MEET ME HALFWAY | feat. rhys

Venir au voyage Quincy était le meilleur moyen pour moi de faire une pause dans les révisions et le stresse qui commençait à me marteler le ventre. Je voulais réussir mon année et même si c'était presque gagné d'avance, je ne pouvais m'empêcher de ressentir une certaine peur. Un peu comme un artiste qui montrerait sur scène chaque soir mais qui ne pourrait s'empêcher de montrer une légère anxiété. C'était donc une pause, un moyen de décompresser et de montrer ma nature Quincy, et en l'occurrence ici c'était un pays en manque d'aide. Nous avions passé plusieurs jours à les aider et enfin, je m'accordais un petit moment hors de tout, et surtout des personnes d'Harvard. Enfin, sauf Alix puisque c'était mon invitée et que j'étais content de passé à nouveau du temps avec elle. Notre relation n'avait jamais été facile et aujourd'hui après des disputes, des tensions plus tard, nous avions enfin renoué contact. Etre ami ? C'était une idée complètement absurde en vu de notre vécu et pourtant, on s'en accommodait plutôt bien. Enfin, en apparence seulement. Suivant le chemin qu'on nous avait indiqué plutôt, nous arrivions enfin à travers la forêt à trouver l'endroit composé d'une grande cascade. L'endroit était un réel délice avec l'odeur, la vue, et la beauté des fleurs sur notre chemin. Je ne pensais pas un jour me rendre à un endroit aussi beau et avec cet esprit si magique. J'avais envie de passer un peu de temps avec toi, ça faisait longtemps. Répondis-je avec honnêté en regardant de partout ce que la nature offrait de si merveilleux. L'eau si proche à présent se faisait entendre dans un vacarme assourdissant, créant une certaine excitation dans mon corps. De l'adrénaline qui ne demandait qu'à se développer pour exploser. Une fois tout en haut de la cascade, arrivé à bon port, je lâchais mon sac pour le poser au sol et regarder cette rivière si calme descendre soudainement de plusieurs mètres. Woaw. C'était trop géniale. Moi aussi ça me manquait, c'est pas plus mal de se retrouver, tu pense pas ? La chaleur de l'endroit nous obligeait à nous habillé légèrement, d'où mon simple débardeur blanc et mon short. Et même si a Harvard le soleil commençait à pointer le bout de son nez ça n'avait pas d'égale par rapport à ici. Mon dieu, ça déchire. Je ne pouvais contenir ma joie et encore moi mon vocabulaire d'adolescent pré-pubère.