charlie ∞ I can't break through your world.

- YOU GOT THAT STRANGE WEATHER -
charlie & riley.

Après avoir fini son cours, Riley alla automatiquement à son casier où elle avait laissé son téléphone. Aussi surprenant que cela soit, surtout par son cercle restreint d'ami, la jeune brune ne pouvait pas se passer de son téléphone, même pas une seconde. Quand elle s'est rendu compte qu'elle 'la oublié par accident dans son casier, son cours fut un vrai supplice en sachant qu'elle ne l'avait pas à ses côtés. Même son professeur de littérature a été surpris de la voir quitter les lieux de façon empressée, à l'habitude elle restait quelques minutes avec lui pour répondre à ses questions supplémentaires. Ce fut donc avec joie qu'elle retrouva son petit bijou technologique dans ses mains. En se retournant pour repartir, elle faillit l'échapper par terre en percutant un objet dur, ou plutôt un torse. Quand elle releva la tête et ses joues rougirent à la vue de Charlie devant elle. « Désoler » dit-elle maladroitement.

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Les examens approchaient à grand pas de plus en plus et ce n'était pas pour ma plus grande joie, bien évidemment. J'imagine que comme tout les élèves stables dans leurs petites cervelles, j'avais besoin de vacance, encore un petit Spring Break c'est possible ? Juste un tout petit bout de jour, rien que pour se reposer et dormir toute la journée ? J'avais un retard monstre à rattraper et j'étais quelque peu stressé. Je n'avais pas envie de redoubler, non c'était pas le moment, je voulais absolument finir mes années pour enfin travailler. Me dépêchant puisque je devais prendre le bus afin de rentrer à la maison, encore et toujours réviser. J'étais un forcené du travaille quand je le voulais, je n'avais pas hésité avec les Dunsters pour rien voyons. J'avais tout de même du niveau. Butant dans une jeune femme, je me reculais alors en l'entendant s'excuser. Je ne l'avais pas vu et j'étais confus d'oublier ce qui se présentait devant moi pour le coup. Je devais faire beaucoup plus attention que ça. « Non c'est moi.. » Dis-je en posant alors mes yeux sur la jeune femme, qui se trouvait être Riley. « Riley ? » Demandais-je alors un sourire apparût, illuminant alors mon visage. J'étais pas mécontent de l'a voir tiens. Mais dans mes pas fait à contre sens, j'avais atterrit pas loin d'un petit placard ouvert et c'est seulement quand Riley se fit bousculer par une horde de personne cinglé que nous nous retrouvions dans un cagibi tout les deux comme deux pauvres idiots. What ? C'est quoi ce délire ? J'avais pas eu le temps de comprendre ce qui se passait.

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charlie & riley.

Wow, pensa-t-elle. Toujours ce chic négligé, mais étudié. Bref le fantasme rêvé de la brune. Sauf que devant un physique de mannequin tel que lui, elle ne serait même pas à un cheveu de lui convenir. Rien qu’à voir ces gazelles de Cabots, toutes sublimes l’une des autres, elle ne ferais jamais poids devant eux, surtout en sachant qu’elles traînent sans cessent avec les Winthrops, normal puisque les confréries forment le duo parfait des gens les plus en vogue, sans oublier les Eliots. Seulement, il est difficile de rester impassible devant Charlie. Il avait ce je-ne-sais-quoi qui attire Riley. « Oui ? » demanda-t-elle la voix un peu rêveuse. Ah ce sourire, elle en fit de même, un peu maladroitement, les joues toujours aussi roses. Elle fut vite ramenée sur terre quand elle se sentit projetée contre Charlie. Et puis le noir soudain. La lowell était toujours collé au brun et se dégagea immédiatement quand elle en prit conscience. Heureusement qu’il ne pouvait pas la voir, elle sentait son visage surchauffé, signe qu’elle était plus que rouge. « Hum, ouais. » trouva-t-elle à dire. « Faudrait peut-être sortir d’ici pas vrai ? » dit-elle sur un ton blagueur, même si la plaisanterie n’avait pas sa place. « Désoler » dit-elle maladroitement.

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Se retrouver dans un placard, la porte fermée -bien entendu puisque des petits cons de première c'était amusé à le faire- complètement déboussolé dans le noir avec Riley, ça en faisait des choses à prendre en compte. Je me sentais un peu perdu et mes repères c'était carrément envolé. A sa proposition afin de sortir d'ici, je répondais positivement en hôchant la tête avant de me rappeler qu'elle ne me voyait pas. Je suis trop con! J'étais tellement gestuelle que je j'oubliais que dans certaines situations, ça ne servait à rien. « Ouais, c'est pas très confortable la dedans. » C'était tellement petit que nous étions presque collé serré la dedans, certes se n'était pas désagréable mais j'avais un bus à prendre et donc pas vraiment le temps de rester. Posant ma main sur la poignet, je tirais dessus en n'arrivant pas à l'ouvrir. Non, c'est une blague ? Je pouvais pas être coincé dans un placard à balais, quoique celle-là, on me l'avait encore jamais fait. « Euh.. Je crois qu'on est coincé. » Avouais-je alors à la Lowell en restant perplexe face à cette situation. « Attend, allume la lumière, on va bien arriver à sortir. » Demandais-je simplement en appuyant tant bien que de mal sur la poignet sans que cela ne change. Bon et bien, la journée se finissait sur une note inattendue, c'était sûr et certain.

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charlie & riley.

Comme c'était elle qui se retrouvait dos à la porte, ils durent reverser leur place pour que Charlie puisse ouvrir la porte. Dans un espace confiner, ce fut difficile de manœuvrer, mais ils purent finalement prendre la place de l'autre. Elle ne pouvait rien voir, mais elle put tout de même entendre Charlie se démené pour ouvrir la porte. Oh oh. Non, s'il vous plait non. Elle paniqua à la penser qu'ils resteraient enfermer dans ce cagibi sans moyen de sortir. Ce n'est pas le moment de faire une crise de panique, se sermonna-t-elle. Riley essaya du mieux qu'elle put pour reprendre une respiration normale, difficile dans cet espace exigu. « Non non, je veux sortir d'ici. » dit-elle, à deux doigts de la crise de larme. Elle fit ce qu'il dit et alluma la lumière en tirant sur la chaine. « On fait quoi maintenant ?» demanda-t-elle toujours aussi paniquée.

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Je ne pensais pas me retrouver dans un placard coincé, alors qu'au départ, je devais juste pendre des affaires pour rejoindre le bus. Comment en était-on arrivé jusqu'ici ? Les causes me semblaient tellement loin, je préférai reporter mon attention sur la poignée de la porte. D'ailleurs la jeune femme présente avec moi commençait à perdre les pédales et c'était loin d'être rassurant. On allait pas mourir ici tout de même. Riley, calme toi. Tranquille, souffle. On va trouver une solution. Encore des cons qui nous avaient vu s'enfermer et qui avait coincé la porte de l'autre côté, voila tout. J'avais déjà fait ce genre de coup à mes débuts à Harvard. Elle allumait alors la lumière et c'est seulement grâce à ça que je découvrais une pièce extrêmement petite. D'ailleurs la Lowell n'était pas très loin de moi, même très prêt et je ne m'attendais pas à une telle proximité. Soit on attend, soit on enfonce la porte.. ? Demandais en lui laissant le choix sachant que la dernière proposition ne marcherait peut être pas.

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charlie & riley.

Elle prit une grande respiration, tout comme elle le faisait quand elle était petite pour se débarrasser d'un mauvais rêve, sans sa mère pour la réconforter. Ses yeux la picotèrent, les larmes menaçaient de couler. Non. Plus depuis le jour de son enterrement, elle refuse de pleurer maintenant, ni un autre jour. Elle regardait la porte, toujours aussi angoissée. « Je crois qu'on n'a pas le choix d'attendre. Enfoncer cette porte ce révélait être de l'exploit donc, on n'a plus trop le choix.» dit-elle à contre coeur. Rester enfermer dans un endroit aussi exigu avec le mec qu'elle a le béguin pour, n'est pas exactement à ce quoi elle s'entendrait dans les plus fous des scénarios. Elle gardait la tête baissée, trop gênée de le regarder en face. « Désoler.» trouva-t-elle à dire même-ci elle n'est fautive de rien.

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