C'est le 02 Octobre 1994 en France, Paris, que les membres de la famille Donnam m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Gabriel. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale ouvrière. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Chant & Basket depuis trois ans et travaille en parallèle de mes études en tant que livreur de pizza. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Lowell House ou les Winthrop House.
Sentir le bout irritant du micro sur ses lèvres, tenir entre ses mains un instrument des plus simples et pourtant si complexes. Sentir les vibrations des cordes claquer sur le médiator et faire frissonner les poils hérissés sur la peau de son utilisateur. Voilà la si belle sensation que je ressens quand je dépose ma présence sur scène. Je me sens comme transporter sur un nuage électrique. Ma passion, mon talent m'envahit pour faire ressortir des sons à travers mes lèvres. C'est complexe mais si simple à la fois. C'est vrai, la Lowell ne peut que me faire pencher vers elle. Mon côté artistique penche sur un avenir plus commun. Mon grand-père m'a toujours dit que la voix que j'avais était innée, que j'avais été choisit pour la porter. Il exagérait sans doute, je n'ai jamais tant porté d'intérêt au chant il y a quelques années. Mais j'ai appris à la maîtriser et je faisais principalement ça pour mon propre plaisir. Puis, l'idée de la gratte m'a toujours trotté en tête. Et allier les deux était une judicieuse symbiose. J'aime le spectacle que je peux offrir. J'aime l'art que le chant et le talent de la guitare apportent.
Cette fois, c'est le bruit du ballon frappant un parquet fait de lames de bois teintés par des bandes de couleur. Deux paniers en face l'un de l'autre où entre les deux, dix joueurs s'affrontent sans relâche. La sueur de ses joueurs, la puissance dans leurs membres quand le ballon cogne contre le sol, quand leurs corps volent en l'air pour enfoncer cet objet dans un filet blanc. C'est ça le basket ! Un sport d'équipe, un vrai. C'est ma deuxième passion, d'ailleurs, je ne peux choisir laquelle des deux je préfère. La journée, je suis un basketteur et la nuit un show-man. Ma vitesse dans mes jambes me permet d'être au poste de meneur. Je ne suis pas plus grand que certains qui me dépassent d'au moins deux têtes, mais ma vitesse et ma détente font de moi un grand joueur. Enfin, d'après mon entraîneur, cette fois-ci.
J'adore cette confrérie et l'avenir artistique qu'elle peut m'apporter. Alors ne me demandez pas pour ai-je fait ce choix. Car il est tout naturel.
Winthrop House
Du haut de mon balcon, je pouvais voir au loin les hauts bâtiments remplis de bureaux et de personnes travaillant à mille à l'heure. Leurs vies étaient aussi calculées qu'une horloge. C'était un rouage qui commandait leurs moindres instants. Mais ils avaient un habillement que certains portaient extrêmement bien. Proche de chez moi vivait un homme d'une allure athlétique. Il portait habituellement une tenue que je nommais "cravate-chemise". Il avait toujours une allure classe et une marche assurée. C'était un homme fabuleusement sûr de lui et de ses capacités. Chaque matin et chaque soir, du haut de mon balcon, je scrutais quand il partait et qu'il rentrait chez lui. Bizarrement, quand j'étais petit, je ne comprenais pas ce que voulait dire la "classe à la Française". Mais en le voyant, je me disais que c'était la définition de cette phrase. Je ne cessais d'admirer l'allure de ces hommes qui portaient la cravate comme une deuxième peau. Et sans me vanter, j'avais la cote au niveau des filles. Et c'est tout naturellement que cette confrérie m'a aussi été inspirée lorsque je devais faire un choix en entrant à Harvard. C'était plutôt une idée qui n'était pas fixe, car je ne savais pas si j'avais l'allure pour porter des tenues aussi classe et tout naturellement. Mais je pouvais m'identifier à eux, m'adapter.
Ce jour-là, j'étais comme aveugle. Je vais vous expliquer pourquoi. Lorsque le temps était arrêté dans tout Harvard, j'étais comme amusé par une partie de basket avec deux, trois amis de mon équipe. Nos cris, nos essoufflements et le bruit du ballon étaient si forts qu'on ne pouvait entendre ce qui se passait à l'extérieur du complexe sportif. C'était bizarre, mais l'homme qui avait fait ça n'était pas ici, à vrai dire, pourquoi était-il dans un endroit où il n'y avait quasiment personne à part quelques sportifs. Il voulait frapper fort et se faire entendre. Les portes autour du terrain de basket étaient fermées, nous étions en petit comité et nous devions nous préparer au match à venir. Nous étions si bêtes de ne pas avoir vu ça. Mais un peu chanceux aussi, d'un côté. Lorsque les explosions retentirent, nous étions si stupéfaits que nous ne comprenions pas au début quelle était la cause de ces bruits si puissants. Lorsque les bombes terminèrent de faire des ravages, nous sortions en trombes pour voir la cause de ce tonnerre. J'étais sorti le dernier et j'aurais préféré rester à l'intérieur. À l'extérieur, le temps était comme figé. Les bâtiments n'étaient plus debout, une poussière dense et omniprésente piquait les yeux, les cris suivaient les larmes d'innombrables personnes. Les sons des sirènes de la police, des pompiers, voyageaient proche de nos oreilles. Nous n'avions toujours pas compris ce qui s'était passé. Et c'était après cette scène d'horreur, lorsque les infos faisaient passer cette histoire morbide, que nous comprenions que nous étions spectateurs de cet acte. Des spectateurs aveugles. Ou des chanceux inconscients.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
Ne me parlez pas non plus de ça. C'était aussi le deuxième événement majeur dont je n'étais pas présent. Je me sentais comme exclu, mais je me sentais aussi tellement chanceux. Tous mes proches disaient que j'avais un trèfle feuille coincé entre mon cœur et mes poumons. Comment pouvais-je esquiver tant d'événements aussi horribles ? J'étais en France à ce moment-là. J'étais parti pour rejoindre ma famille Française en plein milieu des cours. J'avais décidé de me libérer un peu de la pression Américaine et de revenir à la source de mon existence. Dans une maison de campagne de mes grands-parents, j'avais pris des cours par correspondance afin de garder un équilibre. Mais c'était en voyant aux informations Françaises l'existence de cette prise d'otages que je pensais à l'histoire de la bombe. J'avais échappé à ces deux actes horribles. Mais je ne pouvais faire partir le sentiment de souffrance. Pas pour moi, mais pour les autres, qui vivent ces événements. Je ne pouvais que penser à eux. Eux, qui n'avaient pas la même chance que moi.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Puale et j'ai quelques bonnes années à mon actif. Je suis Franco-Américain et j'ai connu le forum grâce à mon petit doigts. J'ai remarqué les couleurs flamboyantes et l'idée fabuleuse de ce forum alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Luke Hemmings comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par plusieurs sites. Je fais environ largement plusieurs centaines de mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? Comme dirait Chewbacca : Aaaaaaarh Uuuurh Raaaaah
Je souhaite ?
adhérer un flood d'intégration (?)