Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityLes surprises ne sont pas toujours les meilleures. PV Matteo&Nikolaï
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Les surprises ne sont pas toujours les meilleures. PV Matteo&Nikolaï

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Il y a une heure, j'étais devant la maison des Eliot à me prendre la tête avec Nikolaï, j'avais le sang chaud et vu que je n'aimais pas sa famille, ça n'allait pas entre nous. Mais il n'y avait pas que de la méprise, il y avait une attirance sexuelle. Je me retenais pourtant, c'était mal de coucher avec l'ennemi mais devant cette maison, il y avait eu quelque chose. Pour résumer, j'étais à présent nue avec lui dans sa chambre, ça faisait du bien de sentir ses mains sur mon corps, ses lèvres, sa langue, j'en étais folle, et je frémissais à chaque fois. Ses vêtements n'avaient pas fait long feu avec moi, il s'était vite retrouvé nu, moi aussi d'ailleurs. Je l'avais inondé de caresses, de baisers sur sa peau. Les préliminaires s'étaient annoncés plutôt chaleureux, mais une pointe sauvage, depuis le temps que je résistais à l'envie de lui sauter dessus, à présent, je lui cédais enfin. Les choses avançaient tellement bien entre nous. A présent, mon partenaire était allongé sur le dos, et je m'occupais de lui comme il se doit, serrant ses cuisses sous le plaisir que l'on prenait tous les deux. En effet, je m'occupais de lui, je lui offrais mes lèvres dans un mouvement de va-et-vient régulier, très langoureux. Et quand enfin, je revenais entièrement au dessus de lui, pour l'embrasser alors que je sentais déjà son bassin se coller contre le mien. Je fermais les yeux sous le plaisir des mouvements que nous entreprenions tous les deux. Je poussais un long soupir langoureux, puis un autre... J'étais bien, heureuse, pour une fois que je ne pensais qu'à une seule chose : lui. Mais soudainement, j'entendis la porte de la chambre s'ouvrir, et curieuse, je tournais la tête vers la personne qui entrait, et je sentais mon cœur s'arrêter. Matteo. Lui. Je me sentais à la fois honteuse d'être surprise dans cette position, mais à la fois, je prenais plaisir à lui montrer que je m'amusais bien avec l'Eliot, même si je ne savais pas qui il était pour Nikolaï. Pour ma part, je m'amusais à continuer quelques mouvements de bassins sous ses yeux, ramenant mes cheveux sur le coté pour le regarder avec ce petit air de satisfaction. Je me demandais ce que l'Eliot allait faire à présent...
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G. Teodora Leonetti, Matteo Di Constanzo & Nikolaï A. Strahovski
Between men and women there is no friendship possible. There is passion, enmity, worship, love, but no friendship.
Oscar Wilde

Si j'avais su que ma soirée se terminerait au lit avec une canon comme Teodora, j'y aurais jamais cru. Pas qu'il m'arrivait pas de finir la nuit avec des nanas aussi canon quoique plus canon c'était dur à trouver. On s'était disputé comme à notre habitude juste parce qu'elle était une Leonetti et que j'étais un Strahovski. L'un avec l'autre ne faisait jamais bon ménage. Elle me prenait la tête et m'énervais, je ne pouvais pas rester sans rien dire lorsqu'elle était dans le coin pourtant y avait ce putain de truc qui se passait entre nous. Un aveugle pourrait le repérer à des kilomètres tellement la tension était à son maximum. J'avais rien vu arriver. On se retrouvait dans ma chambre, sur mon lit, s'embrassant, se caressant. Mes mains avaient parcourut l'entier de son corps lorsque je m'étais débarrasser de ses vêtements - assez rapidement d'ailleurs- sa peau douce sous mes caresses, je ne pensais à rien d'autre qu'au moment précis alors que je copulais avec l'ennemi. Mais mes pensées trop occupées à déguster ce sublime corps pour faire que je reprenne la raison.
Nu sous elle, elle avait pris les devant, j'aimais les femmes qui savaient faire les choses et qui prenaient les commandes. Ca changeait de l'habitude. Une main dans la chevelure blonde de la belle, je n'avais pas pris au tant de plaisir que ce soit-là. Teo était visiblement douée pour plusieurs choses, je ne regretterais certainement pas ce qu'il se passait entre elle et moi. Les choses sérieuses commençaient lorsqu'elle se releva pour venir m'embrasser, mes mains quittèrent l'endroit où ils se trouvaient pour venir se poser de chaque côtés des hanches de la terrible blonde. Nous étions passé de la fougue à ce côté langoureux. Ca ne me déplaisait pas le moins du monde, bien au contraire. Mon regard dans le sien, je ne vis pas la porte s'ouvrir tout de suite c'est lorsque j'entendis les pas derrière la jeune femme que je compris que nous n'étions plus seul dans ma chambre. Je levais la tête rapidement pour voir mon meilleur ami. Qu'est-ce qu'il foutait ici ? Avais-je oublié de coller le logo de la maison à l'envers qui signifiait que je n'étais pas seul ? il était fort probable vu comment les choses se sont passées si rapidement entre la jeune Leonetti et moi. Je n'avas pas honte de me faire une fille devant lui, c'était bien le seul avec qui je pouvais tout partager même une fille. Pourtant ce n'était vraiment pas le moment, je me voyais mal proposer un plan à trois surtout lorsque je sais que Teo et Matteo se détestaient pire encore qu'elle et moi. C'était à peine s'ils pouvaient se sentir. La belle blonde n'avait pas l'air de vouloir arrêter, elle continua ses mouvements de bassins sur moi me procurant encore plus de plaisir. Je fermais un instant les yeux pour savourer ce moment, espérant que mon meilleur ami ne dise rien et sorte de la chambre mais les choses n'allaient pas vraiment se passer ainsi. Dommage ! Je ne savais pas si je devais tout arrêter ou profiter d'elle encore quelques temps tellement c'était délicieux. « Je... » Mes mains toujours sur ses hanches, je l'accompagnais d'un mouvement de bassin mais finit par la bloqué pour ne plus qu'elle bouge. « Matt ce... ce n'est pas ce que tu crois... » L'excuse bidon qu'on sortait quand on était fautif. J'espérais qu'il ne m'en veuille pas de coucher avec la fille qu'il déteste le plus au monde ou quelque chose du genre !

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Le soleil tapait sur le campus alors que je me baladais sans destination précise. L’ennui était-il mortel ? A ce qu’il parait non mais à cet instant précis, j’en doutais fortement. Si jamais j’attrapais celui qui avait dit que l’ennui était une chance, je le tuerais sur place. Mes cours étaient fini depuis longtemps, ou plutôt le prof qui assurait les cours de Psychologie était partit depuis longtemps, en courant, s’exclamant qu’il avait rendez-vous avec Homer Simpson. Pas très rassurant, la preuve que toute personne étudiant la psychologie finira un jour ou l’autre devant un psychologue à son tour. Triste destin qu’est le mien. Mes pieds avançaient sans que je n’ai à les guider pour que, finalement, je me retrouve devant la maison des Eliot. Pourquoi pas, après tout. Niko devait certainement être dans sa chambre, vu qu’il n’avait pas cours de l’aprèm, si je me souvenais bien. J’haussais les épaules avant de pénétrer dans une maison qui m’était inconnu mais à la fois familière, à force de rendre visite à mon meilleur ami. Bien sur, j’eu droit à quelques regards de travers en traversant le hall, m’étant fait quelques ennemis parmi les bleus. Par chance, mes plus grands ennemis se trouvaient dans d’autres maisons que celle-ci, comme par exemple les Cabot, pour ne citer qu’une personne. Au bout de quelques secondes, je me retrouvais devant la chambre de mon ami. Bizarrement, ma main se stoppa sur la poignet de la porte, mes sourcils se fronçant légèrement. J’avais un pressentiment bizarre. J’aurais peut-être du l’appeler avant de passer… Oh et puis tant pis pour lui ! Il a qu’à pas faire des bêtises en plein milieu de l’après-midi. J’ouvris aussitôt la porte, sans frapper, m’attendant à le voir en pleine action avec une belle brune. Autant dire que j’étais déçu. Mon téléphone en main, prêt à immortaliser le moment pour qu’on puisse en rire plus tard, accompagné mon sourire malsain qui se transforma rapidement en grimace lorsque je vis la personne qui tenait compagnie à mon meilleur ami. Cette scène était une vision d’horreur, pire qu’un film prévu à cet effet, selon moi. Ma main lâcha inconsciemment mon portable alors que le monde s’écroulait autour de moi. Non, je m’en fichais, j’en avais totalement rien à foutre… Je fermais un instant les yeux, après avoir croisé le stupide regard de la blonde alors qu‘elle continuait ses mouvements. Ca ne dura qu’une fraction de secondes, le temps que je retrouve mes esprits. Prenant conscience que la situation devait avoir l’air bizarre, je me repris en main et éclatais d’un rire bruyant, peut-être un peu trop sur joué pour faire vrai. Mon meilleur ami venait de me trahir, inconsciemment, mais je ne voulais rien laisser paraitre, c’est pourquoi je pris mon air le plus ironique possible, ignorant sa piètre réponse. Rassure-moi, t’étais en manque mais y’avait aucune fille à ce moment là… Tu l’as payé combien cette pute ? demandai-je en prenant une mine intéressé tout en récupérant mon téléphone au sol. J’en profitais pour jeter un rapide coups d’œil au corps dépourvu de vêtements de mon ennemie. Mon dieu, qu’il avait de la chance.
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La seule chose positive de la journée c'était que j'avais couché finalement avec Nikolaï, mais au fond, pourquoi je me sentais attirée par lui? Pensais-je plus à Matteo que je ne le croyais? Peut-être je cherchais à me sentir bien à travers les bras de son meilleur ami. Mais au fond, je ne voyais pas le visage de Matteo, mais celui de Nikolaï, et c'était lui que j'embrassais, à qui j'offrais ses mouvements de bassins langoureux. Et je profitais que Matteo soit surpris par ma présence sur son meilleur ami pour détourner l'attention de mon amant pour lui faire plaisir, pour lui montrer que même s'il venait de coucher avec moi, il n'avait rien à regretter. Je me mis à sourire, et même à me mordiller la lèvre en le voyant apprécier les mouvements de bassins mais il me stoppe, j'étais dégoutée, je ne voulais montrer un peu plus mon talent à Matteo, à quel point je lui étais supérieure. J'entendis mon partenaire essayer de se trouver une excuse pour ne pas subir les foudres de son ami. Je me mis à rire sournoisement, me cachant avec ma main pour le cacher un peu et l'étouffer, après tout, j'étais seule avec mes ennemis, nue qui plus est. Mais mon regard se tournait rapidement vers Matteo lorsque je l'entendis rire, et je le lui lançais un regard noir en l'écoutant. Moi? Une Pute? J'avais certainement moins connus de partenaires que lui et il osait dire ça? Ça m'énervait, au fond, ça me blessait vraiment, j'avais l'impression qu'il le pensait, je le sentais au fond, c'était peut-être ça ce que je représentais pour lui? Ma main se mettait à serrer la chair de Nikolaï, j'essayais de contenir la colère qui me submergeait, la douleur que représentait les mots de l'italien. Au fond, je me torturais encore de questions : Pourquoi il dit ça alors que je rêve que ce soit lui qui fasse ça? Pourquoi ne comprend t-il pas que j'ai besoin de l'oublier ? La douleur était grande, mais au fond, je savais qu'elle devait disparaître et que je devais faire comme-ci je n'étais pas atteinte. Je m'allongeais sur Niko pour l'embrasser rapidement avant de lever mon bassin pour me retirer de lui. J'attrapais un drap pour entourer mon corps et me dépêcher de m'approcher du Winthrop. Alors chéri, je te le dis directement, j'aurais besoin d'argent, je pense que tes propos seraient cohérents! Mais c'est pas le cas, je suis même plus riche que toi! Dis moi, tu serais pas jaloux car lui il se fait une fille aussi canon que moi ? Et que toi tu erres comme un SDF sans fille à te faire ? Elles doivent flairer que tu es un connard, tu pues à des kilomètres! C'était tellement bon avec Niko que j'ai pas fais gaffe que tu arrivais! ah ah! je me pinçais la lèvre, me rapprochant un peu tout en lui riant au nez. J'aurais pu lui dire ce que je ressentais, j'aurais plus proposé un plan à trois... Mais la prochaine fois que tu me traites de pute, je ne serais pas aussi clémente avec toi. Surtout que tu me coupes dans un super moment. dis-je alors en attrapant ses épaules et en lui mettant un coup de genoux très bien placés. Je partais à la recherche de mes vêtements, je voulais partir, je ne me sentais pas du tout rassurée d'être seule contre eux. Allaient-ils s'en prendre à moi ?
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G. Teodora Leonetti, Matteo Di Constanzo & Nikolaï A. Strahovski
Between men and women there is no friendship possible. There is passion, enmity, worship, love, but no friendship.
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J'm'attendais pas à couché avec Leonetti et encore moins que mon meilleur ami nous surprenne en pleine acte. Là, je savais carrément pas comment réagir, c'était la merde. Matt se baissa pour ramasser son portable, il avait du avoir les boules de me voir avec notre pire ennemi enfin surtout la sienne. Je me sentais con d'un côté car il était quasi la seule personne avec Meg qui je voulais pas décevoir. Je dû stopper Téo en me faisant violence pour ne pas l'inciter à continuer encore tellement c'était bon. J'entend Mat rire et je fronce les sourcils. C'était marrant ? Sa remarque me rassura, wep il le prenait pas mal c'était moins une. Je sentais que l'insulte qu'il venait de dire n'allait pas être du goût de ma partenaire et le temps d'un quart de seconde, j'eu peur qu'elle s'en prenne à moi lorsque je la sentis me serrer la cuisse. A la place, j'eu le droit d'un baiser que je profitais de prolonger avant qu'elle se retire définitivement - et avec regret j'espère - de moi. Je ne pu m'empêcher d'admirer son corps de bas en haut et de haut en bas avant qu'elle le recouvre d'un drap. Elle avait un corps de rêve, c'était clair et putain quel corps ! N'importe quel homme pourrait succomber à son charme. Même si ennemi, la preuve avec moi ! J'avais un peu le goût amer de n'avoir pas pu aller jusqu'où bout avec la jolie blonde. Je m'assieds sur mon lit tout en regardant Mat et Teo parler. Encore une chose à laquelle je ne m'attendais pas, le coup qu'elle donna dans les parties à mon meilleur ami. Je ne put réprimer une grimace en sachant ce qu'il pourrait ressentir. Ayant eu déjà des coups à ce niveau de mon entre-jambe, les nanas, toujours à utiliser ce moyen pour nous faire souffrir étant donné que nous n'avons pas de coeur avec elles, elles ont raison car ça fait... mal. « Ouuuuuuuh... ça va mec ? » Ni une ni deux, j'enfilais mon boxer et m'approchais de lui en posant ma main sur son épaule tandis que Téo cherchait ses vêtements éparpiller dans ma chambre. Elle aurait sûrement du mal à les trouver, vu comment on s'était débarrassé de nos vêtements en coup de vent, les lançant n'importe où dans la pièce. Je sais pas du tout comment les choses vont se finir dans cette chambre, mais entre pulsion sexuel et haine, j'savais pas lequel était au dessus de l'autre. Ouais, y avait un que je préférais plus que l'autre c'est clair et net mais avec mes Teo et Matt, on ne savait jamais. « Avant que tu ripostes... » Que dis-je à Matteo car je savais qu'il allait sûrement le faire, ne laissant jamais le dernier mot à la jeune Leonetti. « Laisse la se rhabiller, ça fais pas très... gentleman sinon ! » J'étais loin de défendre Téo, c'est sûr que je supporterais toujours mon meilleur ami peu importe la fille qui se trouvait en face.


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Qu’avais-je donc fait pour mériter un tel châtiment ? J’aurais préféré sauter d’une tour plutôt que me retrouver dans cette étrange situation. Je ne savais pas où poser les yeux, mes pensées se perdant par la même occasion. Devais-je détester mon meilleur ami pour coucher avec celle que je hais ? Non, tout de même pas… J’espérais que j’en étais capable, du moins. Je retins un ricanement lorsque je la vis embrasser avec légèreté les lèvres de l’Eliot. Du grand n’importe quoi. Elle voulait absolument que l’attention se porte sur elle mais je m’en fichais totalement, malgré les courbes de son corps qui attirait mon regard contre mon gré. J’esquissais un sourire en hochant la tête, encaissant les paroles que la Cabot me débitait sans broncher. Pourquoi répondre à des provocations non fondées ? Je n’étais pas du genre à perdre mon temps avec des gens qui n’en valaient pas la peine. Ouais, je sais, Niko est doué au lit, je ne choisis pas mes amis n’importe comment, tu crois quoi. Il a juste du mal à choisir ses partenaires, à ce que je vois. m’exclamai-je, presque amusé de la situation. Autant dire que l’amusement dura guère longtemps puisque le genou de la blondinette s’écrasa contre mes parties intimes avant que je n’eu le temps de dire « ouf ». Sentant une vive douleur, je me mordis la lèvre en serrant le poing en l’air. Mon chevalier servent, autrement dit Niko, s’approcha de moi pour finalement poser sa main sur mon épaule en s’inquiétant sur la douleur que je pouvais ressentir. Entre mec, on se comprenait. J’hochais la tête avant de pousser sa main de mon épaule, laissant échapper une grimace. Pose pas ta vieille main qui à toucher cette… Biatch sur moi. grognai-je tout en montrant mon accord sur ses paroles qui suivirent. T’as bien raison, mec. dis-je en attendant patiemment que la jeune femme finissent de se vêtir.

Elle n’eut même pas le temps de relever la tête que je lui sautais dessus. Mes mains s’agrippèrent à sa gorge alors que je la poussais sur le lit pour être assis à califourchon au dessus d’elle. Je jetais un coups d’œil à la pièce, cherchant des yeux un objet que je ne trouvais malheureusement pas. Aussitôt, je me tournais vers Niko, lui jetant un regard insistant alors que mes mains étaient toujours autour de la gorge de Teo. Ramène moi des ciseaux ! Une lame de rasoir ! Un couteau, je sais pas un truc pour que je puisse me débarrasser d’elle ! Ou alors je l’étrangle carrément… ajoutai-je en fronçant les sourcils. C’était pas une mauvaise idée, en plus il y aurait pas de traces de sang. J’aurais juste à la jeter je ne sais où, sans compter sur mon père, qui serait ravis de mettre la main sur son corps dépourvu de vie afin de faire chanter sa famille. Leonetti, t’es morte !
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Je ne supportais pas qu'il me dénigre, il me faisait mal, je souffrais à chaque mot qu'il me sortait. Je faisais pareil, mais c'était un garçon, il avait plus l'habitude de moi. Je me rendais compte que j'avais vécu comme une princesse à la mort de ma mère, j'étais si vulnérable. Et le pire dans tout ça, c'est que je les entendais. Lui qui souffrait de mon coup de genoux, et Nikolaï qui compatissait à sa douleur, c'était bien mérité! Pour ma part, je les entendais, ils étaient idiots de me sous-estimer, ils étaient idiots de me laisser du temps pour me préparer, je savais qu'il allait s'en prendre à moi, ce n'était pas la première fois que nous en venions aux mains, surtout moi qui commençait. A chaque fois, je risquais ma vie à présent. Ils étaient entre eux, il ne me regardait peut-être pas mains j'avais pris un petit couteau, contrairement à lui, j'étais méfiante dans n'importe quelle situation. Je le serrais dans ma main et lorsque je sentis sa main sur mon corps alors que je venais de refermer ma robe. J'aurais aimé qu'il me plaque contre le mur pour m'embrasser, pour me faire l'amour pourquoi pas. Déjà que moi-même je ne le ferais pas, pourquoi le ferait-il ?

Je me retrouvais rapidement allongée sur le lit, étouffer par la main du Winthrop qui me maintenait. Je le regardais dans les yeux, dépitée. Je ne supportais pas cette situation, je n'avais pas envie de le frapper, déjà que ce que j'avais fais c'était simplement pour le punir des mots qu'il avait eu à mon égard. Je le fixais, tout en serrant le petit couteau dans ma main. Il cherchait à me tuer, à me faire du mal. Le sang de ma mère n'a pas suffit à ta famille? Si celle de la sœur de Romane ? Il faut en plus que ça? tu veux me tuer?! Tu es vraiment rapide pour essayer de me tuer... mais pas plus que moi... Je glissais ma main qui tenait le couteau entre ses cuisses, glissant ma lame près de ses parties génitales. Un sourire se dessinait sur mes lèvres, un sourire sadique, joueur. Essaie de me faire du mal et tu risques d'abandonner possible descendance. Tu veux jouer à ça? Risquer ta vie simplement parce que tu es bête et stupide ? J'essayais de garder mon sang froid, et combien même essaierait-il de se défendre, je ne lui ferais jamais rien. Je préférais lui offrir du bonheur sur les parties que je menaçais que de lui faire du mal, voir même le tuer. Mais je ne pouvais pas m'affaiblir, il me détestait autant que j'essayais de le détester, j'étais pitoyable, faible face à lui. Au fond, quand je le regardais, je me disais que peut-être n'était-ce pas une si mauvaise idée de mourir, être torturée par la pensée de mes sentiments me tuait déjà, il ne ferait qu'abréger les souffrances que je subissais.
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G. Teodora Leonetti, Matteo Di Constanzo & Nikolaï A. Strahovski
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Je vois les deux gens se prendre le bec, Matteo sur elle, ses mains autour de son cou. Je me demande ce qu'il veut bien faire. Je sais que mon meilleure amie ne la tuerait pas. Il est pas con pour le faire dans ma chambre de une pis "juste pour ça", au pire. Je le stoppe avant sans soucis. J'ai pas l'intention de m'interposer entre eux mais quand Teo sort son couteau je hausse les sourcils, surpris et pas surpris en même temps. Ca m'étonne pas qu'une fille de mafieuse ait ce genre d'arme sur elle surtout quand elle est dans une chambre avec deux ennemis. Je les regarde et m'assied sur la chaise de mon bureau, toujours en boxer, je me contente de regarder le spectacle que les deux jeunes m'offrent. Ca c'était de la haine ! « Si vous voulez vous entre tuer, vous pourrez éviter de le faire sur mon lit ou mieux dans ma chambre ? » Ouais, je prenais le tout à la rigolage. N'importe quel con irait s'entre tué mais je savais mon meilleur ami plus intelligent que quiconque. Teo n'était pas stupide non plus. De les voir tous les deux comme ça, ça me fait rire, c'est clair qu'ils avaient la haine pourtant je pensas déceler une autre sorte de tension entre les deux, ça me fit bizarre et je rayais direct ça de ma tête tout en me levant, je m'approche d'eux. « C'est limite, si vous n'allez pas vous rouler une pelle. » Je pose ma main sur l'épaule de Matteo, je savais qu'en faisant cette remarque, il la lâcherait très certainement. Mon meilleur ami ne pourrait pas se voir avec elle surtout en lui mettant cette image dans la tête. « Aller lâche la, ça n'en vaut pas la peine. » Je le poussais en arrière pour qu'il desserre son lien sur le cou à la jeune Leonetti et que "tout rentre dans l'ordre". C'était dingue comment nous n'étions pas maitre des choses, y a quelques minutes je me tapais la belle blonde et maintenant mon meilleur ami voulait la tuer. Je soupirais, j'aurais au moins voulu terminé avec elle avant qu'il n'entre. La faire monter au 7ème ciel comme je savais si bien m'y faire. Je me disais que si ça s'était produit une fois, ça finirait bien par se reproduire une autre fois et je gardais "espoir". Je pourrais toujours la rejoindre plus tard dans sa chambre et lui dire de terminée ce que l'on avait commencé. Mais en ce moment, ce n'était pas ce qui me préoccupait. Eviter que ces deux là s'entretue était plus important pour moi. De un, je ne voulais pas que mon meilleur ami soit blessé sinon je risquerais de devoir faire du mal à Teo et j'en avais pas tellement envie. De deux, je ne voulais pas salir mon lit avec du sang, c'était chiant à nettoyer même avec de bons produits. Je finis par attendre qu'ils s'éloignent l'un de l'autre tout en cherchant mes vêtements dans la chambre. Je n'allais pas rester en sous vêtements. Je retrouvais mon jeans, puis ma chemise que j'enfilais. Tout en boutonnant celle-ci, je revins vers les deux haineux. « J'ai faim, vous ne voulez pas qu'on se commande une bouffe ? » Etant un gros - que dis-je - un énorme mangeur, j'avais très souvent si ce n'est pas tout le temps faim. Et encore plus après un effort même si cet effort n'était pas terminé. Je pris mon portable qui se trouvais sur mon bureau pour composer le numéro de la pizzeria la plus proche. « Dîtes moi ce que vous voulez avant que je commande les gars. » Fallait changer de conversation, diversifié les choses pour ne pas qu'ils repensent à se faire du mal tous les deux. J'avais rien trouvé à par le thème de la bouffe, chose que j'aimais en parler.
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C’est fou ce que l’on s’amusait à Harvard, certains préférés se taper des filles qu’ils auraient du détester, moi je préférais essayer de les tuer. De rétablir l’ordre, en quelque sorte. Je ne comptais pas me laisser faire par une stupide blonde qui osait être dans la chambre de MON meilleur et ce, même si la blonde en question était plutôt pas mal physiquement. Bon, je l’avoue, j’adorais sa poitrine. Il faut dire que positionner ainsi sur elle, mes mains autour de son cou, j’avais une bonne vue. Certainement la dernière que je n’aurais jamais puisque quelques secondes après l’avoir attaqué, je sentis une chose glisser près de mes parties précieuses. Ta mère était une pute, si elle est morte, c’est pas pour rien ! De même que la sœur de Romane, on tue pas les gens s’ils nous ont rien fais, tu devrais le savoir ça. dis-je avant vérifier ce qu’était l’objet qui commençait sérieusement à me gêner. Alors que je pensais que c’était la boucle d’une ceinture, un stylo qui trainait où je ne sais quoi, j’eus la surprise d’y voir une lame argenté, prête à ma castrer à vie. Je déglutis. Dis encore une fois que je suis bête et stupide et je te jure que t’auras plus de tête. grognai-je en rapprochant mon visage près du sien, les dents serrées pour ne pas laisser échapper ma colère. Cette fille était tout ce que je détestais, il suffisait de voir son nom de famille pour savoir qu’elle n’était pas fréquentable. De même que ses cousines qui ne valent pas mieux qu’elle, le côté ringard est surement de famille. A cet instant, la présence de Niko m’était passé par-dessus la tête, j’étais bien trop occupé à fusiller Teo de mes yeux animés d’une colère incessante.

Plus rien ne pouvait m’arrêter, sauf peut-être ce couteau entre mes jambes mais ce n’était pas le plus important, je n’avais pas l’intention d’avoir d’enfants, dans tous les cas. J’avais l’occasion de la tuer sur place, occasion qui ne se présenterait peut-être plus. Devais-je aller jusqu’au bout ou renoncer en me montrant plus gentil que je ne le suis ? Ce fut la remarque de Niko qui me fit prendre ma décision: Embrasser cette fille, beurk, n’importe quoi. Aussitôt, je bondis en arrière, me jetant moi-même sur la lame de fer sans le faire exprès, ce qui eut pour effet de faire un joli trou dans mon pantalon sans pour autant abimer mes bijoux de famille. Je préfère encore rouler une pelle à ma mère qu’à cette meuf ! crachai-je alors que je tremblais, pire que traumatisé par la remarque de mon meilleur ami. Je lui lançais d’ailleurs un regard plein de reproche, l’interrogeant en silence sur ce qu’il venait de dire. Où avait-il eu cette idée ?! Je préférais mourir que toucher les lèvres de cette femme. Mais alors que j’étais en pleine reprise de confiance en moi, Niko refit son apparition devant nous, prévenant qu’il mourrait de faim. Il était sérieux, là ? J’en croyais pas mes oreilles et sans que je ne puisse résister, j’éclatais de rire, lui donnant une tape à l’arrière du crâne. Quel con. Je propose que tu commandes toutes les pizzas possible, et que tu adresses la note à Teo, si elle veut tenter de se faire pardonner. Elle m’a niqué mon pantalon préféré. précisai-je en faisant de gros yeux, montrant en même temps mon entre-jambe pour prouver mes paroles. L’instant d’après, je tuais Teo du regard. La pauvre, je m’adressais à Niko comme si elle n’était pas présente, comme si elle ne m’entendais pas. Tant pis pour elle, il ne fallait pas faire la maline en ma compagnie. J’adressai un sourire à Niko tout en me jetant sur la chaise qui se trouvait près du bureau, attendant qu’il passe le coups de fil, j’en profitais même pour regarder le trou que j’avais: C’était pas passé loin, j’espérais qu’elle allait s’étouffer avec un bout de pizza, cette biatch.
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Au fond, j'avais peur que ça tourne mal. Faire du mal à Matteo ? Pas à ce point là. Je le fixais, j'espérais que malgré la haine profonde qu'il avait envers moi, qu'il ne parte pas dans un bain de sang. Il insultait ma mère, mais je n'arrivais pas à lui en vouloir, je me disais : « c'est parce qu'il ne la connaissait pas. » Il parlait trop vite, comme un enfant. J'étais vraiment pathétique. Son souffle proche de moi, cette torture, là je le détestais. Il me faisait souffrir, et ça l'amusait bien, hein ? A ce moment là, peut-être que de le castrer serait la meilleure des solutions, ça empêcherait qu'on le touche, qu'il n'ai plus que sa personnalité pour plaire... C'était bête de ma part de penser ça, mais j'étais jalouse, il m'insultait de coucher avec son meilleur ami alors qu'il se faisait des salopes... C'était elle les putes! Ça m'énervait qu'il ne comprenait pas ça! Mon coeur fit un salto lorsque Nikolaï se permit une réflexion. Je ne laissais rien paraître, voir même je copiais l'air de dégout que ressentait Matteo à mon égard. Je sentis Matteo s'écarter, le couteau lui arracha son vêtement. J'eus un peu peur mais je ne disais rien, me mettant à quatre pattes sur le lit pour me mettre de l'autre coté, loin de lui. Je ne disais plus rien, ça m'énervait d'être seule contre eux deux, si je m'attaquais à Matteo, Nikolaï finirait par l'aider si je réussissais un jour à tenir tête à Matteo. Je tenais toujours fermement le couteau et prit mon sac pour mettre la petite « ceinture » autour de la cuisse pour y glisser la lame. Je regardais Matteo, souriant en voyant le trou dans son pantalon, je n'étais pas passer loin. Je penchais légèrement la tête lorsque Nikolaï proposa de manger une pizza... « ensemble ». Avait-il remarqué que c'était la troisième guerre mondiale entre moi et Matteo ? Que ça finirait encore aux mains si nous restions dans le même endroit ? ça dépends si Matteo aime les masques à la tomate... dis-je en riant, m'approchant de Matteo. Mon regard dans le sien, je m'approchais. Je n'avais plus le couteau dans mes mains, mais ma meilleure arme était mon corps. Plutôt rapide, je glissais mon doigt dans le trou de son pantalon, pressant ma main entre ses cuisses. On s'entendrait bien, je lui dirais que la nature le gâtait très bien et que je me proposais pour être celle qui s'en occuperait...à vie. Mais ce n'était pas le cas. Je préférais serrer un peu, sans lui faire mal, me rapprocher de lui avec un air malicieux. Arrête de te plaindre, je suis sur que ça te ferait kiffer d'avoir la place de Niko... Je pressais un peu plus sur son boxer. Hypocrite... Je retirais ma main pour m'écarter de lui avant qu'il ne s'en prenne à moi. Et j'avais ma méthode pour qu'il ne s'approche pas. Je me glissais dans les bras de Nikolaï. Je prenais ses mains pour les poser sur mes fesses, les remontant un peu pour que Matteo voit ce qu'il devrait arrêter de dire de « sale » … Mes lèvres à coté de son oreille, je glissais ma langue sur son lobe avant de lui murmurer. ça te dit pas plutôt qu'on...y ailles seulement tous les deux, et...après... on pourrait reprendre où on s'en ai arrêté. Mon bassin contre le sien, ma poitrine bien collée contre son torse, je lui vendais mon temps, mon corps... et tout cela, pour le plaisir humain. Et je voulais quitter la torture de Matteo, de sa présence qui me torturait chaque seconde. J'étais attirée par mon ennemi, par l'homme que je devais haïr, voir même essayer de tuer. J'étais comme Juliette avec Roméo. Déchirée entre l'amour impossible et le devoir familiale. Je me serrais plus contre Nikolaï à cette pensée.
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