Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityLORILIA ★ When you at the worst, don't forget friends are there...
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LORILIA ★ When you at the worst, don't forget friends are there...

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Mon corps se déchainent, je m'effeuille devant ses yeux gourmand sans y penser, sans penser à ce qu'ils peuvent se dire, je fais ce que j'aime, je danse encore et encore. Je ne suis plus si chaudement habillé, quelques fringues jonchent mon podium alors que je virevolte. La musique prend fin et je soupire, insatisfaite que la danse se termine mais heureuse de m'éloigner du pervers de la numéro 3. Je sors de scène, faisant claquer mes talons aiguilles et gardant le masque jusqu'à ma loge que je partage avec une autre artiste ; je préfère ça que d'autres noms vulgaires. Je pénètre alors dans la loge et dévoile mon visage en m'apercevant que mon amie, ma professeur dans la vraie vie ne semble pas bien et surtout loin de pouvoir courir rejoindre la scène, c'est pourtant son tour ! J'ouvre la porte et cris à une des suivantes qui passent, d'y aller sachant que grace à cela, Lori ne prendra aucun reproche par le patron et je m'assoie auprès d'elle devant les glaces où l'on se prépare. Qu'est-ce qui ne va pas ...vous enfin merde tu te sens mal ? avais-je d'abord inquiète puis rigolant lègèrement à cause du vouvoiement habituellement dédié à mes cours.
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En finissant ta journée de boulot à Harvard, tu te rendis chez toi pour te doucher et te préparer pour ton deuxième travail. Pour la première fois de ta vie - ou du moins depuis que tu es dans ce monde plutôt obscure - tu n'avais vraiment pas envie d'y aller. Vraiment pas. C'était la première fois que tu retournerais au Nirvana depuis ton agression. Tu avais pu prendre une semaine de congé, faisant croire que tu étais malade alors que ce n'était pas le cas, mais là tu ne pouvais plus repousser ou alors le patron te retirerait du show. Tu devais y aller. Mais tu ne voulais pas. Tu t'y rendis quand même, à reculons. Une fois dans la loge, tu te changeas et attendis donc tour en te regardant dans la glace. Le fond de teint avait plutôt bien marché sur ton œil encore bleuté... Il n'y avait que l'ecchymose sur tes côtes qui paraissait encore un peu... Tu faisais tes dernières retouches à ton maquillage lorsque Ofelia entra dans la loge. Tu ne lui adressas même pas la parole, perdu dans tes pensées. Tu l'entendis toutefois demander à la prochaine de passer avant toi. Sage décision. « Qu'est-ce qui ne va pas ...vous enfin merde tu te sens mal ? » Tu relevas les yeux vers elle, elle était alors si près de toi. Bon Dieu que tu n'aimais pas passer pour la faible. Ce n'est pas toi. Ce n'est pas qui tu es ! « Je... je n'ai pas vraiment le moral pour ça, ce soir. » dis-tu simplement avant de t'accouder, posant ton menton dans tes mains, t'observant dans le miroir. Ce reflet, ce n'était pas toi...
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Si j'étais vu, souvent, comme une dingue, folle, salope étrange, pute hautaine, les gens ne voyaient que rarement le fait que j'étais sensible, aimante et que je détestais voir le monde, les gens mal ; la seule chose le prouvant était que j'avais intégré y a trois ans les quincy mais soyons honnête, ça me saoulait maintenant d’être dans une catégorie donc j'avais bien sali l'image comme il fallait. Ainsi, c'était tout à fait normal de me voir ne pas ignorer la détresse de ma camarade de danse, de travail en somme. Je m'approchais d'elle, attentionnée et demanda ce qu'elle avait. Elle ne mit pas plus de temps à daigner lever le regard et s'accouder contre la coiffeuse, s'admirant ou plutôt regardant avec dégout son reflet ; je n'aimais pas ça, je n'aimais pas ce regard, ce dégout ou ce désespoir que je lisais dans la lueur de ces yeux. Je passais alors ma main sous son menton pour qu'elle se tourne vers moi, qu'elle me regarde et j'essuyais de mon pouce ses joues comme si j'apercevais des larmes discrètes, affectueusement. Je souriais ensuite, l'admirant avant de dire ; parle-moi... une voix doucereuse, rassurante, presque hypnotisante dans ma façon de faire. Une aussi belle femme n'a pas le droit de se regarder avec tant de dégout dans le regard et de désespoir... Je souriais, un sourire qui se voulait joyeux et en coin, presque malicieux.
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Qu'est-ce qui te prenait ? Tu n'es pas comme ça, Lauren Joseph-Duquette. Tu n'es pas ainsi faible, tu ne te laisses pas déstabiliser par ce genre de chose ! Tu ne te reconnaissais même plus. Comment pouvais-tu te sentir si mal après une agression et n'avoir eu aucune difficulté à te remettre d'un divorce si difficile ? Il t'avait humilié, lui aussi. Pourquoi là était-ce si différent ? Peut-être parce que c'était un inconnu et qu'il n'avait eu aucun droit de t'approcher, de te prendre par le bras, de te tirer vers lui, de t'obliger à faire ce qu'il voulait que tu fasses. Peut-être parce que même si ton ex-mari a agit comme une merde, il ne t'a jamais gratuitement insulté, ni battu et encore moins violé. Là était toute la différence. Ce client mécontent t'avait sali. Il t'avait complètement détruite. Tu n'osais même plus t'admirer dans la glace tellement tu te dégoûtais. Est-ce que c'était de ta faute ? Est-ce que c'est toi qui renvoyait cette image aux hommes ? Que tu pouvais être violer à tout va, par qui le veux ? Tu en oublias presque la présence d'Ofelia, ce n'est que lorsque tu sentis sa main sous ton menton que tu compris que tu n'étais plus seule. « Parle-moi... » dit-elle. Tu soupires doucement, encore incertaine à savoir si tu devais - si tu pouvais - parler de cet incident avec tes collègues de travail. Tu étais indépendante là-dedans. Tu n'avais pas d'agent, tu n'avais pas d'avocat, ni de « garde du corps ». Personne ne pouvait rien pour toi. Du moins, c'est ce que tu croyais. « Une aussi belle femme n'a pas le droit de se regarder avec tant de dégout dans le regard et de désespoir... » Tu baissas les yeux avant de te défaire de son emprise. Tu fouillas sur la coiffeuse pour trouver un coton et ton démaquillant. Puisque les mots ne sont parfois pas suffisant, tu commenças à te démaquiller les yeux, laissant alors apparaître l’ecchymose encore bien présent. Tu te sentais encore plus humilié devant ton amie, mais tu savais que tant que tu ne lui dirais pas, elle ne lâcherait pas l'affaire... Tu levas les yeux vers elle, les larmes coulant le long de tes joues. « J'ai plus envie d'être une femme. » dis-tu d'un souffle court, ne pensant qu'à moitié ce que tu venais de dire. Tu ne savais pas comment l'exprimer autrement, mais cette phrase résumait assez bien ton état d'âme actuel. ~
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Je n'ai jamais apprécié voir les gens mal. Jamais. J'aime les sourires, les rires à en pleurer mais les pleures, la tristesse et les malheurs non merci. Si aux premiers abord, je ressemble à une pute hautaine, une manipulatrice, je sais qu'au fond, ils se trompent tous ! J'ai pleins de défauts mais pas ça. Soucieuse de l'état de ma belle camarade, je viens m'occuper d'elle et montrer ma préoccupation mais d'abord, elle semble ne pas vouloir le comprendre ni accepter mon aide mais je suis têtue comme ma ... meilleure enfin non ma jumelle, Asia. Je suis alors bien plus heureuse quand elle ose enfin me regarder de son regard si expressif, beau habituellement devenu bien trop noir mon gout si bien que je grimace et perd tout sourire rassurant, devenant plus fermée et neutre. Je plisse les lèvres graves alors qu'elle m'annonce ne plus vouloir etre une femme et là, ça fait cinquante tours dans mon esprit. Je cherche une signification et je ne sais pas si c'est la fatigue, mais je sors directement sans vraiment rire en fait ; Fais toi opérer alors ... Je suis sure de mes propos et montre mon engagement dans son envie pour qu'elle voit que je ne suis pas choquée mais en parlant, je me rend compte de ma simplicité et me demande si je suis pas conne alors je reprend en grimaçant ; tu parlais bien de ça ? Dis-je en mettant mon doigt sur mon menton, pensive.
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« Fais toi opérer alors ... » Sa phrase te vint au coeur comme un poignard. Comment pouvait-elle être si idiote ? Tu soupiras longuement avant de détourner le regard, une fois de plus. Tu observais les larmes qui coulaient le long de tes joues, puis ta peau encore bleuté. « Tu parlais bien de ça ? » Tu dus te mordre le dedans des joues pour ne pas la frapper au visage. Comment pouvait-elle être aussi stupide ? Tu te levas d'un bond, fit quelques pas dans la loge, croisant les bras contre ta poitrine. Tu cherchais comment lui dire, comment lui faire comprendre ce qui t'était arrivé et pourtant, là tu voyais en rouge. Elle avait le don de transformer une situation si triste en vrai cauchemar. Elle empirait les choses et pourtant, sa présence te faisait du bien : tant que tu n'étais plus seule. « Fait attention à toi, ma petite ! » dis-tu en lui faisant à nouveau face, les joues en feu, le regard enragé. Tu fis quelques pas vers elle. « Tu te crois invisible, tu te crois intouchable. Tu penses que le monde t'appartient, que t'es la reine et que tu vaux mieux que tout le monde ! Ton attitude de miss parfaite fait bien chier ! Attends qu'un jour on te prenne par le bras, qu'on t'amène dans un coin sombre et qu'on t'humilie, te vole ce que tu as de plus précieux en dedans de toi ! Tu comprendrais peut-être mieux pourquoi j'ai plus envie d'être une femme ! » hurlas-tu avant de retourner t'asseoir près d'elle. Tu pris deux bonnes respirations avant de poursuivre. « On croit que ça n'arrive qu'aux autres, on croit qu'on n'est pas une cible, mais au fond on en est tous une. » tu te retournas pour la regarder. « Je me suis fait battre et violer, Ofelia. » le dire comme ça rendait la chose bien plus vrai, si bien que ça te pinça le coeur d'une façon assez féroce. ~
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Je reste sur le cul de sa révélation et je dois pas être bien perspicace au vue de sa réaction. Je vois qu'elle perd le contrôle, je le vois à la lueur de ses yeux changeantes comme si elle s’apprêtait déjà à me tuer et je ne sais quoi faire pour la calmer parce que je n'ai rien fait de mal, j'ai essayé de comprendre et sa phrase porte à confusion quoi. Lori se leva et je comprenais clairement que je l'avais mise en rogne. Elle marchait dans la pièce comme un lion en cage et quand elle revenait vers moi, j'eus presque peur qu'elle puisse me frapper dans son énervement, cette espèce de captivité. Je restais muette alors qu'elle me menaçait, certes, pas si violemment que ça mais tout de âme bien méchante alors que moi, j'étais venue l'aider. Je me sentais offusquée et j'eus un effet de recul, comme un réflexe. Je ne comprenais pas du tout surtout qu'elle poursuivait son monologue, furax, expliquant que j'étais à coté de la plaque et peu à peu, ça se démêlait dans mon esprit : les idées fusaient sur ce qui la poussait à dire cela, cette phrase incongrue mais toujours, je restais silencieuse, lui tournant à présent le dos pour vaincre ma peur de ce que ça pouvait me faire, me provoquer et me rappeler ; l'enfance. Quand elle se posa seulement, je fis volte-face et on se retrouva nez-à-nez quand elle m'expliqua ce qu'il s'était passé mais je ne fis pas un pas en avant, rien. Je la regardais d'abord, peinée, meurtrie. Je mis une main sur mes lèvres prouvant l'effroi que la nouvelle me procurait puis sans réfléchir, je venais caresser doucement sa joue : je suis désolé d'avoir demandé ça ... mais je ne me crois pas parfaite, j'essayais juste de comprendre... Je suis désolé pour ce qu'on t'a fait ! Je passais mes bras autour de son cou et la tirait vers moi pour lui faire un accolade très forte comme pour la réconforter. Ensuite, je plongeais mon regard dans le sien : Tu ne dois pas vouloir changer ce que tu es à cause de ce qu'on t'a fait ... tu n'y peux rien, tu n'as rien fait de mal et tu es quelqu'un de bien a qui on a fait du mal ... comme tu le dis ça arrive a tout le monde mais on doit se relever avec l'amour de notre entourage ! Je tentais un sourire discret.
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Ofelia avait tenté d'être gentille, d'être réconfortante, mais ça t'avait énervé. Tu perdis rapidement le fil de tes paroles, si bien qu'à la fin, tu ne pensais plus réellement ce que tu disais. Tu laissais l'émotion parler et ça, c'est sûrement la pire chose à faire dans ce genre de situation. Lorsque l'adrénaline retomba, tu repris place face à la jeune femme, et tu déballas la vraie raison de ton mal-être : ton agression. Comment pouvais-tu, après un tel évènement, faire comme si de rien était et redevenir la femme forte et aguicheuse que tu étais jadis sans avoir peur qu'un autre homme te prenne au sérieux et s'en prenne à toi ? À cette idée, tes yeux se remplirent d'eau. Était-ce ta faute ? Était-ce l'image que tu renvoyais ? Ton amie posa sa main sur ta joue et une larme coula. « Je suis désolé d'avoir demandé ça ... mais je ne me crois pas parfaite, j'essayais juste de comprendre... Je suis désolé pour ce qu'on t'a fait ! » Tu soupiras avant de secouer doucement ta tête. Tu savais qu'elle n'avait voulu qu'aider, tu ne pensais pas du tout ce que tu venais de lui dire. « Je suis désolée pour ce que je t'ai dit. » dis-tu d'une voix faible, presque inaudible, teinté de tristesse. Ofée te fit alors une grande étreinte et ça te fit le plus grand bien. « Tu ne dois pas vouloir changer ce que tu es à cause de ce qu'on t'a fait ... tu n'y peux rien, tu n'as rien fait de mal et tu es quelqu'un de bien a qui on a fait du mal ... comme tu le dis ça arrive a tout le monde mais on doit se relever avec l'amour de notre entourage ! » Tu reniflas avant d'essuyer tes larmes du revers de la main. « Tu veux bien m'en donner, de l'amour ? Si tu savais comment je me sens seule ! » dis-tu doucement, encore avec cette voix pleine d'émotions. Tu posas machinalement ta main contre sa cuisse, le regard bien ancré dans le sien. ~
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