sœur jumelle avec qui on pourrait se faire un truc à trois ? » Au bar, une bière à la main, je vais de terminé une partie de billard avec un étudiant de cinquième année. Je venais de le déplumé comme un couillon qu'il était. Dès qu'il tournait la tête, je faisais rentrer ma boule dans le trou sans même avoir à jouer et il entendait rien ce débile. Ca m'amusait et j'avais gagné de la thune que j'avais absolument pas besoin. Mon père m'offrait tout ce que je souhaitais avoir, un vrai enfant pourri gâté, j'faisais pas des crises si j'avais pas ce que je voulais mais c'était presque tout comme, j'assumais. Maintenant, je draguais la brunette au bar qui m'avait maté pendant tout le long de la partie. Apparemment, c'était celle qui était venu avec cet étudiant. Au final, il s'est cassé elle est resté avec moi. Elle a même pas dit à son pote que j'avais triché. Au contraire, elle avait joué le jeu avec moi. Quelle conne. J'ai envie de me la faire mais je m'amuse à savoir jusqu'où je peux aller avec elle. Ses limites, c'est bien plus marrant que de la prendre direct dans les chiottes. J'adorais voir jusqu'où pouvait aller une fille avec un bel inconnu comme moi. Faut dire, je suis pas moche au contraire, j'étais dans la catégorie "hot" ou "beau mâle" selon son choix. Les filles ne pouvaient qu'apprécié mon physique que je savais très avantageux et j'en profitais grandement. Elle me répond qu'elle a pas une soeur jumelle, je fais mine d'être triste et elle ajoute qu'elle a une soeur d'un an de moins avec qui elle se ressemble beaucoup. La coquine. Je souris immédiatement en lui lançant mon regard irrésistible. Je lui prend la main et je l'emmène dans les WC des dames histoire qu'on fasse plus connaissance avant que sa soeur nous rejoigne ou qu'on aille la voir.
Une demie heure plus tard, en pleine action et après l'avoir fait jouir deux-trois fois, je termine mon affaire, elle continue à m'embrasser et je répond à ses baisers, on est entrain de se rhabiller dans les cabines quand son téléphone sonne, elle décroche. Tout en écoutant, elle me dit qu'elle doit filé de suite et que je devais l'attendre ici qu'elle sera de retour dans moins d'une heure et avec sa soeur cette fois-ci. Elle m'embrasse encore et sort des toilettes en déverrouillant la porte, j'entends quelques filles soupirer, enfin elles pourraient aller au petit coin. Sortant de la cabine dans laquelle j'étais pour leur libérer la place, je tombe nez à nez avec une personne non inconnue alors que je termine de fermer mon jeans, bouton et braguette ouverte. J'affiche un grand sourire aux lèvres. « M'zelle Morrighan ! C'est à ton tour d'y passer ? » Cette fille là me détestait et je savais pas vraiment pourquoi enfin si car j'étais moi. J'y pouvais rien, soit on m'aimait soit on m'aimait pas. Et à dire vrai, je m'en contre fichais la plus part du temps, je ne vivais pas pour que les autres m'apprécient mais pour vivre tout simplement ma vie. Même si c'est clair que vu le physique de la jeune femme, j'aurais plutôt aimé qu'elle m'apprécie. Je sens qu'elle est "ravie" de me voir là, mon sourire ne se fait que plus grand. « Tu veux passer la première où tu préfères en dernier histoire que je garde le meilleur pour la fin. » Je m'approche d'elle, je sais d'avance que je vais recevoir une baffe ou qu'elle va me repousser mais tant pis, j'assume.


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Étrangement aujourd’hui, je n’avais pas envie de réviser dans ma chambre de Dunster. Je m’étais alors retrouvée au Lord Hobo, pourquoi ? A vrai dire je ne sais pas vraiment, je voulais me perdre dans la foule, oublié quelque temps que j’étais la petite Morrighan qui avait des migraines pour un rien, qui fuyait ses parents ou encore qui était trop perturbée pour avoir une relation sentimentale. Pitoyable Rose. A la fin des cours je me dirigeais vers le bar si apprécié des étudiants d’Harvard. Avant ça, j’avais pris quelques affaires pour travailler. Bizarre me diriez-vous, surtout dans un bar et de plus assez fréquenté et donc bruyant. Mes affaires dans les mains, je me plaçais à une table. Un serveur vient à ma rencontre et me demande ce que je veux boire. Ce que je veux boire ? Je lui donne alors le nom d’un cocktail coloré que Grâce & Abygaelle avaient commandé lors de nos retrouvailles. De toute façon je n’allais pas le boire. Le serveur revenu à maintes reprises pour me poser des questions. Il essayait d’engager la conversation en me demandant comment j’arrivais à apprendre dans ce bruit. Ou encore, si j’allais boire ce fameux cocktail.
Je lui adressais un sourire, il me répondit par un autre. Néanmoins, il avait dû remarquer que je n’étais pas très bavarde et que les réponses à ses diverses questions étaient assez furtives. Le jeune homme entreprit de me dire « Je ne vais pas vous déranger plus longtemps, vous savez où me trouver maintenant. » . Je n’ai pas eu le temps de répondre qu’il fut parti. De toute façon qu’est-ce que j’aurais répondu ? Rien sans doute. Cet épisode passé, je me re concentrais sur mon travail. Enfin ce fut très court car je vis Nikolaï qui d’ailleurs ne m’avait pas remarqué et je dois l’avouer ce n’était pas plus mal. Il arborait fièrement une brune à qui il tenait la main en se dirigeant vers les toilettes. Accompagné de son sourire malicieux, il ne fallait pas être un génie pour savoir ce qui y allait se passer. Finalement pourquoi le regardais-je aussi ? Oui pourquoi ? Nikolaï m’insupportait, il avait une grande gueule, paraissait superficiel et surtout il était séduisant et en profitais largement. Soit ces caractéristiques, il n’est pas le seul à les avoir, néanmoins il prenait à malin plaisir à me titiller. Malin plaisir qui n’était pas partagé.
Une demi-heure plus tard, je vis le jeune Eliot sortir des WC toujours suivi par la jolie brune. Quelle chance ! Je tombais nez à nez avec lui lorsqu’il referma sa braguette. Élégant ! Nikolaï pouvait passer son chemin, car il savait très bien que je ne l’appréciais pas énormément. Malgré tout il me dit « M'zelle Morrighan ! C'est à ton tour d'y passer ? » . Ma foi c’était tout de suite moins poétique que l’approche du pauvre serveur. Je lui répondis par un sourire hypocrite. Je savais qu’en lui répondant, nous n’allions pas en finir. Il illustrait alors un sourire encore plus expressif. Ce qui signifiait que le jeune homme n’avait pas l’intention de partir de sitôt. Il lâcha encore « Tu veux passer la première où tu préfères en dernier histoire que je garde le meilleur pour la fin. ». Il essayait de me pousser à bout, c’est ça ? Je lui répondis « Il parait qu’il ne faut jamais dire jamais. Vu la situation je vais faire une exception. » Ma réplique n’y faisait rien à part agrandir son sourire. A l’intérieur je bouillais déjà, faut dire qu’à ce jeu il était plutôt doué. Il s’approche de ma table, je le fixe en ajoutant « Strahovski, tu vois ce cocktail ? Eh bien il ne va pas faire long feu si tu t’avises de faire un pas de plus.» Je ne l’aimais pas oui, ma menace était-elle convaincante ? Non.

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La remarque d'Rose me fit que plus sourire encore, près du bar, elle avait un cocktail à côté d'elle qu'elle n'avait visiblement pas touché encore, son nez dans ses bouquins. D'accord, si elle se trouvait chez elle, j'aurais compris mais dans un bar ? Des bouquins dans un bar ? Rien que ça c'était à mourir de rire ! Je ne savais pas comment elle faisait pour pouvoir ne serait-ce que lire une seule ligne avec le vacarme qu'il y avait ce soir. Elle voulait faire une exception à "jamais", sans aucun problème. Je savais que je venais de l'énervé et j'aimais bien ça parce que j'étais con tout simplement, aucune autre explication n'était plausible. Lorsque je m'approche d'elle, je l'entend me menacer, j'ai envie de rire. Ce ne serait certainement pas le premier verre d'alcool que je me recevrais à la figure. J'en avais accumulé des centaines depuis que je suis en âge de faire des conneries aux filles. J'hausse les épaules, j'ai pas peur, elle le sait. Je fais mine je m'approche d'elle mais je dérive sur la chaise libre juste à côté. Je ne comptais pas la laisser lire ses libres, oh que non. Toujours mon sourire à la con affiché sur mes lèvres, je me commande une bière au barman lorsqu'il passe devant moi. Pis je me re concentre sur la Morrighan. « T'as arrive à bosser avec tout ce vacarme ? Je dirais presque je suis impressionné !» Elle s'en fichait, je le sais, mais je faisais comme si mon opinion pouvait compter à ses yeux. Je regarde ma montre, la fille de tout à l'heure - oui j'avais déjà oublié son prénom, je ne sais même pas si je l'avais retenu au départ ou même écouté - ne devait pas tarder à revenir avec sa soeur. Je savais déjà tout ce que l'on pourrait faire les trois mais ses pensées prendront place plus tard dans ma tête. Je préférais me focaliser sur la jolie brune en face de moi. Elle avait vraiment choisi le mauvais soir pour étudier dans un bar, malheureusement pour elle, j'y étais donc pas de chance. Ma bière arriva, j'en bu une gorgée bien fraiche ce qui me fit du bien surtout après m'être dépenser comme je l'avais fait quelques minutes plus tôt, une seconde gorgée de celle-ci pis je la repose sur le bar. « T'étudies quoi ? » Sans attendre sa réponse, je lui prend le bouquin des mains puis le balance derrière moi sans même regarder ce que c'était. « Eho réveille toi, t'es dans un bar où y a des tonnes d'étudiants, du bruits à volonté et toi tu révises ? Tsssh.» Je secouais la tête comme si j'étais déçu d'elle. « Tu sais décidément pas faire la fête comme tous les autres élèves. » Pourquoi je me conduisais comme le dernier des abrutis avec elle ? Je ne savais pas vraiment mais elle était différente des autres filles avec lesquelles je passe mes nuits - ou mes journées - bien plus sérieuse et sainte nitouche que les autres. Je ne savais pas dire si ça m'agaçait ou me plaisait mais quoiqu'il en soit, je lui faisais chier avec plaisir.



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Réviser dans un bar … Rose t’aurais pas pu avoir une meilleure idée. Ma menace pour éviter d’avoir à supporter la compagnie de Nikolaï n’avait pas marché, puisqu’il se rapprochait de ma table en haussant les épaules. En y pensant j’avais été bien naïve de croire qu’en menaçant de lui jeter un cocktail, il allait partir. Il avait dû s’en recevoir pas mal vu son arrogance. Il s’approchait de ma table mais, dévia sa trajectoire en s’installant non-loin. Bref avec le boucan, plus ce perturbateur de première c’était raté. Strahovski arborait un sourire que trop joyeux, il commanda une bière et me dit « T'as arrive à bosser avec tout ce vacarme ? Je dirais presque je suis impressionné !». Il se foutait de moi là ? En sa présence c’était déjà mal partie. Il ne va pas me dire que ça l’intéressait ? Je lui répondis « Ça t’impressionnes ? Moi ce qui m’impressionne, c’est que tu oses me poser cette question. » Mais pourquoi perdais-je mon temps à lui répondre ? Il faut avouer que détester quelqu’un et jouer à la guéguerre c’était fatiguant, autant éviter les confrontations. Malheureusement Nikolaï n’était pas de cet avis. Il déclara à nouveau « T'étudies quoi ? » Sans attendre de réponse il prit mon livre des mains et le plaça derrière son dos comme un gamin qui aurait fait une bêtise. Ce n’est pas croyable comment pouvait-il être si exaspérant. Il me reprochait de ne pas m’amuser, sur ce côté-là il n’avait pas tort. Et comme il y avait une part de raison dans ce qu’il disait cela renforçait mon énervement envers lui. Agacée, lui le sourire au coin, je lui demandais de me rendre mon livre.
Il me fit un signe négatif de la tête. Mais merde il était borné celui-là ! Je me levais de ma chaise, m’approchant de lui, je réitérais ma requête, sa réponse fut la même. Je voulu faire diversion pour prendre mon livre dans son dos, mais en vain. Son regard voulait tout dire, « Rose à ce jeu, je suis le plus fort ». Il me provoquait c’était évident, voulant récupérer mon livre je t’entais de l’extirper de ses mains, mais je n’y arrivais pas. Le lord Hobo était bondé, les serveurs dansaient au milieu tables, c’était le rush. Dans la précipitation un serveur pressé me bouscula. J’atterris sur les genoux de mon voleur de bouquin. Ne voulant pas perdre la face j’oubliais même dans quelle posture j’étais et je fus focalisée sur l’obtention de ce ‘’précieux’’ livre. En regardant la scène de loin on semblait être deux grands gamins se battant pour avoir leur jouet favori. Je n’aperçu pas tout de suite que la brune avec lequel Nikolaï était accompagné tout à l’heure, se tenait devant nous. Elle était suivie d’un sous-fifre, enfin ça devait être sa sœur vu qu’elles se ressemblaient étrangement. D’un seul coup, elle prit le cocktail que je n’avais pas touché de la soirée et me le lança à la figure. Je me levais d’un coup, c’était quoi son problème à elle ? Elle émit un sourire et lâcha « Oups, je suis désolée. » Je n’eus pas le temps de réagir qu’elle s’éclipsa et lança un clin d’œil malicieux au beau brun, accompagnée de son numéro de téléphone sur un bout de papier. Réviser dans un bar avais-je dis ?
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