You're like a drug that's killing me (feat. Emma)

Emma & Umberto
You're like a drug that's killing me

mise en page par .Stay Away

Emma allait quand même pas réussir à l'embarquer dans cette folie ? Bon, au pire Berto pouvait l'aider à choper un carton puis après il l'a laisserait se démerder. Comme ça, sa part de responsabilité était limitée. Puis, sans lui elle aurait déjà plongé dans l'eau des crocos. Du coup, il avait déjà fait sa bonne action de la journée. La Mather lui prit la carte des mains pour la regarder. "Allons voir! Mais faut pas qu'on se fasse repérer". Il rit légèrement. Mission à la James Bond quoi. Il marche à ses côtés jusqu'au petit bâtiment. La porte est fermée, bien sûr. Par chance, un employé sort et Emma bloque la porte avec son pied. Ils s'y engouffrent finalement. "Bon, on va par où?" Ouai, bonne question. Il regarde autour de lui. "J'en sais rien". C'est pas sur la carte ça. "Essayons par là". Il marche dans le couloir. Une silhouette tourne à l'angle et se dirige alors dans leur direction. "Merde". Il choppe le bras d'Emma et la traîne avec lui dans une autre salle après avoir poussé la porte. Salle très étroite, surement un placard à balai, Mais on voit pas grand chose. Berto se retrouve contre Emma, leurs deux corps quasiment collés et leurs visages à quelques centimètres l'un de l'autre. Il la regarde dans les yeux et se fait silencieux pour éviter d'attirer l'attention.

Maintenant que nous étions dans l'endroit idéal pour chopper des bocaux, das cartons et tout, je commençais à moins m'inquiéter. Je ne savais toujours pas comment j'allais faire pour sortir d'ici en mode yolo alors que je serais en train de traîner des animaux avec moi. Soudain, Umberto m'attrapa par le bras et me tira jusque dans un placard à balai. Mais qu'est-ce qu'il foutait? Je regardais par le petit grillage qui nous permettait de regarder ce qu'il se passait dans le couloir et je remarquais qu'il y avait justement des gens du personnel qui passait. Ouf, on a eu chaud, encore un peu on se faisait coincer. Je regardais le jeune homme qui m'observait avec ce regard qui en disait long. On avait l'habitude de coucher dans des endroits fous, mais ici, c'était trop risqué quand même. Non, pas ici. soufflai-je presque contre ses lèvres alors que j'appuyais ma main sur son torse. Pourtant j'en crevais d'envie, dès que nos corps se trouvaient pratiquement collés, c'était comme une décharge électrique.

(Ottis Heimann)

✧. ❛ love on top. i know nothing's perfect but it's worth it after fighting through my tears and finally you put me first. it's you.