Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityJackie ☼ Il se moque bien des balafres celui qui n'a jamais reçu de blessures
-38%
Le deal à ne pas rater :
Ecran PC gaming 23,8″ – ACER KG241Y P3bip à 99,99€
99.99 € 159.99 €
Voir le deal


Jackie ☼ Il se moque bien des balafres celui qui n'a jamais reçu de blessures

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

D'un sourire qui s'étire jusqu'aux oreilles, son bonnet noir vissé sur la tête qui lui donne presque des allures de gangster, Aidan a poussé le jeu jusqu'à son paroxysme. Il a choisit une heure avancée de la nuit pour réaliser son défi le plus stupide. S'introduire à la Cabot House par effraction. Dans le domaine, il est plutôt expert, l'art d'entrer là où il n'est pas convié et même indésiré, il l'entretient depuis l'enfance. L'Artiste sait se faire aussi souple et discret qu'un chat, sans doute que sa morphologie le permet et des années occupées au poste d'Ailier dans l'équipe de Hockey aide sans doute également. De l'habitude de se faufiler entre des murs de chair à la poursuite d'un palet ébène. Des jours qu'il repère le meilleur chemin à prendre, l'heure la plus appropriée et Norrington se croit le Leader d'un bon film d'espion. Sa main agrippe fermement la brique Bostonienne pour se hisser le long de la paroi. Il est presque à mi-chemin lorsqu'il dérape et qu'il s'étale de tout son long sur le buisson qui décore la Maison. « Putain ! » jûre-t-il entre ses dents tandis que son visage se déforme sous l'effet de la douleur. Il bouge ses jambes, doucement, puis ses bras, et roule sur le côté. Rien de cassé, heureusement. C'est alors qu'il entend une voix chuchoter son prénom. Le peintre relève la tête et aperçoit le visage effaré de Jackie, le sien se fend d'une expression à mi-chemin entre la douleur et la joie sincère de sa propre connerie. «  Mais, doucement ! Quelle lumière brille à cette fenêtre ? C'est là l'Orient, et Jackie en est le soleil. » L'Artiste reste fidèle à l'Art, ou bien, on peut se demander simplement si il n'a pas pris un mauvais coup sur la tête. A voir ses yeux se poser sur le visage de la Blonde et son sourire de crétin fier de lui, c'est sans doute la meilleure explication.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Légèrement allongées sur le côté, mes paupières se faisaient lourdes. Mes mains commençaient à divaguer rendant ma lecture difficile. Un silence régnait dans la chambre, Brynn ne dormait pas là ce soir. Trop occupé sans doute, allez savoir avec qui. Je me mis à sourire en pensant aux conneries que Brynn qu'elle pouvait bien être en train de faire. J'étais d'ailleurs ravie de pouvoir partager ma chambre avec cette fille. Depuis mon retour de Nouvelle-Zélande, mes journées s’enchaînaient sans que je ne puisse réellement profiter de ma nouvelle situation de femme en couple. Chaque tentative de retrouvailles avec Aidan s'était avérée être un échec, toujours déranger. Les retrouvailles tendaient à persister. Mes yeux commençaient à se fermer avant que mon attention gagne la fenêtre de ma chambre. Mes sourcils se froncèrent légèrement perplexe. Je me levais délicatement et parti vers ma fenêtre pour l'ouvrir ensuite. Mon sourire s'étira lorsque je vis Aidan par terre. Je me mis à grimacer essayant de retenir mon rire. « Mais, doucement ! Quelle lumière brille à cette fenêtre ? C'est là l'Orient, et Jackie en est le soleil » c'tait ça l'avantage d'avoir un petit ami artiste, les belles paroles pouvaient être appréciées. Mon sourire s’élargissait avant que je ne lui dise en chuchotant : « Le soleil d'Orient a besoin de toi pour être bordé ! » dis-je en bougeant de haut en bas les sourcils. Je me mis à rire avant de porter une main devant ma bouche, une vraie gamine. « Je vais t'ouvrir la porte de derrière, fait pas de bruit » dis-je en le regardant. Je fermais ma fenêtre et sortie de ma chambre en pyjama. J'avançais doucement essayant de ne pas attirer l'attention sur moi, une fois devant la porte de derrière, je l'ouvris doucement apercevant Norrington juste là. « Quelle belle surprise » dis-je en affichant un grand sourire.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Son sourire s'étire alors qu'il ne distingue qu'à peine ses traits. Sa voix se fait nette à son oreille malgré son aspect chuchoté, et tant bien que mal l'ex Mauve se relève. Il sent chaque parcelle de son corps, sa chair semblant partagée entre une sensation de douleur et de joie intense, d'excitation même, prenons les bons mots. Aidan déambule jusqu'à l'entrée indiquée, et son cœur semble se déployer à l'intérieur de sa carcasse, il se sent vivant. Comme jamais depuis des mois, comme si il prenait tout à coup une grande bouffée d'air après avoir été noyé. Il aperçoit les mèches dorées de sa Belle, et il en saisit une furtivement pour l'enrouler autour de son index, qu'il est bon d'être un enfant parfois. Souvent. Grandir c'est expier, c'est faire promesse au sérieux en dénigrant la liberté. Liberté d'être, tout simplement. Sa voix se fait complice et chuchotée. « Tu pensais à moi ? » Il arque un sourcil, pose ses prunelles aussi claires qu'innocentes sur celles de sa Compagne, sa chevelure toujours prisonnière le long de son doigt. Sa bouche s'approche de l'oreille dissimulée sous la cascade dorée « J'avoue que la porte est tout de même plus pratique, mais j'aurais aimé pouvoir te surprendre, là haut, dans ta tour d'argent . » se moque-t-il avec un petit rictus aux lèvres tandis que son regard balaie le couloir de la maison des Roses, le sanctuaire du Norrington en somme. « Conduis-moi mon Soleil. » Il lâche la mèche de cheveux pour glisser sa main autour de sa taille et l'attirer un peu à lui avant de la plaquer furtivement au mur. « A moins que tu ne veuilles qu'on se retrouve là, ça pourrait être drôle. » Un rire léger s'échappe de sa gorge, c'est bien simple, on ne le tient plus, mais après des mois de prison, il vous sera gré de faire preuve de compréhension.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Mon sourire s'étirait encore, déformant légèrement mon visage. J'étais contente de le voir ici, contente de cette surprise et contente de pouvoir vivre pleinement ma vie. J'avais cette sensation unique, la sensation de retrouver une liberté perdu depuis plusieurs mois. L'attachement rendait les choses difficiles mais qu'il était plaisant de pouvoir vivre un moment comme celui-ci. Le jeune peintre entre alors dans le refuge des roses. « Tu pensais à moi ? » un brin machiavélique, je levais légèrement les yeux, pensive. « hum... » dis-je en affichant ensuite un grand sourire. J'aimais l'embêter. J'avançais vers lui et lui fis : « un peu, je dois l'avouer » dis-je en grimaçant légèrement. Difficile de ne pas penser au garçon qui accélère les battements de votre cœur en quelques secondes. Aidan était de loin une de mes plus grandes faiblesses. Le jeune homme avança et chuchota à mon oreille : « J'avoue que la porte est tout de même plus pratique, mais j'aurais aimé pouvoir te surprendre, là-haut, dans ta tour d'argent. » je me mis à rigoler discrètement avant de finalement poser mes mains sur les épaules de l'Ex-lowell. Je me pinçais doucement la lèvre et lui fis : « On va essayer de te garder entier, j'ai besoin de tous tes membres pour faire l'amour » dis-je en bougeant de haut en bas les sourcils. Cette situation était excitante après tout, le temps avait fait son travail. « Conduis-moi mon soleil » j'affichais un petit sourire et plissais légèrement les sourcils avant que ses mains ne viennent se placer autour de ma taille. Prisonnière, j'écoutais le jeune étudiant « A moins que tu ne veuilles qu'on se retrouve là, ça pourrait être drôle » je me pinçais de nouveau la lèvre avant de me mettre à rire en voyant la tête du jeune peintre. J'approchais mon visage du sien et l'embrassai sur la joue « C'est tentant monsieur le professeur » dis-je en expirant contre son oreille « mais il y a des curieuses ici » dis-je en hochant la tête avant de venir une nouvelle fois l'embrasser sur la joue. Ignorant sa bouche pour le moment.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Le creux de sa joue s'illumine alors qu'elle lui fait son aveu. Ses pensées étaient dirigées vers lui, du moins une partie. Une partie, cela lui suffit. Ses mains agrippent avec délicatesse la peau féminine et il se sent frémir à ses paroles, à sa proximité aussi. Un nouveau sourire étire ses lèvres, comme si sourire était son unique expression. « Tu n'aimes pas partager autant que je me souvienne. » lui dit-il en lâchant son emprise sur la Blonde et en s'inclinant comme pour parer au coup. Il lui tend ensuite la main. « Si Mademoiselle veut bien me conduire ? » Ils se mettent en marche tranquillement. Il y a quelque chose de terriblement agréable à faire durer le plaisir des retrouvailles de la sorte. Cultiver le désir jusqu'à son paroxysme, jusqu'à ce que le corps hurle son abnégation, y céder est tentant mais quelque part angoissant. Car ensuite on avance et... « Tu sais que je n'ai jamais vu ta chambre de Cabot ? » Son appartement plusieurs fois oui, mais sa chambre chez les Roses restait inconnue. C'était un baptême tardif mais attendu.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Retrouver les bonnes vieilles habitudes n'avait pas demandé beaucoup de temps. Nous nous étions retrouvé naturellement, une main bien habille, un baiser langoureux, une étreinte familière. « Tu n'aimes pas partager autant que je me souvienne » Aidan n'avait pas tort, j'étais du genre protectrice, quelque peu jalouse même mais je ne vous apprends plus rien maintenant. Je levais légèrement les yeux niant l’évidence. « Jusque-là, je t'ai assez partagé » dis-je en sifflant légèrement avant de me mettre à rire. Je l'embrassais sur le bout du nez avant qu'il ne dise « Si Mademoiselle veut bien me conduire ? » j'affichais un grand sourire avant de prendre sa main. Nous nous dirigions tranquillement vers ma chambre, tout semblait très calme. Aucune cabot à l'horizon. « Tu sais que je n'ai jamais vu ta chambre de Cabot ? » mes yeux se froncèrent avant qu'une cabot ne sorte de sa chambre. D'un mouvement vif, j'emmenais Aidan dans un petit recoin, le temps que la cabot parte tranquillement. Je mis ma main sur sa bouche et lui fis : « c'est ton jour de chance » dis-je en souriant légèrement avant d'approcher ma bouche de la sienne. « il y a quelqu'un... » dis-je en chuchotant..
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Elle l'avait assez partagé. L'inverse était vrai également, et à avoir ainsi retrouvé les bras de la Blonde, il se demandait comment ils avaient pu laissé passer tout ce temps. Il se contente de sourire, et de la laisser l'embrasser, profitant ainsi un peu plus de sa proximité. « Aujourd'hui est un grand jour. » lui lance-t-il provoquant tandis qu'il hausse les sourcils. Le jour de son baptême de la Cabot House, le jour de leurs retrouvailles, un jour historique pour Monsieur Norrington donc. Il n'a cependant pas le temps de la provoquer davantage qu'elle le pousse dans un recoin de la maison et qu'elle pose sa main sur sa bouche. Il ne peut réprimer un sourire tandis que ses billes azurées se posent sur le visage familier de la Demoiselle. Il attire ensuite la Cabot un peu plus près, si bien qu'elle décolle sa main et qu'il attire à nouveau sa bouche à la sienne, presque avide. « Il faut bien s'occuper. » murmure-t-il doucement. « De te voir si intrépide, ça me rend tout chose. » se moque-t-il gentiment, tout en avouant quelque part la vérité.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

« Aujourd'hui est un grand jour » le jeune professeur n'avait pas tort, cette soirée allait marquer le début et la fin d'un terrible manque. Il était temps pour moi de lâcher prise et quoi de plus agréable que de lâcher prise dans les bras de l'Ex-lowell. J'affichais un joli sourire, contente de pouvoir partagé cet interdit avec lui. Nos pas étaient légers, notre respiration coupé. Il fallait être discret. Nous nous étions arrêté dans un recoin à l'abri de la cabot qui venait de sortir de sa chambre. Mon regard examinait la situation avant que les mains masculines du jeune peintre ne viennent se placer sur mes hanches. Attirer contre lui, nos lèvres se posèrent une nouvelle fois l'une contre l'autre. Mes yeux se fermèrent doucement avant de lever légèrement la tête lorsqu'il dit « il faut bien s'occuper » j'affichais un sourire avant de me pincer la lèvre. Mes mains se posèrent dans la nuque de l'ex étudiant, rapprochant un peu plus mon corps du sien. « De te voir si intrépide, ça me rend tout chose » je me mis à sourire noyant le rire qui ne demandait qu'à sortir. Je mis ma main contre ma bouche afin de l'étouffer. Mon regard s'attarda sur la cabot qui venait de rentrer dans sa chambre. J'approchais mon visage et lui chuchotais à l'oreille. « Sa tombe bien... la voie est libre » dis-je en lui prenant la main et en l'emmenant dans ma chambre. Nous y étions arrivées, une fois la porte fermée, je m'approchais du jeune peintre et l'embrassais une nouvelle fois. Un désir qui n'avait de demandé qu'à exploser et qui allait pouvoir s'y prêter. Il était grand temps de laisser nos deux tourtereaux profiter pleinement de ce qu'ils appellent leurs retrouvailles.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)