TOM&AIDAN ♠ Let's star the beer pong competition

Enfin il se passait quelque chose d'intéressant dans cette ville. J'avais l'impression d'avoir tombé dans une ville pourrie où il n'y a que les études qui les intéresse. Pour tout vous expliquez, j'avais reçu un texto pas plus part qu'il y a deux minutes pour me dire qu'il y aurait une fête ce soir à un endroit précise. Je me sentais cool d'avoir été inviter, sans avoir pensé au fait que ce texto avait été envoyé en masse vers tout le mode. J'espérais fortement que mes deux petits cons de frères n'aient été invités. Au moins comme ça je pourrais passé une belle soirée et peut-être faire des rencontres intéressante. J'avais pas pensé au fait qu'il y a pas vraiment de fille de mon âge dans cette école. Je me verrais mal passé une nuit avec une de vingt ans, même si je l'ai déjà fait. Nous étions saoul tous les deux, donc ça ne compte pas, enfin c'est ce que je me dis. Au moins, j'en ai jamais ré-entendu parler par la suite. Je me dis que c'était bon signe. Après avoir fini mes cours, je m'étais préparé pour aller à cette soirée. Les beaux vêtement et la belle coiffure était de mise pour ce soir. Question de bien paraitre et de pouvoir obtenir ce que je veux pour cette soirée. Une fois l'heure mentionné dans le texto arrivé, j'attendis une heure, car on sait qu'il n'y a seulement que les intellos qui arrive les premiers. Par la suite, ce sont les mecs comme moi qui arrive. J'avais donc pris ma voiture pour m'y rendre. Je n'avais pas pensé sur le coup que j'allais boire comme un trou. Je ferai comme d'habitude, je conduirai saoul en espérant ne pas tuer personne. Il y avait déjà plusieurs personnes d'arriver. Cela semblait être intéressant, même si je connaissais pas grand monde.

J'avais besoin d'une soirée, 'fin d'un truc soft, pas trop trash et déjonté à la Mather, un truc plus cool, avec des gens qui ne pense pas qu'à s'envoyer en l'air ou encore se rouler des pèles sur le divan, devant des spectateur ahurit après une ligne de coke. Oui, ça m'arrive d'avoir les pied sur terre et de vouloir quelque chose de simple, une soirée ou l'alcool collerais, mais pas des masses et que les gens seront assez conscients le lendemain pour pouvoir en reparler. Après, je me dis que c'est aussi une mentalité, j'suis encore un newbie ici, et la fête à gogo, les filles à gogo, et les autres substance illicite et inégale en Amérique, je me suis laissé un peu importer et ça avait finit par me causer des soucis, ouais, la fin de mon premier semestre en a été une catastrophe et je devait tout faire pour la remonter. Mais bon, le Spring Breaks m'a délivrée de cette angoisse et maintenant, j'avais soif, SOIF D'UNE BONNE BIERRE. Alors j'suis allé à la soirée organisée par je ne sais qui, tout ce que je sais c'est que c'est pas un mathers, et c'était ce que je voulais : quelque chose de soft. J'ai enfile un vieux truc et je me suis ramené en mode moon walk avec mon propre verre à bière, sur les liens, j'suis choqué de voir qui était là, et qui c'était fait tout beau pour l'occasion. « Merde, l'ancetre t'es venu ! T'as pas peur de faire du détournement de mineur, tu sais qu'y a des filles qui ont que dix huit ans? » dis-je en riant. Mon frère, ici, la troisième guerre mondiale, était sur le point d'être lancée.

Le temps passait quelque peu, mais tous le monde semblait être trop jeune. Mais où sont passé les gens de mon âge. Ah oui c'est vrai, ils sont probablement entrains d'élever leur enfant avec leur femme et leur travail et tout, pendant que moi je suis prit ici alors que je pourrais être dehors entrains de faire ce que je veux quand je veux. Je me demande vraiment comment je vais faire pour tenir tous ce semestre. J'ai l'impression que j'ai tant d'année à faire avant de pouvoir enfin devenir millionnaire. Si je pouvais gagner à la loterie, ce serait adieu école de merde et bonjour le paradis. Vous savez ce que je ferais, je m'achèterais une île déserte et j'irais vivre ma vie avec une douzaine de femme pour s'occuper de moi. Et en plus, j'enverrai des cartes postales à mes deux minables de petits frères pour leur montrer qui à gagner. Mais bon, pour l'instant ma vie se résume à ce qu'elle est en ce moment. De toute façon, j'ai surement aucune chance de gagner à la loterie. Peut-être devrais-je tenter ma chance ans les casinos, cela serait peut-être fructueux. Bon ça peut aussi faire ma pertes, mais je préfère penser positif. Revenons alors à nous moutons, car il faut bien que je retourne dans le présent plutôt que dans mes pensés. Je pensais maintenant partir de cette soirée qui s'annonçait inintéressante. Je regardais partout lorsque j'entendis une voix qui m'était familière. Avec une connerie pareil qui sortait de sa bouche, ça ne pouvait être qu'un de mes petits frères. Heureusement, ce n'est pas le plus imbécile des deux j'en ai de la chance. « Mais qu'es-ce que tu fou ici le petit con. J'ai pas le temps de jouer avec toi et je n'ai pas envie d'être avec toi point. » En voyant mon petit frère arrivé, j'étais convaincu que je devais partir. Je n'ai pas envie de me retrouver toute une soirée avec lui. Je me retournai alors pour partir. De toute façon, j'étais trop vieux pour cette bande de jeune ados qui commence à avoir leur puberté.

Spoiler:

Ça a toujours était la guerre entre les frères et soeur Halberstam, en dehors de Léo, je n'avait aucune bonne relation avec eux. j'pense même que c'est nous qui avons créé les Hunger Games, à chaque fois qu'on était à table, c'était la guerre pour savoir qui aller avoir le plus de pattes ou qui aller avoir le plus gros morceau de viande, je ne parle même pas de la télévision : cet objet est la source de toutes les guerres des Halberstam, au début ça part du fait que je ne veux pas qu'Alix regarde Top Model USA et après ça part en clash sur le fait que je ressemble à un homosexuelle quand j'marche, ça peut partir vraiment loin, et ça pas seulement avec Alix, avec Aidan c'est pire. Ils nous martyriser quand on était gosse, pas dans le sens où il nous frappe jusqu'à sang, mais il savait qu'il était le plus grand, le premier, celui qui sait tout et celui qui peut tout avoir, je me rappel même de la petite Alison dont j'étais raide dingue et qu'il a réussi à embrasser alors que j'avais passé mon été à lui offrir des glaces. Je pense qu'y a toujours eu une énorme compétition entre nous, et c'est la raison pour laquelle je suis doté d'un esprit de compétition plus fort qu'un rochet de 3 tonnes. Heureusement pour moi, c'est un looser et il la toujours était, et Léo et moi, on ne se gêne pas de lui rappel quel genre de looser il est. « Comment t'es arriver à Harvard l'ancêtre, t'as fait des gâterie au Doyen ? » dis-je en m'accoudant à la table qui se trouvait derrière moi, ce n'était pas possible. Je débarque en septembre et le voilà, lui aussi, le doyen laisse vraiment passer n'importer qui. « Tu t'en vas déjà ? Mais reste un peu, la fête ne fait que commençait ! » dis-je en lui lançant une bouteille de bière, il n'allait pas partir maintenant, les choses commence à peine à devenir intéressante.

Dans la majorité des cas, les enfants en bas âge rêve d'avoir un petit frère ou une petite sœur. Probablement pour se sentir moins seul durant leur enfance. Dans mon cas, j'aurais préféré être enfant unique. Je ne suis pas du tout fait pour la vie familiale. Malheureusement je ne peux changer le passer, mais je peux tout de même faire en sortes que le présent soit encore mieux. Mais pour ça, je me devais de trouver une façon de me débarrasser de mes deux frères et de ma petite sœur. Par contre, je n'avais pas la moindre idée de comment faire pour y arriver. Oui il y avait l'option du meurtre, mais il y a toujours un long procédé et je n'ai pas envie de me retrouver sous la douche avec deux gros barbus qui ne ferait qu'une boucher de moi. Je me demandais encore comment j'avais pu me retrouver avec cet idiot dans la même soirée. Plutôt que de m'obstiner avec lui, j'avais préféré lever les voiles et partir de mon côté. Mais voilà que le petit con me provoqua et me mis en colère. En me retournant, j'avais dans l'idée d'aller lui arracher la tête et de jouer au bowling avec. Mais voilà qu'il me lança une bouteille de bière que j'attrapai. J'étais plutôt surpris de ne pas l'avoir reçu au visage. J'avoue tout de même que j'avais envie de lui casser derrière la tête. « Oh mais regarde qui parles, c'est plutôt sûrement toi qui a fait une gâterie au doyen avec ton petit air pédé.  » J'espérais vraiment l'avoir toucher avec ce petit point sensible. Je le regardais avec un petit sourire moqueur. Du coup, je n'avais plus envie de partir, j'avais plutôt envie d'en profiter pour l'emmerder. Peut-être qu'il se déciderait enfin à quitter la ville pour que je puisse enfin obtenir ce que je veux. « Mais tu m'as convaincu, je vais resté. Je vais plutôt faire en sorte que tu regrettes d'être venu ici.  »

ça a toujours été comme ça, Aidan a toujours agis comme si il été fils unique, alors que merde, Léo, Alix et moi on existe. J’suis sur que même dans les questionnaires sur sa vie, qu’on te fait remplir quand t’es gosse, dans la case « famille », ou tu dois remplir ton nombre de frère et soeur, il nous ignores. Peut importe, le croutons est là, c’est la fête, pas de prise de tête, et même si je ressord avec des bleus comme quand j’étais gosse, j’en avait rien à faire. Je lui lance une bière, il là rattrape, je le provoque pour voir ou sont ses limites et il me répond sur le même ton qu’il utilisais jadis pour me dire qu’il n’avait aucune idée d’où se trouvais la télécommande alors que ce crétin l’avait cacher. Et me traîte de pédé au passage, je suis censé être blesser. « Est-ce que je t’attires ? Parce que c’est mal l’inceste, franguin.» dis-je en riant, je bois un coup, et mes amis nous encercles, pour installer un jeu. UN BIERRE PONG, meilleur moyen de savoir qui nous deux est le meilleurs, je tiens la première place de la famille Halberstam depuis que je suis gosse, number one dans le coeur de maman, peut être que ça va s’inverser si elle sait que sa première erreur à gagner au jeux des alcolo. « Je vais le regretter comme maman à regretter de t’avoir mis au monde? » dis-je en lui lançant une balle de ping pong. « On joue ou t’es trop vieux pour ça? »