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Wilhemnia & Phoenix
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forgive me, but you're my friend | Allongé sur ce lit une place, il est assez tard quand tu regarde ton téléphone sur le sol avec les nombreux livres qui recouvre la moitié de la chambre. Tu devrais être à ton appartement depuis plusieurs heures, mais tes révisions ont pris plus de temps que prévu. Soupirant, tu sens que ton cerveau va finir par s'éteindre avec les nombreuses informations que tu viens de lui faire avaler. Te redressant tant bien que de mal, tu arrive à te lever pour ramasser tes bouquins et les mettre dans ton sac. Attrapant ta veste ainsi que tes clés de voiture, il est temps pour toi de rejoindre le centre ville, mais avant tu dois t'arrêter pour prendre un truc à manger. Arrivant à la porte, tu l'ouvre avant de croiser son regard. Durant deux secondes, tu retiens ton souffle en voyant son visage et le petit garçon qui se trouve dans ses bras. « Nix... » dis-tu très surprise et surtout assez contrarié de le voir ici après son absence et sans donner de nouvelle. « Tu ne devrais pas être ici. » autant dire que tu n'as pas envie de lui parler. Sortant de la chambre, tu ferme la porte en le laissant seul comme un con. |
forgive me, but you're my friend | Surprise, tu ne t'attendais pas à le voir sur le pas de ta porte. Ce mec avec qui tu as grandi et que tu n'as plus revu du jour au lendemain. Tu as cette impression de faire fuir tous les hommes de ta vie. Tout ceux que tu croises, qui passe dans ta vie sont soit "mort" ou alors s'en vont sans te prévenir et sans te donner un signe de vie. « J'en ai rien à faire, sort d'ici et retourne d'où tu viens ! » dis-tu en criant. Le voir, ça te fait mal et tu cries parce que tu lui en veux de t'avoir laisser. Enfin c'est ce que tu veux montrer, car son absence t'as bien fait mal, comme si on t'enlevait une partie de toi. Tu ne veux rien entendre et pourtant tu fronces les sourcils en entendant des pleures. Tu te rapproche de la porte et instinctivement, tu ouvres sans croiser son regard. Tu n'ouvres pas pour lui, mais par les pleures que tu entends « Qu'est-ce que tu fais avec un bébé ? » ouvrant grand les yeux, tu laisse ta main se poser sur le visage du petit. |
phoenix & wilhemniamise en page par mad love Je suis derrière la porte, comme un con à frapper et à hurler pour qu'elle m'ouvre. Tout ce qu'elle me dit c'est de sortir d'ici et de retourner d'où je viens.. Mais elle me connait assez, pour dire depuis l'enfance ça fait un moment, pour savoir que je ne baisse jamais les bras sachant que le jeu en vaut la chandelle. Puis enfin la porte s'ouvre, elle ne me regarde pas mais pose son regard sur Liam qui pleure dans mes bras. Je me mords la lèvre et soupire « Tu me laisses entrer et je t'explique ? » Je tente une dernière tentative pour qu'elle me laisse entrer, j'espère seulement que ça va la convaincre. Elle a posé une main sur la joue de Liam qui la regarde de ses yeux bleus aux reflets gris, les mêmes que les miens. Liam pleure toujours autant mais il est absorbé par Will, se demandant pourquoi elle ose le toucher. « Will s'il te plait, laisse moi entrer. Je veux juste que l'on parle. » En fait j'en crève d'envie, parce qu'elle me manque tellement.
ps : désolée pour le retard
forgive me, but you're my friend | En faite, tu ne veux pas lui ouvrir cette fichu porte. Tu veux juste qu'il s'en aille loin, très loin comme il l'a si bien fait pour ne plus revenir et sans te laisser un mot ou alors t'envoyer un pauvre message. Il va te dire qu'il a aussi perdu son téléphone et ton numéro ? Il en serait bien capable. Tu peux être très têtué, bornée et tout ce qui va avec. Une vraie tête de mule et tu t'en fiche. Tu n'aurais pas craqué si les pleures d'un être que tu ne connais pas n'aurait pas retenti jusqu'à tes oreilles. Tu ouvres la porte sans lui accorder un seul regard. Il ne le mérite pas, mais ce petit être qui a des yeux tellement merveilleux, les yeux de son paternel comme tu le constate. « Tu ne le mérite pas Nix... » dis-tu en laissant ta main glisser sur la joue du petit garçon qui petit à petit se calme sous tes caresses tendres. Tu croise son regard, celui que tu veux à tout prix fuir avant de poser ton regard sur le petit et de soupirer « Très bien, cinq minutes, pas une de plus. » tu t'écarte du chemin et tu le laisse entrer dans ta chambre avant de fermer la porte après l'avoir rejoint et de te poser contre cette dernière pour rester à une distance plus que raisonnable « Tu es parti sur Mars ? Car c'est sûrement la seule excuse plausible pour ne pas avoir de réseau et envoyer un putain de message ! » tu es en colère contre lui, car c'est ton ami d'enfance, tu tiens à lui à un point que tu ne pourrais même pas imaginer et lui ? Il s'est cassé en te laissant sur la touche. |
phoenix & wilhemniamise en page par mad love Wilhemnia ouvre la porte, et m'ignore je peux la comprendre. Mais lorsqu'elle me dit que je ne mérite pas mon fils, je me prends une claque. Comment ose t-elle dire une chose pareille alors qu'elle ne sait pas mon histoire et comment est-ce que j'en suis arrivé là ? De peur de m'énerver je reste de marbre et ne réponds pas, retenant je l'avoue quelques larmes. Elle pose sa main sur la joue de mon fils qui lui fait un sourire lorsque ses pleurs se calment un peu. Je croise le regard de mon amie d'enfance, il est noir et je sens une lueur de déception. Une fois de plus, je reste de marbre. Elle me dit que j'ai cinq minutes pas une de plus, je hoche de la tête en guise de réponse et entre dans sa chambre. Rapidement je fais le tour des lieux, ça n'a pas changé ici, et un sourire des plus discrets se dessine sur mes lèvres. Je me permets de m'asseoir sur le lit alors qu'elle se met contre la porte. Elle ne me laisse même pas le temps de parler qu'elle me se met en colère, mais une fois de plus je la comprends et reste froid. « Cet enfant, c'est le miens. Il s'appelle Liam. » commençais-je alors en caressant les cheveux de mon fils assis sur mes genoux.
forgive me, but you're my friend | Tu peux être très mauvaise si il le faut et même avec les personnes que tu aimes le plus au monde. Tu ne pourrais pas lui en vouloir éternellement, mais tu sais que sur le moment tu ne peux pas faire comme si il ne s'était rien passé. Tu lui en veux tellement et tu ne peux même pas crier aussi fort que tu le voudrait de peur de réveiller toute la dunster house. Tu le regarde s'installer en posant le petit sur ses genoux et il lui ressemble énormément. Un peu son portrait craché ce qui t'as mis la puce à l'oreille sur qui est son paternel. « Je crois que je l'aurais deviné. Il a tes yeux et ton sourire. » un enfant, c'est un cadeau de dieu, un petit être qui peut t'amadouer comme il le souhaite. « Pourquoi tu ne m'as rien dit ? » demande-tu sans pour autant bouger de ta porte que tu commence à trouver très confortable. |