Baisses ta culotte, c'est moi qui pilote + Tabitha

Aujourd'hui, tu pouvais faire ce que tu voulais. Tu avais mis ton boulot de côté pour cette soirée, en même temps tu n'avais pas eu vraiment le choix. Tu étais invité par ton ami, et tu n'avais aucune excuse pour ne pas y aller. Tranquille dans une villa avec joint et alcool, que demander de mieux ? Un petit film et c'est parti pour une soirée plus que bien. Tu n'avais pas eu de temps pour toi depuis un bon moment. Et cela se voyait sur ton visage. Tu avais donc pris une douche et tu avais enfilé un simple pantalon et un t-shirt assez moulant. Tu avais descendu les marches deux à deux, laissant tes cheveux en bataille et encore mouillé. Tu rangeais rapidement tout ton bordel et tu sortais quelques bouteilles et deux verres pour les poser sur la table basse. Seulement quelques minutes plus tard, il était là avec toi. Et la soirée commençait petit à petit. Et plus elle avançait et plus tu étais arraché, tout comme lui. Mais, il voulait rentrer avant de ramper à quatre pas. Tu te retrouvais donc seul à seulement une heure du matin. Tu t'allumais un dernier joint, enfilant des vans et une veste ainsi que ta casquette et tu marchais dehors. Après tout, ça ne pouvait pas te faire du mal un peu d'air frais.

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J'étais défoncée, tellement défoncée, je ne voyais plus très clair, c'était ça de sniffer je ne sais combien de rails, de fumer je ne sais combien de pétards. Je rigolais, pour rien à cette heure-ci mais j'étais bien, je quittais alors l'appartement de ma pote, complètement arrachée au passage elle aussi, j'avais besoin de prendre l'air, juste deux minutes, qu'est-ce que j'avais à craindre sérieusement, j'étais habillée d'un leggings, de mes vans et d'un t-shirt de football américain, un vrai garçon manqué je vous jure mais j'étais bien comme ça, je restais belle et je le savais. Je quittais l'appartement alors pour descendre en bas de la résidence et une fois au pied de celle-ci, je me posais sur les marches pour sortir de quoi me faire un autre joint, ouais je n'allais pas m'empêcher de m'enfumer la tête mais au lieu d'étouffer à l'intérieur, je respirais à l'extérieur.

(Invité)

Tu savais que ta soirée n'allait pas se terminer, car dans le pire des cas tu partais dans un bar ou même en boite de nuit. Tu avais envie de profiter et non de rester enterré comme une ermite chez elle. Tu marches tranquillement, ton stick au bord des lèvres, crachant de temps en temps cette fumée blanchâtre avec cette odeur douce et qui te prenait un peu plus la tête à chaque taffe. Tu t'arrêtes un instant au milieu de ta rue, tu ne sais déjà plus ou tu es. Putain faut sérieusement que tu arrêtes de fumer, ça ne te réussit pas. Tu tournes un instant sur toi-même, pour retrouver tes esprits et voir ta villa à seulement quelques mètres. Pourtant, tu as l'impression que ça fait déjà une heure que tu marches. Tu soupires et tu décides de terminer rapidement ton joint avant de l'écraser au sol avec tes vans. Qu'est ce que tu planes, tu sais que demain seras un autre jour et que tu seras totalement mort. Tu ne sais même pas si tu vas pouvoir te réveiller et réviser tes derniers examens. Alors que tu marchais encore et encore, tu arrives près d'un bâtiment, là ou habite pas mal de tes potes. Tu commences à monter les marches et tu te retrouves en face de Tabitha, cette personne que tu connais parfaitement. Tu as une relation assez étrange avec elle, mais tu l'appréciais. « Salut, beauté. » lâchais-tu en t’asseyant à ses côtés. Au final, ton plan changeait totalement de tournure.

(Invité)

Je profitais de ma soirée avec tous mes potes, alcool, drogue, une soirée digne des Mathers dans un appartement, sauf que j'étais une belle violette entourée de verts, j'en avais rien à foutre, j'étais bien là, j'avais bu assez d'alcool pour être bien et j'avais sniffer et fumer assez pour rigoler et me sentir vivante, tout était parfait sérieux.Je décidais quand même de me lever du canapé et de les abandonner pour sortir de l'appartement et me rendre en bas de la résidence où je me posais sur les marches qui menait à l'entrée de l'immeuble pour prendre l'air, pas que je ne me sentais pas bien, c'était tout le contraire même mais respirer l'air frais faisait du bien, je ne me gênais pas pour me rouler un pétard, l'un n'empêche pas l'autre après tout et je fus vite sorti de ma solitude en étant rejoins par un mec que je connaissais très bien, parfaitement bien même, sur le plan physique je veux dire, c'était Maxwell qui s'était arrêté devant la résidence pour venir s'asseoir à côté de moi, grand sourire aux lèvres. « Hello trésor. » lui dis-je souriante, coinçant le pétard que je venais de me rouler entre mes lèvres mise en valeur par mon rouge à lèvres rose.

(Invité)

Tu as besoin de te sentir vivant, après avoir accompagné Grace à sa soirée à New-York. Tu avais retrouvé tes parents après six ans sans les avoir vu. Ton voyage en Égypte que tu avais légèrement écourté, trop de chose en si peu de temps. Tu avais besoin de souffler et c'est ce que tu savais faire à merveille. Te promener dans la rue sans un but bien précis, fumer et boire avec tes potes, c'était toute ta vie. Mais au final ta solitude s'arrêtait rapidement, car t'arrivait en bas d'un grand bâtiment et des marches. Tu en chiais à lever les pieds pour les poser sur les marches en louper une seule. Tu venais de poser ton cul à côté de blondie. Tu connaissais son corps sur le bout de tes doigts, tu ne l'avais pas vu qu'une seule fois, non un bon nombre de fois. Tu restais à ses côtés, la saluant avec un léger sourire, t'appuyant contre la rambarde derrière toi. Allongeant tes jambes tranquillement, tu posais ton regard sur la demoiselle. « Tu as quelque de prévu après ton joint ? » lâchais-tu doucement avec un sourire assez suspect. Tu avais déjà quelque chose derrière la tête, car en effet ton lit était totalement vide, sans meuf. Du coup, tu avais peut-être la roue de secours devant tes yeux.

(Invité)

Je ne restais pas longtemps seule, je fus vite rejoins par un mec qui venait scouater les marches de la résidence avec moi, je le connaissais parfaitement bien, disons qu'entre nous, le physique comptait beaucoup et je ne compte plus les fois où nous nous sommes retrouvés, dans son lit, dans mon lit, dans les chiottes de la fac, dans celles du cinoche, à peu près partout, après tout il avait un corps qui me foutait presque l'orgasme, pourquoi je m'en priverai. Je venais de rouler mon joint, je le posais entre mes lèvres et je tournais la tête vers lui après avoir entendu sa question « Déjà passe moi ton briquet chéri. » j'avais un sourire plaqué sur mes lèvres attendant qu'il le sorte, je le prenais entre mes doigts pour allumer mon joint et lui repasser. Je tirais la première latte, laissant la fumée s'échapper de mes lèvres et je poursuivais en répondant à sa question « J'ai rien de prévu, pourquoi ? » lui dis-je lâchant ma tête sur le côté en le regardant, je savais parfaitement ce qu'il voulait.

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Tu tournes la tête plusieurs fois et au final, tu vas rester ici avec elle. Au pire tu ne seras pas seule pour la fin de cette soirée. Et à force tu appréciais sa compagnie, même si t ne passais pas des heures et des heures avec elle. A force de rassembler les moments ou je me trouvais avec elle, cela commençait à faire un bon bout de temps. Nombre de fois ou tu l'as retrouvé entre deux cours, après des soirées ou même avant. Tu t'en fou si tu te fais voir avec elle en train de baiser, après tout tu faisais bien ce que tu voulais ? Tu n'étais pas en couple, tu ne comptais pas l'être avant un bon moment, tu n'avais pas de sentiment et le reste tu t'en foutais. Si une demoiselle t'aimait, elle avait qu'à te l'annoncer, tu ne pouvais rien deviner. La fraîcheur commençait à te monter à la tête et quelques frissons se dissimulaient sur les avants-bras, malgré ta veste. Ton briquet ? Tu fouillais tes poches avant de le sortir de ta poche arrière. « Tient. » tu lui tendais ton briquet et tu souriais en entendant ta réponse. Elle pouvait donc être tout à toi ce soir-là. « Comme ça, tu pourras finir ta soirée avec moi. » tu ne lui laissais pas vraiment le choix et tu espérais qu'elle n'allait pas t'envoyer sur les roses.

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Je souriais le voyant s'asseoir à côté de moi, sa compagnie tombait parfaitement bien, ça faisait un moment que je ne l'avais pas vu, que je n'avais pas toucher les parcelles de son corps parfait. Sa question m'intrigua, ce que j'avais de prévu après mon joint ? Je devais avouer que passer le reste de ma soirée avec lui était ce que je pouvais rêver de mieux pour finir cette soirée en beauté. Avant de lui répondre je le faisais chier à lui demander son briquet pour allumer mon joint mais le beau brun s'exécutait, le sortant de la poche arrière de son jean, j'allumais mon pétard avec pour ensuite lui rendre puis ce n'est qu'après avoir tirer ma première latte dessus que je lui répondais, je n'avais absolument rien de prévu. « J'adore l'idée. » lui dis-je en guise de réponse tirant une autre latte.

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A vrai dire tu n'avais pas grand chose à faire et tu allais stopper les joints et l'alcool pour ce soir. Tu en avais déjà bien abusé et chez toi, c'était limite un aquarium. Tu avais l'habitude de cette fumée stagnante dans ton salon, mais là tu avais besoin d'air, besoin de respirer de l'air totalement pure. Du moins, ce n'était pas vraiment le cas puisque ton amie était en train de fumer un énième joint vu sa tête et ses yeux. Elle te demandait ton feu, tu avais mis quelques instants avant de le trouver dans les nombreuses poches de ton pantalon. C'est en touchant tes fesses que tu le retrouvais dans l'une de tes poches. Tu lui donnais sagement comme d'habitude et tu la regardais. Ton regard restait scotché sur elle et plus précisément sur son corps. Oui, voilà tu avais envie d'elle maintenant. Mais, en bon gentleman tu n'allais pas lui sauter ici, dans les escaliers et face sur la route. Un peu de dignité tout de même. Elle était partante pour ta proposition, elle avait certainement du comprendre ce que je voulais. « Tu veux bouger chez moi ou rester ici ? » soufflais-tu doucement, en passant une main dans tes cheveux.

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Il prenait de sa personne pour trouver son briquet et me le donner, je souriais le prenant entre mes dogts pour allumer mon joint et le lui redonner, je ne refusais pas sa proposition, bien au contraire, j'avais déjà assez profiter de mes potes, de l'alcool, des drogues, je pouvais bien prendre du temps maintenant pour calmer mes pulsions de nympho avec lui non ? Je tirais une latte avant de tourner ma tête vers lui « Bouger chez toi. » dis-je posant une main délicatement sur sa cuisse ferme pour m'appuyer et me relever, prenant le joint entre mes mains et attendre qu'il se relève à son tour pour marcher à ses côtés vers chez lui. « Alors comment tu te portes ? » lui demandais-je.

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