Tate & Phoenix
♦♢♦♢♦♢♦♢♦♢♦♢♦♢♦♢♦♢♦♢♦♢♦♢♦♢♦♢♦♢♦♢ Le comportement de Tate est juste hilarant, visiblement le poste de Président lui monte à la tête, il va redescendre bien vite d'un étage parce que c'est quand même grâce à moi qu'il en est là. J'explose de rire et réponds
« Mes rêves pour la réalité ? La seule réalité que je veux prendre en voyant ta tronche c'est de te cracher dessus ! » Mais quel crétin ce mec.. Je le plaque donc contre le banc, et je vois la grimace qu'il fait.. Il doit souffrir, et ça me fait doucement rire d'ailleurs. Il ose me répondre, me prendre de haut et tenir des propos contre ma personne, mais pour qui se prend-il au juste ?
« Alors si vous preniez exemple sur moi, pourquoi en êtes-vous là aujourd'hui ? Vous devez avoir des merdes à la place des yeux. » commençais-je avec une mine de dégoût.
« Moi un pauvre type ? Ce n'est pas moi qui suis collé contre un banc. Je n'ai jamais eu ma place chez vous c'est vrai, car cette maison est tellement répugnante qu'elle ne serait pas en mesure d’accueillir quelqu'un comme moi. » Je marque une courte pause, pour resserrer un peu plus mon étreinte.
« Dire que je suis "faux-cul" c'est mentir Tate de gland.. Car à contrario de vous tous réunis j'ai toujours clamer haut et fort ma haine envers ceux que je ne portais pas dans mon coeur. Alors si c'est pour dire des conneries ferme la. Et puis entre nous mon cher je suis bien plus invincible que toi. » Mais qu'est-ce qu'il peut m'énerver. Lorsqu'il compare nos règnes si je puis dire, je regarde en l'air pour m'apprêter à répondre mais ce con me donne un coup de pied entrainant ma légère chute. Il me colle un poing dans la tête, et je mets quelques secondes à reprendre mes esprits. La douleur est faible tant je me suis pris des coups plus durs. Il me redonne un coup, et ça me fait plus rire qu'autre chose.
« Tu transmettras mais plus amicales salutations alors. » dis-je en riant. Je me lève alors, et lui flanque un coup de point dans l'oeil, un autre dans le ventre et le met à genoux. Les passants sont partis, alors je sors mon flingue et le pointe sur sa tempe
« C'est plutôt May qui viendra chialer à mes pieds, connard. » Loin de moi l'idée de le tuer, mais de lui faire peur.
« Tu me touches encore une fois, je te tue, compris ? » Je lui donne un coup sur le front avec mon arme et lui écrase la tête avec mon talon.
« Eliot rime avec chiotte. Murray rime avec chier. T'as vu le rapprochement ? Tu pourras aussi faire un rapprochement entre ta tête et le coin du banc aussi non ? » Je lui donne un coup de pied dans le flanc, puis un autre dans ses parties génitales.. Il a voulu frapper mais je frappe plus fort.