Once upon a love story [Flashback pv Georgina]

Once upon a love story

Georgina & Matthew

Ce matin, j'ai la boule au ventre. Je suis à Harvard depuis quelque temps maintenant, mais les cours sont difficiles. Le niveau est haut, il faut donc être à hauteur. On nous donne des tonnes de devoirs, d'exposés à faire pour notre cursus scolaire. En plus de ça, je dois passer du temps à l'hôpital, afin d'appendre le métier sur le terrain. Ce matin donc, je me dépêche de me préparer afin d'être à l'heure pour mes cours. La matinée se résumer à une heure de cours d'Anatomie, une heure de Biochimie et deux heures d'Histologie. Je fais partie des meilleurs de ma promo, et je compte bien le rester. Je suis quelqu'un de sérieux, il est hors de question qu'on essaye de me rabaisser, ne me faire, je ne sais quoi pour que j'abandonne, ô ça non. S'il le faut, je suis prêt à écraser ceux qui seront sur mon passage.

Midi sonne, je vais donc manger avec certains membres de ma fratrie. Il n'y a rien de fameux à manger, je me contente donc d'une salade et d'un bout de pain. À 13h15, je me rends à la bibliothèque. Je regarde autour de moi, puis je choisis une table où il n'y a pas grand monde. Je souris au jeune homme et à ce qui semble être sa chérie ; qui sont autour de moi, histoire d'être polis même si je n'en ai rien à faire, puis je vais dans une des allées afin de chercher les bouquins qu'il me faut. En revenant à ma table, je souris voyant que je suis finalement tout seul. Merci mon dieu, je n'aurais pas à supporter d'autres personnes. En même temps, dans une bibliothèque, il est dur d'être seul.

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CODES © LITTLE WOLF.

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Georgina & Matthew

J'ai un emploi du temps de malade, c'est difficile de tout concilier. Je me dois d'être en cours, à l'hôpital et en plus de ça, faire mes tonnes de devoir en plus d'un dossier que je dois présenter en fin d'année. Enfin, une fois de plus, je me trouve à la bibliothèque à bosser, encore et toujours. Je trouve une place avec deux amoureux, qui finalement quitte la table. Merci mon dieu, déjà que j'ai la tête qui va exploser, je n'ai pas non plus envie de devoir supporter leur soupe de langue. Je me mets en place, je m'étale comme je peux, puis j'ouvre mes livres ainsi que mon ordinateur. Je suis rejoint après quelques minutes par une personne, je ne porte pas attention à cette personne, j'ai juste envie de râler pour le moment. Je sors mon nez de mon écran pour regard cette personne, et à ma grande surprise, c'est une très belle jeune femme. Je lui souris par politesse et fixe à nouveau mon écran. Je jette un coup d'œil à la jeune femme, surtout à ses livres. Je n'y comprends rien, mais je reconnais ce qui pourrait être du Russe. Mon père étant un politicien, connaît beaucoup de langues et à beaucoup de livres étrangers à la maison. Je pianote encore un peu sur mon ordinateur, puis je dis ce n'est pas trop difficile comme langue ?, en direction de la jolie brune qui se trouve à ma table.

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Georgina & Matthew

Alors que je suis installé bien tranquillement sur ma table, je suis vite rejoint par une jeune belle femme. Je vais finir par croire que je les attire, si ça continue ainsi. Je lui souris par politesse, parce que même si ça me casse un peu les cacahuètes, je reste un gentleman avec de bonnes manières. Je replonge dans mon ordinateur, ouvrant la fenêtre d'internet, puis un livre sur l'histoire du corps humain, car oui, il y en a un. Je regarde les livres de la jeune femme, puis en voyant que c'est du Russe, je décide de lui demander si cette langue n'est pas difficile. Mon père a essayé de me l'apprendre, mais j'ai vite jeté l'éponge, dis-je avec un petit sourire. Oh moi ? Et bien, je suis entrain de préparer un exposé sur le cancer en général, je lui réponds en faisant la grimace. Ce n'est pas moi qui ai choisi ce sujet, mais mon professeur. Je pensais que ça serait quelque chose de vite fait, mais non, il y a tellement de choses à dire sur cette foutue maladie. Je finis par tendre ma main vers la jolie brune, et lui dire Matthew Watson, m'enfin, tu peux m'appeler Matt, je préfère, finis-je par dire avec un grand sourire.

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Georgina & Matthew

Finalement, un peu de compagnies à sa table ne fait pas de mal. En plus de ça, cette compagnie est une jeune femme plus belle.Finalement, un peu de compagnies à sa table ne fait pas de mal. Sa réponse me fait sourire, ça je le sais, je ne suis pas du genre à commencer les choses si ça ne me plaît pas. Mais pour mon père, c'est tout autre chose. Essaye de faire comprendre ça à un homme politique, qui espoir voir son fils faire le même métier, ou presque, que lui, lui dis-je en continuant de pianoter sur mon ordinateur. Elle en déduis par la suite que je suis en médecine, vu qu'elle sait désormais que je prépare un exposé sur le cancer. Ouais, c'est une horreur et encore, tu n'as pas vu les photos auxquelles j'ai le droit, je lui répond en faisant une grimace de dégoût. On finit par se présenter l'un à l'autre, tout en se serrant la main. Je continuerais bien de lui parler, mais elle semble très occupée, tout comme moi d'ailleurs. Je continue à écrire des pages Word sur mon ordinateur, ainsi que quelques notes sur un cahier que j'ai sur le côté. Elle en déduit par la suite que je suis en médecine, vu qu'elle sait désormais que je prépare un exposé sur le cancer. C'est fou comme elle est belle, me dis-je alors que mon regard s'attarde un peu trop sur elle. Finalement, je finis après 20 minutes, par reprendre la parole. Dis-moi, Georgina, serais-tu libre après ? Pour boire un verre, je lui demande en lui faisant mon sourire de tombeur.

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Georgina & Matthew

Ça me fait toujours rire, ces rares moments où je suis avec mon père. Il veut toujours me décourager, me dire que je ferais bien mieux de le suivre dans sa carrière, et de devenir un homme politique comme lui. Ce métier pourrait être bien, mais ce n'est pas ce que je veux. Moi, je veux devenir médecin et me spécialiser dans la chirurgie réparatrice. Je préfère m'occuper des gens qui en ont vraiment besoin, plutôt que de femmes ou hommes qui veulent juste passer sur le billard pour paraître plus jeune. Je suis tout à fait d'accord, dis-je en lui souriant. Je lui parle ensuite sur ce dont je travaille, lui disant donc que je bosse sur un exposé qui traite du cancer en général. Je fais une grimace quand on parle des photos, puis je finis par me taire et, retourner à mon ordinateur. Après 20 bonnes minutes, je finis par ouvrir de nouveau ma bouche, pour demander à la belle brune si ça lui dit de boire un verre avec moi plus tard. À sa réponse, je souris avec un petit taquin. Vers 19h, ça te va ?, je lui demande, après tout, elle a peut-être cours jusqu'à 19h et qui sait, on pourrait finir par manger ensemble.

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