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I will never stop believing in you Ft. Eä

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C’est sans surprise que j’avais retrouvé Eä en train de s’entraîner en vue des compétitions nationales qui arrivaient à grands pas. J’avais toujours admiré son courage, dès l’instant où elle m’avait parlé de ses ambitions sportives. Elle avait un rêve, et malgré la maladie et les difficultés qui en émanaient, elle ne se laissait pas abattre. Jamais. Et cela m’impressionnait. Bien sûr, je ne pouvais m’empêcher de m’inquiéter pour elle, très souvent même. Je craignais qu’elle repousse un peu trop ses limites, mais à côté de cela, je ne pouvais que l’encourager à réaliser son rêve. En étant présent au plus que je pouvais pour elle. A l’exception de ces deux derniers jours. Je n’avais pas pu être très présent pour la soutenir, en raison d’un petit séjour sur New-York pendant mon week-end en vue de revoir un peu ma famille, mais enfin de retour à Harvard, je ne pouvais faire autrement que changer cela, d’où ma présence. Elle ne devait sans doute pas s’attendre à me voir si tôt étant donné que je lui avais fait croire que mon retour aurait lieu dans l’après-midi. J’avais surtout envie de lui faire la surprise de mon retour, et comme il fallait s’y attendre de ma part, je n’étais pas venu les mains vides pour la retrouver. Je lui avais ramené un assortiment de macarons que notre cuisinier avait concocté. Je les avais trouvé à tomber et je n’avais pu m’empêcher de lui en prendre. Après tout, elle pouvait bien se permettre d’être un peu gourmande. C’est aussi ce que notre cuisinier avait rétorqué quand, habitué à m’entendre parler d’Eä, il avait empaqueté soigneusement les macarons que je lui avais réservé pour elle et en avait rajouté d’autres, car à ses yeux, on est jamais assez généreux. J’étais complètement de son avis, surtout quand ça concerne Eä. Elle s’entraînait depuis un petit moment déjà, et je m’étais contenté de l’observer, dans l’ombre, jusqu’à ce qu’elle prenne une pause . J’en profitais alors pour la rejoindre, ravi de la retrouver en aussi bonne forme. « Eä...Tu vas bien ? » Ca me faisait du bien de la revoir, bien que nous n'avions pas vraiment perdu contact tout les deux grâce à nos portables respectifs. « Je t'ai rapporté quelque chose. » lui disais-je en lui tendant le petit paquet cartonné que je n'avais pas lâché depuis mon retour à Cambridge dans l'heure précédente. « Le grand jour approche…  Mais je m’inquiète pas, d’après ce que je viens de voir, tu as toutes tes chances…» Je n’avais jamais douté d’elle, je craignais juste que ses jambes lui jouent un mauvais tour le jour fatidique, mais ça ne m’empêchais pas de rester optimiste et de lui cacher mes craintes.
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Comme la saison des competitions arrivaient bientôt, je passais de plus en plus de temps sur le terrain de course. Bien sure, j’allais encore en cours et je faisais mes devoirs mais tout mon temps libre je le passais a m’entrainer. Cette saison allait vraiment être importante pour moi, avec les championnats du monde a Doha et les autres competitions de cet été, c’était ma chance pour me qualifier pour Rio. Bien sure que j’étais nerveuse. Tout pouvait arriver avec mes conditions. Mes jambes pouvaient complètement lâcher du jour au lendemain. Je pouvais tomber et ne plus jamais me relever. Il y avait des risques que je prenais, mais je refusais d’abandonner alors que je m’approchais de mon but. De toute façon, je savais que mon coach n’allait pas m’abandonner, que les competitions que j’allais faire cet été, mon équipe serait la et on allait tout déchirer. Je faisais partie d’une des meilleures du pays, surtout au vue de mes conditions médicales. Aujourd’hui, je passais encore mon temps a m’entrainer. Aurel avait dit qu’il était toujours a New York, du coup, j’usais de mon temps libre pour courir. J’aurais bien aimé retourner aussi a New York, mais c’était impossible pour le moment. Avec les examens de fin d’années qui s’approchaient et les competitions, je pouvais pas me permettre de rentrer a la maison. Heureusement que mes parents venaient me voir régulièrement. Je me demandais parfois si ce n’était pas leur inquietude qui parlait. Il y avait Jacey, Aurel, Aby pour faire attention a moi. Ils avaient pas besoin de venir me rendre visite si souvent. Enfin les parents ca reste les parents, on ne pouvait rien y changer. Je décidais de prendre une pause pour m’hydrater et allait m’asseoir sur un banc attrapant un essuie et ma bouteille d’eau que j’affonnais quasiment. Je sursautais alors que j’entendis une voix et quelqu’un s’approcher. Je m’attendais tellement pas a cela. Je me retournais pour voir Aurel. Mais qu’est-ce qu’il faisait la? Il ne devait pas revenir cet après-midi? Je comprends plus rien. « Aurel !! Oui oui ca va bien. Et toi? Qu’est-ce que tu fais ici? Tu voulais pas profiter de ta famille? » Enfin je disais pas non a le voir car ca me faisait toujours plaisir de passer du temps avec lui et de l’avoir pour moi. Je faisais un peu de place a cote de moi, posant mon sac de sport par terre. Je pris le petit paquet qu’il me tendit. « Tu sais t’avais pas besoin! » J’ouvris le paquet par curiosité et vit un tas de macarons soigneusement emballé. « Oh, c’est de votre cuisinier? Merci beaucoup. » Contrairement a toi, Aurel venait d’une famille riche et quand je disais riche, je crois que c’était vraiment un euphémisme parce que la famille Rockefeller, c’est genre LA famille quoi. C’est presque de la noblesse américaine quoi. Quand j’allais chez lui, je me sentais tellement pas a ma place car je viens juste d’une petite famille modeste qui travaillait comme pas possible pour payer mes frais médicaux. Rien que le dernier, je savais que ma mere avait surement encore du prendre un travail a mi-temps pour payer les frais. Mais Aurel était different, il était pas du genre snob et riche. Il était tout le contraire. Je rigolais en l’entendant. « C’est ce qu’on verra. On sait jamais ceux qui peut se passer le jour-meme. » Tout dépendait des autres facteurs.
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Etant un Rockefeller, je n’étais pas à plaindre, c’est vrai. Etant plus jeune, j’appréciais particulièrement le fait que mes parents avaient de l’argent car ils pouvaient m’acheter tout ce que je voulais : les dernières consoles de jeux à la mode, j’avais mon propre kwad avec lequel j’adorais parcourir le jardin de long en large, quand on organisait pas des courses avec mes grands frères… A la maison, nous avions une salle de projection pour regarder nos films préférés… J’avais une gouvernante responsable pour s’occuper de moi et qui m’accordais tout son temps, veillant à me distraire et à ce que je ne m’ennuie pas. Avec les années, elle était devenue un peu comme une seconde mère pour moi, la première accordant beaucoup de temps à son travail, tout comme mon père d’ailleurs. Très vite, je m’étais mis à regretter le fait d’être un Rockefeller. J’aurais tout donné pour être comme mes camarades de classe, tout simplement parce que eux, c’était généralement soit leur père ou leur mère qui venaient les chercher à l’école. Moi, c’était ma gouvernante. Bon, c’est vrai qu’elle me gâtait énormément… De par le fait que j’étais le petit dernier de la famille. Et peut-être aussi à cause de mon souci de santé. Avec elle, j’avais souvent droit à un traitement de faveur, surtout lors de mes sorties de l’hôpital. Dans ces moments là, le reste de la journée était consacrée à ce que j’aimais : le cuisinier préparait toujours mon plat préféré et j’avais le droit de me gaver de gateaux autant que je voulais. Oui, j’étais gaté coté matériel et affection du coté du personnel que mes parents employaient. Mais ce qui me manquait le plus, c’était d’avoir mes parents auprès de nous, comme mes camarades de classe. Mais je ne m’en suis jamais plaint. Bien au contraire. Mes frères, mes sœurs et moi avons grandi, mais malgré leur absence, on leur accorde tous un certain respect. On sait tous qu’ils ont fait de leur mieux pour nous, et que, malgré leurs obligations, ils se sont toujours assuré que nous soyons heureux autant que possible. J’avais passé une journée entière et un début de matinée auprès d’eux, à profiter de leur présence, ainsi que de celle de mes frères et sœurs, réunis à la maison et cela m’avait fait un bien fou. J’avais cependant écourté ma visite sachant que le soir même, mes parents étaient conviés à l’une de leur soirée mondaine, et bien qu’ils auraient aimé avoir l’entièreté de la famille auprès d’eux, j’avais gentiment décliné l’invitation. Je n’aimais pas ce genre de soirée. Je savais pertinemment que je serais mieux du coté de l’université. Là, je pourrais retrouver Eä, et je serais à nouveau dans mon élément : je pourrais me contenter d’être moi, plutôt que me forcer à faire mine d’être heureux entouré de personnes qui ne s’intéresseraient qu’à mes études, à mes fréquentations tout en sirotant du champagne hors de prix… Généralement, je fuyais ces soirées comme la peste… D’où la raison de mon retour matinal. Je préférais nettement être auprès de ma meilleure amie. Profitant du fait qu’elle me faisait une petite place à ses côtés, je m’installais auprès d’elle. « Je vais très bien, merci. Mes parents avaient certains projets pour ce soir, qui ne me tentaient pas tellement. Tu vois, le genre de soirée, avec tout leurs amis aussi riches qu’ennuyeux… J’ai jamais compris ce qu’ils approuvaient à se retrouver en leur compagnie… » Je les avais toujours trouvé trop superficiels. Ils accordaient toujours plus d’importance à la fortune d’une personne plutôt qu’à sa personnalité. Pour moi, c’était tout l’inverse. Je préférais me retrouver avec des personnes simples, qui ne se prennent pas la tête avec l’argent. « Je me suis arrangé avec le majordome qui s’est fait un plaisir de m’amener à l’aeroport. Normalement, je devais revenir ce soir, c’est vrai, mais j’ai eu la chance de pouvoir échanger l’horaire de mon vol. Et honnêtement, je préfère être ici. » Sa compagnie était nettement plus agréable. Je ne serais sans doute pas revenu aussi vite si elle avait pu m’accompagner. Sa présence était pour moi quelque chose de vraiment très important et je ne pouvais nier le fait qu’elle me manquait atrocement lorsque je m’en retrouvais séparé. A présent qu’elle était à mes cotés, plus rien ne me manquait. Je l’observais déballer le paquet que je lui avais offert avant de lui accorder un sourire en acquiesçant positivement. « Je t’en prie. On a pas eu la chance de t’avoir avec nous, et comme tu as raté le meilleur, on s’est dit lui et moi qu’il fallait vraiment remédier à ça. Il attends d’ailleurs que tu reviennes à la maison pour que tu lui dise toi-même ce que tu en as pensé. » Sa présence, je pense, avait manqué à tous. Eä faisait déjà un peu partie de la famille, et honnêtement, je n’en étais pas mécontent. Je n’aurais pas apprécié que mon entourage lui tire dans les pattes, elle était trop importante pour moi pour que je leur permette une telle chose. Fort heureusement, le courant était très bien passé directement entre mes parents et elle. D’ailleurs, pendant mon dernier séjour, ils n’avaient pas manqué de me demander de ses nouvelles et m’avaient demandé de revenir avec elle la prochaine fois. Comme si ma présence seule ne leur suffisait plus. Mais je pouvais les comprendre. Je crois qu’Eä les avait charmé comme elle m’avait charmé moi il y a longtemps déjà. Doucement, j’avais fini par hausser un peu les épaules avec un sourire en l’entendant rire. Ca aussi, ça m’avait manqué. « On sait jamais, c'est vrai, mais je veux pas penser au pire. Regarde, ça peut arriver au meilleur de se fouler la cheville et de perdre les sélections... Alors, ça peut t'arriver aussi que tu tiennes bon et que tu arrives aussi loin que tu en aies envie. »
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Je connaissais Aurel depuis mon temps au lycée. Grace au parents de Jacey, j’avais pu aller dans un lycée un peu plus classe. Ils s’occupaient de mes frais médicaux et mes parents de mes frais scolaires. J’avouais que je me sentais mal souvent par rapport à cela que d’autres personnes paient pour mes problèmes. Au début, j’étais souvent gênée d’être en leur présence, mais au cours du temps, surtout grâce à Jacey, j’étais devenue proche d’eux et très gratifiante pour ceux qu’ils faisaient. Il y avait en effet des gens qui aidaient rien que par la bonté de leur coeur, aussi difficile cela puisse être à penser. A ce moment-la, je pensais que plus riche ça n’existait pas. J’étais quelque peu naïve en tant qu’ado. Puis j’ai rencontré Aurel et sa maison et disons que j’étais sur le cul. Il y avait carrément des domestiques, un chef. J’avais cru rentrer dans un château ou même un compte de fée. Ca existait vraiment encore ce genre de famille. J’ai bien dis que j’étais naïve. J’ai toujours vécu confortablement. Mon père avait un bon boulot respectable avec un bon salaire. Ma mère, une fois arrivée aux USA, avait également pris un boulot à demi-temps pour couvrir mes frais médicaux, et grâce à Obamacare, c’était même plus facile pour certains de mes médicaments. J’avais jamais manqué de rien. Certes, c’était une simple vie modeste, mais j’aimais ma vie comme cela. Je ne pourrais pas imaginer vivre comme la famille Rockefeller, c’était juste trop. Toute fois, Aurel, c’était complètement autre chose. Il était pas posch, bon si, mais disons qu’il ne se comportait pas tel quel. Je veux dire par là que, au lycée j’ai vu des personnes, beaucoup de personnes, me regarder de haut parce que je venais d’une famille sans nom. Aurel m’avait pas regardé de haut et c’est ce que j’aimais chez lui. Je crois que c’est bien sa simplicité qui faisait qu’aujourd’hui, je le comptais toujours parmi mes amis. J’étais heureuse de le voir, bien que j’étais en plein entrainement, je pouvais prendre une petite pause. Je rigolais face à ce qu’il me disait par rapport à ses parents. « C’est pour montrer a quel point eux ne sont pas ennuyeux surement. » J’appréciais beaucoup les parents d’Aurel, malgré leur immense fortune, ils m’appréciaient aussi. Peut-etre parce que j’étais l’amie d’Aurel. Je n’en savais rien, mais j’apprécie le fait qu’eux non plus me prennent ni en pitié ni me regardent de haut. Je souriais alors qu’il me disait qu’il préférait être ici. Personnellement, j’avais pas été à New York depuis un long moment, n’ayant que très peu de temps avec les études, mes entrainements et à présent mes compétitions. J’y retournerai cette été pour sure. J’avais vu mes parents mais c’était pas la même chose, les voir ici ou a la maison. J’aimais tellement qu’Aurel m’avait ramené des macarons. Je raffolais de ses pâtisseries françaises, en plus faite maison. Ouais, meilleur cadeau possible. « Vous me connaissez trop bien. Mais je sais pas quand je vais revenir à New York. Tu vois bien que je suis super occupée en ce moment entre les entrainements et les compétitions. J’vais pas avoir beaucoup de week-end pour moi-même ses prochaines semaines. » C’est claire que cela m’attristait quelque peu, mais c’était mon rêve tout cela et je ne pouvais pas m’abandonner de si vite. Ca me faisait chaud au coeur qu’Aurel me soutienne et m’encourage. Il l’avait toujours fait et ceux depuis que je puisse m’en rappeler. « Merci. J’espère tenir. J’ai pas envie que tout ça s’arrête de si tôt. » Je savais très bien que j’avais un temps limité dans ma vie mais je voulais la vivre pleinement et le plus longtemps possible.
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