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It's in this special way we f*ck [Hayley]

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It's in this special way we f*ck



Je dévorais cette femme sans nom, baisant son cou alors que mes mains caressaient ses courbes généreuses. Tous deux nu, sur ce lit froid non défait, dans cette pièce complètement impersonnelle et insipide. Mes pulsions dévastatrice revenant sans cesse, je me devais de les assouvir et ce de n'importe quelle manière. Je l'avais vu dans la rue, j'avais compris. Compris quelle serait à moi, l'espace d'une petite heure. Peu importe qui elle était, du moment quelle me servait et ce de la manière la plus sale qu'il soit. Ouais, j'en étais rendu au point de me payer des putes. Pardon, des prostituées. Comme si l'attente d'un sms de la part d'un de mes nombreux partenaires était trop longue, préférant céder aux premières minutes, et ce avec n'importe qui.

Mon corps bouillonnant d'impatience de dévorer une nouvelle âme, je ne regardais pas son visage. Il m'était sans intérêt, elle m'était sans intérêt. Je voulais juste me soumettre au plaisir de la chaire, de la brutalité. Mes lèvres sur sa poitrine, je descendais petit à petit. C'était une femme, je préférais les hommes. Arrivant en face de son intimité, je relevais la tête.


"Tourne toi"

Elle devait se tourner, maintenant, tout de suite. J'embrassais ses fesses, caressant son dos de ma main droite tandis que l'autre pénétrais le plus intéressant à mes yeux. J'appuyais sur sa colonne vertébrale, l'incitant à se courber encore plus. Inutile d'attendre, inutile de me faire attendre. J'avais payé pour mon plaisir personnel, pas le sien. Je lui attrapais les cheveux d'une main tandis que je m'introduisais en elle à l'aide de l'autre. Peu importe si elle avait mal, peu importe si elle souffrait. Je préférais les hommes, alors je ferais comme si c'en était un. Brusquement, j'allais et revenais en elle, lui tirant les cheveux. J'étais possédé, et ce comme à chaque fois que je me soumettais à la jouissance divine. Je ne lui faisais pas l'amour, comme j'aurais pu faire l'amour à Rob, à Camille.. Non. Je la baisais. Purement et simplement. Comme si je me défoulais et ressortait toute ma rage, toute ma haine, dans un vulgaire va et vient dévastateur.

Au fur et à mesure de ce que je lui infligeais, les dents et la mâchoire serrée, je commençais à perdre le contrôle de ma lucidité. Lâchant quelques gémissements roques et bestiaux, telle une bête tuant la belle. Mes yeux fou fixant sa chevelure que je tenais dans une de mes mains, je replongeais soudainement et brusquement dans l'horreur ; Le 10 octobre 2010. Gloria, cette femme que j'ai violée, cette femme qui me l'a volé. Je commençais à confondre cette prostituée avec elle, sans m'en rendre compte. La rage, la haine et la tristesse me revenaient en pleine figure, sans que je ne puisse faire quoi que ce soit. Perdant le contrôle de plus en plus, devenant encore plus violent, je lâchais ses cheveux et me mis à attraper son cou. Serrant, serrant, serrant.... La scène du viol se confondant avec celle-ci, ne sachant faire la différence entre l'irréel et le vrai. Je serrais de plus en plus fort, la sentant faiblir...


"......." Le souffle coupé, je la lâchais brusquement tout en me retirant, basculant en arrière sur le lit où nous étions. Haletant, choqué, je venais de revivre le cauchemar de ma vie. Je tremblais, tout en la regardant reprendre peu à peu son souffle. Bordel, non, pas de nouveau, tout sauf ça... Je venais de perdre le contrôle, pendant une simple partie de jambes en l'air rémunérée. Tout en restant dans ma position actuelle, le visage exprimant mon expression décontenancée, je balbutiais vaguement " Je..... Je..... Désolé....Désolé bordel...."

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Je restais sur le lit, comme sonné. Complètement sonné. Tout me revenait en pleine figure, comme si je n'en n'avais pas vécu assez, comme si le monstre qui était en moi avait eu besoin de sortir à nouveau. Suis-je réellement fou ? Ai-je réellement un problème, moi, Gary Lewis ? Toutes ces questions, toutes ces vérités jaillissante ne faisait que renforcer ma peur. Comment devais-je agir après ça ? Tremblant, mon crâne me faisait mal. Je ne pouvais pas la quitter des yeux, prier au fond de moi pour quelle se lève et me dise que ce n'est pas grave, que ça arrive, mais non. Ça n'arrive pas. Ce genre de chose n'arrive habituellement pas.

Elle tombe du lit, je reste là, comme un con. Elle se colle contre le mur, je reste là, comme un con. Haletant, baissant les yeux, me rendant compte d'une chose qui me mettrait encore plus dans la merde et surtout si elle décide de porter plainte ; Je n'avais pas mis de protection. Gary. Tu n'as pas mis de putain de capote. Trop pressé, trop aliéné. Bouche bouée, replantant mon regard dans le sien, je l'aperçu se lever enfin. Bon, plus de peur que de mal. Fermant la bouche, reprenant peu à peu mes esprits tout en restant allongé sur le lit, appuyé sur mes coudes, la tête redressée, je l'écoutais. Que pouvais-je répondre à ça ? Qui était-elle pour me dire que j'étais malade ? Après tout, c'est elle qui proposait ses services. Mon esprit devenait à nouveau lucide, froid, mauvais. Il n'était plus question d'excuses ; C'était de sa faute à elle.

Me raclant la gorge, prenant tranquillement mes vêtements, bien que tremblant encore légèrement, je lui répondais de façon hautaine, faisant preuve d'une extrême mauvaise foi.


"Arrête ton cirque... C'est bon, fallait le dire tout de suite si t'es une petite nature." Horrible. Je suis putain d'horrible. Au fond, au fin fond de mon être sale je le sais, je m'en rend compte. Mais cette situation est beaucoup plus simple pour moi que d'assumer mes actes ; Lui reprocher les choses, lui montrer et lui faire croire que le soucis vient d'elle et pas de moi. Manipulation, toujours et encore, comme à mes habitudes. Ma seule arme. Alors que j'enfilais doucement mes affaires en même temps quelle, lui jetant de temps à autres quelques regards, je fini par me lever. Cette femme était plus petite que moi, rien d'étonnant. Je m'approchais d'elle, le regard sombre et glacial.

"Tiens..." Sortant une liasse de billet, en plus de ce que j'avais déjà donné, je mis ma chemise devant elle. Comme si je voulais lui faire comprendre quelque chose, lui montrer quelle n'avait certainement pas intérêt à parler de ça à qui que ce soit, et encore moins aux autorités. Boutonnant mon haut, sans la quitter des yeux, je repris "Ne fait pas ce métier, si tu n'aimes pas t'envoyer en l'air. Trouve toi plutôt un mec si tu cherches des caresses et de la tendresse."

Je me retournais, allant chercher le reste de mes affaires sur mon lit, le visage fermé, l'angoisse me prenant aux tripes. Et si elle attrapait l'hépatite B à cause de moi ? Je ne la reverrais certainement jamais, mais elle, j'imagine bien quelle aura du mal à oublier cet épisode ; Encore plus si elle tombe malade. Soupirant, je fini par lui dire, achevant le tout "Et puis... Mets des capotes à dispositions. Tu pourrais choper des saloperies et en refiler aux autres" Mauvaise foi, mauvaise foi, toujours la mauvaise foi...

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J'étais encore bouleversée par ce qui venait de m'arriver, être presque étouffée et échapper à la mort de justesse, rien de tout ça n'était censé m'arriver. Je devais seulement passer avec cet homme des minutes, durant lesquelles il se ferait plaisir avec mon corps, contre de l'argent et j'étais supposée partir à la fin, sans aucunes complications. Mais non, il fallait que je tombe sur un malade mental, qui avait failli me tuer. Quand je pense à ce qui aurait pu se passer s'il n'avait pas arrêté au bon moment, on m'aurait trouvé immobile dans cette chambre, et tout le monde aurait probablement su ce que je faisais à part servir dans un restaurant et garder des enfants, on aurait prévenu ma mère et elle en serait sûrement choquée à vie. Toutes ces pensées défilaient rapidement dans mon esprit, alors que j'essayais de m'en remettre un instant, après avoir sauté du lit.
Quand je me rendis compte que j'étais toujours sous le même toit que ce monstre, je me hâtai de me lever. Et je commençai à m'habiller, en répétant d'une manière hystérique qu'il était malade. Je tremblais encore de peur, alors m'habiller n'était pas une tâche facile pour moi, surtout quand je n'arrivais même pas à mettre un simple pantalon. A force d'essayer de faire le plus vite possible, je réussissais plutôt à me retarder encore plus. Je sursautai quand j'entendis la voix de mon client, qui me traitait de petite nature. N'importe quoi, toute autre fille aurait refusé ce qu'il avait fait, il avait tenté de me tuer et je pourrai très bien l'interpeller au tribunal à cause de ceci, mais ce n'était pas vraiment la première chose à laquelle je pensais maintenant. Là tout de suite, je voulais surtout m'en aller. Je ne répondis pas à sa provocation et continuai à m'habiller sans le regarder. Mais je ne peux que le regarder, quand il s'approche de moi, avec des billets en plus qu'il me tend. Je repousse sa main qui tenait encore la liasse de billets, tout en le foudroyant du regard. "Je ne veux pas de votre argent. " Dis-je clairement. Il continue de me provoquer. Justement, si je l'avais trouvé ce garçon qui me chérirait, je ne serai probablement pas ici. Mais il avait peut-être raison finalement, tout ça n'était pas fait pour moi. Je commençais à me reposer ma question : qu'est ce que je foutais de ma vie ? "Arrêtez de me parler sur ce ton, vous avez failli me tuer juste maintenant et vous osez encore me regarder ? " Dis-je alors que je sentais l'envie de pleurer arriver peu à peu. Je baissai la tête et continuai de m'habiller. Je ne supportais plus le fait qu'il le voit toute nue, c'était déjà assez d'humiliation. Quand il se tourne de dos, j'essuie mes yeux, alors que je suis soulagée de ne plus avoir son regard sur moi. Je cherche finalement dans mon sac l'argent qu'il m'avait donné au début et me dirige vers lui. "Tenez. Si vous pensiez que c'est ça qui vous donne le droit de me traiter comme ça, et bien je n'en veux plus. " Je la jette sur le lit, déterminée de lui faire comprendre que je n'allais pas lui permettre de me rabaisser contre quelques billets. Cette fois-ci, je suis prête à partir, même avec mes cheveux en bataille. Cependant, sa dernière parole me rentre enfin dans le cerveau et quand je finis de l'analyser, j'explose. "Attendez, qu'est ce que vous avez dit ? Qu'est ce que vous racontez ? C'est vous qui deviez vous en charger ! Enfin c'est logique, c'est vous qui le mettez et vous devriez en avoir sur vous, avant...avant de me payer ! Qu'est ce que je vais faire maintenant ? Dieu sait ce que vous m'avez passé, il se peut que je tombe enceinte aussi. Oh mon Dieu ! " J'avais atteint le point extrême de mon inquiétude, dès que j'avais commencé à parler sans arrêt. Je tombai à genoux en pensant aux conséquences d'un seul préservatif, qu'il n'avait pas pu mettre ou acheter car il était si pressé. Et je n'oubliais toujours pas la tentative de meurtre qu'il ignorait bizarrement et si calmement.
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Elle ne voulait pas de mon argent, continuant de me faire des reproches. Je savais très bien ce qu'il venait de se passer, je savais très bien que j'aurais pu la tuer, comme j'aurais pu tuer Gloria. Je n'aimais pas l'entendre, je détestais l'entendre. Tous les jours et ce depuis plus de quatre ans, je m'efforçais d'oublier ce détail qui transforma ma vie en un véritable enfer ; Et ce n'était pas pour qu'une inconnue me le rappelle et ce de cette manière.

Le visage toujours aussi froid, fermé, je reprenais alors l'argent quelle me redonnait. Tant pis pour elle après tout. Mais cela dit, son geste ne faisait que renforcer mes craintes. Seulement, j'étais bien trop fier, bien trop apeuré par la simple idée d'assumer mon problème pour essayer de calmer le jeu et la situation. Il m'était incapable de lui accorder un peu de compassion, incapable de lui parler, de la regarder... Je voulais simplement quelle parte, ne plus la voir, oublier ce nouvel et fâcheux épisode. Evidemment, ça ne se passerait pas aussi facilement.

Désormais habillé, je me retournais face à elle en ayant certainement dit la phrase de trop. Je déglutis en l'entendant crier ses peurs, sa rage, la voyant tomber à genoux, désespérée... Je soupirais longuement, baissant la tête, fermant les yeux et me les frottant avec mon index et mon pouce. Mon mal de crâne empirait, et entendre ses lamentations n’arrangeait pas la panique qui prenait complètement et totalement possession de mon âme, ou du moins ce qu'il en restait. J'essayais de cacher mes émotions, de ne pas lui montrer mon réel état, en vain ; Je me remettais à trembler, mâchoire serrée, gardant cette position. Je murmurais alors, la pression recommençant à monter en moi..


"Ferme là......" Je soufflais fort, haletant de plus en plus "Je te dis de la fermer, merde !!" Fini-je par hurler, relevant la tête et ouvrant grand les bras. Je me rapprochais de nouveau vers cette fille, me penchant, furieux, désemparé, le regard fou. Je repris, tout en la pointant du doigt " Tu n'as pas intérêt à ouvrir ta jolie petite bouche ma belle.." Continuais-je tout en tremblant, serrant les dents autant que possible " C'est ma putain de parole contre la tienne, si tu veux jouer à ça tu sera perdante ; Tu ne sais pas qui je suis, et je peux t'assurer que tu le regrettera amèrement !"

Je me redressais, me retournant de nouveau et ce instantanément. Les mains sur le crâne, ne sachant plus quoi faire, perdu, paumé, bordel... Je me mordais la lèvre inférieure, faisant les cents pas tandis que mon coeur battait à cent à l'heure. Dans un excès de rage, je pris la petite lampe de chevet qui était posé sur l'un des meubles à côté du lit puis la jetais très violemment par terre, la cassant, laissant les bouts de verre s'exploser au sol. Sans la regarder, je lui pointait du doigt la porte et me mis à hurler "Dégage ! Dégage putain de merde !" Je devais être seul, je voulais être seul, noyer toute cette nouvelle merde dans autant d'alcool que possible. Tout de suite, maintenant, faîtes quelle se tire, quelle m'oubli, j'en sais rien mais putain, tire-toi..

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Je n'arrivais toujours pas à croire comment il avait pu faire volte face en un clin d'oeil. Littéralement, il avait changé tellement de fois ce soir que j'en restais pétrifiée à chaque fois, de cet homme dragueur à la voix charmante, ainsi qu'à l'allure de ces hommes d'affaires toujours occupés, il se transforma en quelqu'un violent, glacial et orgueilleux, sans oublier meurtrier. Je ne le reconnaissais plus, en même temps, ce n'était pas comme si je le connaissais depuis longtemps, mais je n'avais jamais rencontré quelqu'un qui changeait si soudainement, non seulement d'humeur, mais aussi de caractère.
Alors qu'il avait semblé perturbé par ce qu'il avait fait tout à l'heure, il enchaîna directement après les provocations et les moqueries. Je ne m'étais jamais sentie aussi humiliée, malgré ma timidité et ma petite personne fragile, personne n'avait réussi à me briser, quitte à me marcher dessus tel un futile insecte. Il m'avait jeté toutes ses conneries sur le dos, alors qu'il ne pouvait même pas assumer un geste aussi simple, que se procurer un préservatif...Pourtant, il arrivait à me manipuler les pensées. Car je commençais peu à peu à me rendre compte, qu'il avait peut-être raison. Qu'est ce que j'en savais de ce monde si étranger à mes yeux ? C'était peut-être moi qui devait normalement en amener, ça me concernait aussi...Leçon apprise désormais, mais ne pouvait-il pas m'en parler avant ? Ou c'était comme ça qu'il me voyait ? Un corps qu'il avait loué, pour en user sans se soucier de la personne à qui il appartenait ? J'ai toujours eu honte de ce que j'avais commencé à faire depuis quelques semaines. Après tout, je n'avais suivi un homme dans sa chambre d'hôtel que deux ou trois fois, et je ne me réjouissais toujours pas de passer quelques heures avec des inconnus moi, chose qui ne changera jamais. Mais aucun de mes anciens clients ne m'avaient traité de cette façon, personne ne m'avait regardé de si haut, aucun d'eux ne m'avait donné l'envie de lui cracher au visage. Et plus essentiellement, aucun d'eux n'avait essayé de m'étrangler. Le plus étrange dans tout cela, c'était qu'il pouvait encore se permettre de me crier dessus, de m'apprendre des leçons sur mon nouveau job et de m'insulter car je n'avais pas pu supporter qu'il m'étouffe.

Quand je tombai à genoux, après qu'il m'avait annoncé fièrement et à sa manière, qu'il n'avait pas utilisé un préservatif, je paniquai et c'était comme s'il n'était plus là, le temps que je sorte tout ce que j'avais à dire, sans le laisser m'interrompre, ni m'empêcher de parler. Puis je ne pu que le regarder droit dans les yeux, quand il se permit de me menacer. Le regardant de si bas, ça ne pouvait que me faire sentir encore plus mal. J'avais envie de lui demander ce qu'il allait faire, pour m'empêcher de porter plainte, mais il avait déjà tenté de me tuer il y a quelques minutes, alors je ne pouvais pas imaginer quelque chose de pire pour qu'il m'arrête. Je ne supportais plus sa voix et ses cris, alors je me levai sur mes jambes qui n'arrivaient plus à me tenir debout, mais qui ne pouvaient pas me lâcher maintenant. Non, ils ne pouvaient pas me faire cela, alors que je m'apprêtais à partir d'ici tout de suite. Je ne pouvais pas résister devant ce fou, nous étions touts les deux en colère, mais ce qui faisait la différence entre nous, c'est qu'il arrivait à manifester sa rage, alors que j'en étais capable seulement en pleurant. J'étais faible devant lui, et je ne pouvais que m'enfuir, tant qu'il me le permettait encore. "Ça va, arrêtez. Je m'en vais et vous n'entendrez plus...plus parler de moi ! " Criai-je avec une voix saccadée. Je me hâtai sans attendre de réponse de sa part, à saisir mon sac quand j'entendis quelque chose se casser. Il avait brisé une lampe de chevet, tout en me criant de partir. Je ne le fis pas trop attendre, quand j'ouvris la porte d'une main tremblante pour marcher le long du couloir, à pas rapides sans pour autant courir. Je ne voulais pas qu'on soupçonne quelque chose, ça pourrait m'attirer des ennuis. Ensuite, les larmes ne tardèrent pas non plus à arriver, je n'allais probablement pas dormir ce soir.
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