Ethan J. Barnes > James Franco

Je suis né dans l'état du Texas, pas fameux vous me direz, il y'a beaucoup de dingues dans le coin, d'histoires sordides et j'en passe. J'ai eu la chance de grandir dans un petit quartier résidentiel avec ma mère, mon père nous a quittés le jour de mes 10 ans. Je ne sais toujours pas s'il est décédé ou s'il va bien. Il n'est à présent qu'un vague souvenir et je ne préfère pas y repenser après tout le mal qu'il a fait à ma mère.
Durant mon adolescence, l'état de ma mère empira elle était devenu dépressive et buvait énormément. Je me réfugiais souvent chez des potes et fumais de l'herbe. C'est surement à ce moment la que je me suis mis a dessiner. Mon cerveau était assez libre pour ne pas penser et le crayon glissait facilement sur la feuille de papier. J'avais un don, peut être la seule chose que mon père m'avait laissé, car lui aussi était un artiste, il peignait...
Ainsi soit-il j'ai traversé des périodes ténébreuses, je suis passé près de la mort plusieurs fois à vouloir tenter des choses de dingues sous l'emprise de la drogue. J'ai développé plusieurs passions pour les sports extrêmes, car j'oubliais à ce moment là tout mes soucis passés... Puis j'ai eu la chance de tomber sur une fille que je n'oublierais jamais, celle qui m'a redonné le goût de vivre et fais faire un trait sur mon passé. C'est elle qui m'a proposé de tenter ma chance à Harvard il y'a de ça un an deja. Et elle avait raison car mon talent avait touché le jury d'entrée. Mais aujourd'hui à l'heure actuelle ou je vous parle, elle est de l'autre côté des Etats Unis entrain de dormir dans les bras d'un autre type. Je ne lui suffisait plus, je l'avais déçue nos chemins s'étaient croisés un laps de temps mais maintenant j'étais de nouveau seul, face à mes pulsions, mes idées noires, et mon apparence de gars heureux. J'étais encore tenté de fumer quelques joints pour oublier, j'avais l'impression que sa m'aidait dans mon boulot...
J'étais sans arrêt en quête de l'absolu, de la liberté, j'aimais me retrouver seul mais peut être parce que je n'avais pas encore découvert la fille qui me soutiendrait vraiment jusqu'au bout.