IRIS B. GINGRICH ► Sabrina Carpenter

Je suis née très jeune, ma mère était alors âgée de 29 ans. J'ai vécu avec mes deux parents respectif jusqu'à l'âge de 3 ans. J'avais une vie plutôt normale, comme les enfants de mon entourage, mais en un peu moins peste, je pense. Ensuite, ma mère a quitté mon père pour je ne sais quelle raison, et a épousé Newt Gingrich, le sosie de Carl dans "Là-Haut" sans les lunettes. A partir de là, j'ai eu une vie plus aisée encore qu'avant. Moi qui étais fan de My Little Pony, je pouvais avoir des poneys si je le demandais. J'en ai eu six à mes sept ans, j'étais contente de pouvoir refaire la tribue. Bien sûr je n'étais pas gâtée comme ça, je méritais ce que j'avais. Je faisais des efforts à l'école, et j'ai sauté des classes d'où mon intelligence développé. A l'école, j'avais mon petit groupe d'amis mais je n'étais pas plus populaire que ça. Pendant les vacances, ma mère me parlait de Harvard, comme quoi je pouvais y entrer facilement, que j'allais m'y plaire, que c'était l'école parfaite pour moi. Je n'étais pas plus enthousiaste que ça étant donné que j'avais déjà quelques projets en tête : faire un élevage d'alpagas. Mon père, alias Carl, ne voulait rien entendre, il disait que j'étais une enfant assez bizarre comme ça. D'après lui, "apprendre le langage des baleines ou le morse n'est pas utile dans vie". Le jour où je serai perdue sur une île avec qu'un phare pour m'aider, je serais contente de connaitre le morse. J'ai continué ma petite vie avec les problèmes de tous les jours, à aller à l'école, tout ça, une vie très répétitive quoi. Ne sachant plus quoi faire de ma vie, j'en suis arrivée à être d'accord avec ma mère pour aller à Harvard. C'est finis de teindre les poneys pour refaire la bande, je devais passer aux choses sérieuses.
Me voilà à Harvard, aussi voyante qu'une maison de 45 tonnes soulevé par 42 264 mètres de cubes d'hélium (en gros  105 854 ballons).