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Que pouvais-je faire pour oublier tout ce qu’on m’avait fait subir jusqu’à maintenant. Que pouvais-je faire pour simplement arrêter de penser à une fille qui m’a prit pour un con jusqu’au bout. Je me promenais dans les couloirs de la Lowell House mais en fait, j’avais simplement envie de retourner dans ma chambre ou dans mon appartement pour simplement arrêter de penser, ou bien de vivre. J’en avais plus que marre que tout s’effondre quand je pense enfin que ça allait mieux. Qu’est-ce que j’avais fait pour mériter une vie aussi merdique ? Rien. À chaque fois que je pensais enfin un peu à moi, à ce qui me rendait heureux, ça finissait toujours de la même manière. Je collais mon épaule sur le mur, parce que je n’arrivais simplement plus à marcher, à comprendre mon erreur. Puis c’était eu tour de mon dos, et au final, je me laissais tomber pour m’asseoir sur le sol. Des larmes coulaient de mes yeux et j’avais une envie de hurler dans toute la Lowell. Fuck, j’étais un vrai minable, sérieusement. Je tournais la tête et je voyais cette silhouette qui, comme beaucoup d’autres ici ne m’était pas inconnue et je priais pour qu’elle ne s’arrête pas sur moi, je priais très très fort qu’elle continu ça route. « S’il te plaît, s’il te plaît, s’il te plaît. » Elle s’approchait de plus en plus, j’entendais le bruit de ses pas, et ça me faisait peur qu’elle me voit dans cet état là, parce que qu’importe qu’on s’énerve, qu’on se charrie, qu’on fasse tout pour énerver l’autre, je savais qu’elle était une des seules qu’il me restait. Irina.
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Je n'avais rien à faire, encore une fois. Je fixais le plafond de ma chambre à la Lowell House et écoutais le bruit des pas de quelques étudiants en train de se promener à l’extérieur du bâtiment. Je tournais ma tête vers la droite pour laisser mes yeux vagabonder sur la fenêtre et les quelques rayons de soleil qui passaient à travers, puis sur le lit vide de ma colocataire, comme toujours, et enfin sur ma valise qui était ouverte au pied de son lit : vide. Toute la Lowell House ainsi que les invités des membres de la confrérie allait partir d'ici samedi en croisière, et je n'avais même pas foutu ne serait-ce qu'un maillot de bain dans ma valise. Great. Va falloir se bouger quand même parce que c'est bien beau de compter le nombres de p'tits strass que contient le plafonnier mais à un moment, il va falloir que je me lève. Je me dirigeais donc vers mes armoires pleines à craquer tout en enjambant les objets qui trainaient par terre et commençaient à les vider dans mes valises. Et oui parce que deux semaines sur un bateau c'est long, et il allait falloir que je me change plusieurs fois par jour huhu. Autant anticiper. Je me rappelais alors avoir prêté un de mes vêtements à Elizabeth et sortait de ma chambre pour aller lui demander. Après avoir traverser quelques couloirs -et ouais parce que fallait pas croire, c'est grand la Lowell House bitches-, je tombais sur quelqu'un assis par terre, la tête dans les mains. Et ce quelqu'un, je l'aurais reconnu entre mille. Jamie. Je m'avançais vers lui et apercevait mon ombre devant moi, ombre qu'il pouvait d'ailleurs lui aussi voir. Il m'avait d'ailleurs certainement reconnu vu ce que je l'entendais dire. « S’il te plaît, s’il te plaît, s’il te plaît. » Visiblement, il n'avait pas envie de parler. Je m'approchais encore un peu de lui à petit pas, ne sachant pas très bien qu'est ce que je devais faire à ce moment précis. Devais-je l'emmener ailleurs pour que personne d'autre ne le voit ? Je connaissais la fierté des hommes et le fait qu'ils n'aimaient clairement pas pleurer, surtout devant des femmes. Devais-je juste le laisser là et l'ignorer ? Ou attendre qu'il se calme ? Je m'avançais encore un peu et m'asseyais à côté de lui. Je ne le regardais pas, il n'en avait probablement pas envie. Encore une fois, je ne savais pas quoi faire. Je regroupais mes jambes devant moi avant d'attraper une de ses mains pour la serrer entre les miennes. Je mourrais d'envie de savoir ce qu'il se passait, qui était la personne qui l'avait mise dans cet état que je lui casse la tête en digne fille russe que j'étais mais je ne disais rien. Je posais ma tête sur mes genoux et fixais la fenêtre qui laissait passer le soleil encore une fois. « Heu, Jamie ? Tu ne voudrais pas aller autre part avec moi ? » J'entendais des bruits de pas qui se rapprochaient de plus en plus et puis, hors de question que je le laisse seul. Surtout comme ça.

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C’était quoi vraiment le bonheur. Parce que je pensais vraiment l’avoir trouvé avec Arielle, mais j’avais aussi l’impression de me heurter à un mur encore et encore. C’était vraiment affreux comme sensation de ne même pas pouvoir assumer complètement la situation, de ne pas pouvoir être sûr de ce qui se passait. Alors oui, j’avais craqué et je m’étais glissé le long du mur du couloir, et oui, je ruminais ce qui se passait encore et encore. Peut-être qu’au fond, je suis le mec tellement gentil qu’on le trompe sans stress parce qu’il pardonne tout. Parce qu’il chercher une stabilité introuvable. En regardant le corps d’Irina venir par ici, je n’avais pas vraiment envie qu’elle pose les yeux sur moi, qu’elle me voit dans cet état. J’aurais presque prié le seigneur pour qu’elle m’ignore, mais je savais que ça n’allait pas arriver, tout ça à cause de cette coiffure trop voyante, encore et toujours. Je la sentais venir à mes côtés et s’asseoir aussi le long du mur. Mon cerveau luttait contre son instinct de curiosité et son envie de ne même pas y jeter un regard, pour qu’elle parte peut-être en croyant que je dorme. Elle attrapait une de mes mains, et délicatement, oui, elle l’avait glissé entre les siennes. J’en esquissais presque un sourire mais j’avais trop la tête ailleurs, mes idées n’étaient plus du tout clair en ce moment, j’étais comme Jack quand il a laissé Rose vivre, un imbécile trop soucieux des autres. Heu, Jamie ? Tu ne voudrais pas aller autre part avec moi ? Je tournais la tête vers elle, mes yeux devaient limite être rouge tellement les larmes me brûlaient, mais je les essuyais avec ma main de libre. Je lui souriais timidement, et j’avais juste l’impression de trembler. « Ouais. » Je reprenais ma main pour me relever et la lui tendre afin de l’aider. Je ne savais pas où elle voulait aller mais n’importe où à la place d’ici serait peut-être mon meilleur choix de ne pas avoir la pire réputation du monde de cette université.

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Je ne savais toujours pas quoi dire, ni quoi faire. Maintenant que je lui avais proposé de bouger d'ici, ou est-ce qu'on allait aller ? Il se levait alors et me tendait la main pour m'aider. Je me relevais doucement, sans trop le regarder. Tant pis pour ce que je devais aller reprendre, ça attendra !  Je décidais donc de le trimballer dehors, sur un banc, en plein soleil. Parce que rien de tel que le soleil pour se redonner le moral ! Et c'est une russe qui dit ça, une nana qui connait la neige et les bienfait que le soleil vous apporte alors faut me croire ! J'observais autour de moi en attendant qu'il se calme un peu et rassemblait mes jambes sur moi, dans le même position que celle que j'avais adoptée dans le couloir, même si j'étais sur un banc. Je me décidais donc à le regarder finalement. « Ça va mieux ? ». J'avais teeeellement envie de savoir ce qu'il se passait, ce qui lui arrivait pour qu'il soit dans cet était là ! Je ne l'avais jamais connu comme ça après tout. J'avais déjà couché avec lui -et plus d'une fois-, je le connaissais depuis un petit bout de temps maintenant et notre relation avait changé de ce qu'elle était à l'époque. Nous n'étions pas vraiment amis avant, alors j'ai un peu l'impression que le fait d'avoir arrêté de se voir juste pour du sexe nous a aidé à faire connaissance l'un avec l'autre. Je le considérais comme l'un de mes amis les plus proches, je ne pouvais pas le laisser là sans rien savoir. « Tu veux en parler ? » J'avais la curieuse sensation d'être retournée en enfance, quand je voyais mes amis pleurer, j'allais toujours vers eux même si moi, je ne pleurais jamais. J'avais l'habitude maintenant de réconforter tout le monde mais avec Jamie, c'était différent ... l'âge peut-être ?

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Ça pouvait tout à fait arriver de péter un câble de temps en temps, et ben moi, c’était aujourd’hui que j’avais décidé de ne pas aller bien. De ne pas vivre dans le pays des bisounours, et de ne surtout pas chanter des chansons d’amour. À mes yeux, l’amour c’était de la merde maintenant, ça n’existait pas du tout. Je l’accompagne jusqu’à ce qu’on sorte en extérieur pour s’asseoir sur un banc. Je prenais la position dans laquelle je me sentais le mieux, recroquevillé sur moi même comme un œuf de poule. Ça va mieux ? Je tournais la tête vers elle, un regard fatigué sur le visage qui la fixait maintenant. « Non. » Ce n’était pas le soleil qui allait me faire sortir de dépression, ni même la joie de vivre des gens que je voyais maintenant. Irina était vraiment formidable, mais parfois j’avais juste l’impression d’être un incompris qui bousille toute sa vie de long en large. C’était spécial, mais c’était moi, le vrai moi. Tu veux en parler ? Qu’y avait-il à dire déjà ? Que j’étais le mec le plus pitoyable de l’univers ? Ça, tout le monde le savait déjà à mon avis. « Qu’est-ce que tu veux savoir ? Que je me suis fait berner par la meuf que j’aime. Que je suis le mec le plus pitoyable que je ne l’ai même pas laissé m’expliquer. Que je suis partit après qu’elle m’a dit qu’elle est couchée avec un autre. Ouais, je suis un connard, je suis juste ça. Et je l’ai laissé sur la plage au Spring Break pour embrasser d’autres meufs, mais ça ne m’a pas fait sentir mieux. Au contraire, je me sens comme une merde, alors si tu as un remède Irina, je suis tout oui. » J’ai le regard sur elle, et je pose ma tête sur mes genoux, ne la quittant pas des yeux.
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Bon, là je ne voyais pas vraiment ce qu'on pouvait faire quand une personne aussi proche de vous vous dit qu'elle va mal. Je le fixais toujours, il avait l'air anéantit, brisé. « Qu’est-ce que tu veux savoir ? Que je me suis fait berner par la meuf que j’aime. Que je suis le mec le plus pitoyable que je ne l’ai même pas laissé m’expliquer. Que je suis partit après qu’elle m’a dit qu’elle est couchée avec un autre. Ouais, je suis un connard, je suis juste ça. Et je l’ai laissé sur la plage au Spring Break pour embrasser d’autres meufs, mais ça ne m’a pas fait sentir mieux. Au contraire, je me sens comme une merde, alors si tu as un remède Irina, je suis tout oui. » Je l'écoutais parler, dégoutée parce que "cette nana" lui avait fait mais en même temps attristée de par le fait qu'il était visiblement toujours accrochée à elle pour avoir autant de remords. Comment pouvait-il s'en vouloir ? Quoi, il avait clairement rompu avec elle non ? Enfin peut-être pas. Mais vu ce qu'il me disait, qu'il l'avait laissée sur la plage ou je ne sais pas quoi, c'était tout comme. Elle l'avait trompé, elle aurait du savoir qu'il n'allait pas accepter la situation et tout lui pardonner. Ou alors elle l'avait pris pour un con. Il me fixait, son regard était vide et son visage triste. Il me fixait au point que je me sentais obligée de détourner le regard. Je laissais tomber ma tête sur mes genoux une nouvelle fois et sentais mes joues se réchauffer. Moi ... moi, je rougissais ! Je devais très certainement être tombée malade ou un truc dans le genre. Je levais les yeux une nouvelle fois vers Jamie, essayant de me calmer en même temps. « Je ... je n'sais pas Jamie. Non, non je n'ai pas de remède. » De toute façon, que voulait-il entendre par remède après tout ? Huum, faire la fête ? Voir ses amis ? Je n'étais pas bien sur que c'était ce qui lui fallait. Je voulais le réconforter mais ce n'était pas si simple. Je ne savais pas s'il allait se remettre à pleurer ou non, si il allait passer à autre chose demain ou dans un an. Je ne pouvais pas anticiper ses actions et encore moins les miennes, alors que je devrais. Et, avant de m'en rendre compte, j'avais pris Jamie dans mes bras. Je voulais vraiment le réconforter, et c'était le seul moyen que j'avais trouvé.

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