C'est le vingt-huit décembre 1991 à Cape Town, Afrique du Sud, que les membres de la famille Debussy-Walsh m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Flynn Alexander. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale moyenne. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de journalisme en majeure et de psychologie en mineure depuis quatre ans et travaille en parallèle de mes études en tant que réceptionniste dans un grand hôtel le weekend et quelques nuits en semaine. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Quincy ou les Dunster.
Les Quincy représentent ce que ma mère m’a toujours appris. J’ai été éduqué comme ça, et je veux poursuivre comme ça. Ce n’est pas demain la veille que je changerai. Nous avions nous-même eu beaucoup de mal à traverser certaines étapes dans notre famille et on ne se serait pas sorti de là sans la générosité et l’altruisme de certaine personnes. Aujourd’hui, il m’est tout naturel d’en faire de même, et que ces personnes portent secours à d’autre dans le besoin. C’est comme ça que le monde devrait fonctionner.
DUNSTER.
On m’a toujours dit plus jeune que j’avais un bel avenir devant moi si je maintenais de tels résultats. Ça pouvait être des corvées pour certain, mais en grand curieux de la vie comme je suis, c’est toujours une aubaine d’en savoir plus, et de viser toujours plus haut. Mes proches comptent sur moi pour réussir et les représenter entre autres, ceux qui n’ont pas eu la chance de faire de grandes études. Je ne voudrai surtout pas ressortir d’ici sans avoir obtenu quoique ce soit de concret. Et honnêtement, les Dunsters sont certainement les mieux placer pour me tirer vers le sommet.
Ce qu’il s’est passé ce jour-là n’est censé arriver que dans un bon film d’action. Je pense que jamais je n’aurai imaginé qu’une chose pareille puisse se produire à Harvard. Mis à part les mésententes de quelques maisons plus ou moins explosives, ça va, c’est pas trop la foire non plus. Enfin ça, c’était jusqu’à ce que je me retrouve projeter contre le mur du bâtiment voisin avec bien d’autre. Pas assez conscient pour se protéger des débris de pierres et de verres qui nous fendent la chair. C’était assurément la pire journée de ma vie. Celle où je n’existais plus. Je me suis retrouvé face à d’autres étudiants étendus un peu partout sur le sol sans savoir s’ils étaient en vie ou non. Peur, incompréhension et frustration mélangées, j’avais eu envie de me barrer et sauver ma peau, mais je pouvais à peine bouger, complètement déconnecté du monde réel. Une bonne gifle d’une inconnue, puis je me suis relevé pour l’aider à évacuer les autres, ce que je savais faire de mieux au final ...
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
Je travaillais à la réception ce jour là et je n'ai appris la nouvelle prise d'otage que lorsque des personnes sont venues se réfugier dans l’hôtel. J'avais le cœur serré, je ne pouvais pas m'empêcher de penser à ma sœur, mes amis, mes proches, priant tous les dieux pour qu'ils n'aient rien et il n'y avait rien de plus frustrant que ça. Attendre sans savoir.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle poetically pathetic et j'ai vingt-et-un ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à bazzart. Le forum respire la joie et la bonne humeur alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Chris Wood comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Quiet Riot. Je fais environ 400 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration (?)