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Leyna ⊹ my body is yours

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Je ne sais pas, j'avais une envie soudaine de voir Leyna. Car mine de rien, elle a toujours été là pour moi lorsque je passais des périodes difficiles. Elle était là après ma rupture avec Apple et c'était une évidence qu'elle soit aussi là maintenant, puisque Leevy ne voulait plus de moi. J'avais tellement merdé mais c'était juste impossible de recoller les morceaux, je ne savais même pas si j'en avais envie. Je pensais pas à ça, elle était mieux sans moi de toute façon et au moins je pouvais retrouver mes vieilles conquêtes comme Leyna. Quelques sms et hop elle débarquait, comme à chaque fois pratiquement. On savait très bien ce qu'on allait faire et c'était naturel entre nous, on oubliait nos soucis par le sexe. Et quel coup mon dieu! Je savais que la dunster était la favorite de Marshall, mais j'en avais franchement rien à foutre, de toute façon il s'intéressait à Apple donc il n'avait rien à dire. Lorsque j'entendis frapper à ma porte, je me levais et je retirais mon t-shirt en mode beau gosse. Quoi de mieux pour accueillir Leyna comme ça? Tu peux entrer et verrouille la porte. l'appelai-je avec une voix enjouée. Lorsqu'elle débarqua dans ma chambre, je pouvais pas m'empêcher de faire un sourire jusqu'aux oreilles. Je m'avançais vers elle pour la prendre dans mes bras et la soulever. Oui un peu de tendresse avant tout, ça comptait. C'est dingue comme tu m'as manqué. même son petit parfum fruité était agréable de le retrouver.
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Je n'avais jamais su refuser quoi que ce soit à Royce... Pourquoi aurais-je eu à le faire de toute manière ? J'étais libre comme l'air, et j'avais cru comprendre qu'il s'agissait aussi de sa situation actuelle. Certes j'adorais Leevy, je ne voulais pas la blesser, mais avant tout j'étais une éternelle égoïste qui avait vu une belle opportunité de passer du bon temps avec un proche ami. Il ne s'agissait pas que d'un coup d'un soir, c'était notre façon particulière de nous consoler et d'oublier nos problèmes sans forcément avoir à nous confier pendant des heures. Alors ouais quand il avait dit vouloir me voir je connaissais le but et j'étais pleinement consentante, pas besoin de davantage de blabla pour me rendre à la maison Winthrop. Allais-je y croiser un visage connu ? Peut-être, et je n'en avais strictement rien à cirer. La seule chose qui m'importait c'était la petite robe sexy que j'avais mise pour faire plaisir au président rouge. C'était sa préférée, rien de moins. J'avais sincèrement envie de lui faire plaisir allez savoir pourquoi. Je ne pris pas davantage de temps pour me diriger directement vers sa chambre dont je connaissais toujours l'emplacement par coeur. Rien n'avais changer ici depuis ma dernière visite. Il m'invita alors directement à pénétrer son antre et verrouiller la porte et je m'exécutai tout en souriant. Putain ce qu'il était beau... Cela faisait tellement longtemps que je ne l'avais pas vu avec un regard aussi désireux que j'avais oublié son corps. « Toi aussi... Tu es tellement beau... » J'en étais obnubilée. Comme si je le découvrais pour la première fois. Je vins déposer un tendre baiser à l'endroit qui croise à la fois sa joue et le début de son oreille. Il ne faut pas oublier les politesses.
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Cela me faisait plaisir de la revoir après tout ce temps. Certes je la voyais de temps en temps sans pour autant lui taper la causette pendant une heure. Là on avait vraiment du temps à rattraper. Huit mois de relations avec mon ex cela faisait huit mois que je n'avais plus touché son corps. Elle était parfaite, je comprenais pourquoi Marshall l'a voulait que pour elle. Mais pas ce soir, il n'était pas là et c'était moi qui avait besoin de ma petite Leyna chérie. Je souriais en coin lorsqu'elle me complimenta. Au moins une femme qui n'avait pas peur de dire ce qu'elle pense. C'est vrai quoi, quand on se fait larguer, souvent on a l'impression de ne plus plaire à personne. Son baiser sur ma joue me fait légèrement frissonner. Elle devait se douter que je n'étais plus avec Leevy, sinon je n'aurais jamais osé lui demander de venir, à la base j'étais un mec fidèle. Maintenant, j'étais libre comme l'air. Et toi tu es sexy comme toujours. dis-je en baladant mes mains sur son corps, cherchant à lui retirer le tissu qui couvrait certainement ma nuisette préférée comme elle l'avait dit. Je plongeai mon regard dans le sien. J'ai tellement de choses à te dire, mais là tout de suite, j'ai autre chose en tête. soufflai-je au creux de son cou. Je venais y déposer mes lèvres en chassant quelques mèches de ses cheveux pour me dégager le passage.
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Il m'avait manquer. Bien que je le croisais de temps en temps, tout ça était tellement superficiel quand on savait à quel point nous avions été proches lui et moi. Le truc, c'est que je n'osais pas m'en approcher alors qu'il était avec Leevy, pas dans l'état d'esprit où j'étais présentement. Je me connaissais beaucoup trop bien et je savais que je ne saurais me contrôler. Il n'avait pas besoin de ça, je voulais qu'il soit heureux alors le mieux était encore que je me tienne loin. Et même si nous ne nous en étions pas parler je savais qu'au fond de lui il savait pourquoi j'étais si invisible. Alors si aujourd'hui il m'avait envoyé ce message, c'est parce que lui aussi avait envie et besoin d'un peu de nous. C'était bon de le retrouver, comme un bain bain chaud après une froide journée passée à l'extérieur. Je vins alors poser mes lèvres près de son oreille, sentant ses mains prendre contrôle de mon petit corps si frêle et brisé. Moi non plus je ne voulais pas parler. Nous n'avions pas besoin de parler pour nous comprendre en fait, nos actions parlaient pour elles-même. « Je suis tienne Royce. » Oui, mon corps entier lui appartenait tant et aussi longtemps qu'il voudrait bien en prendre soin. Il était spécial pour moi. En général lorsque je couchais avec quelqu'un c'était simplement pour oublier, pour m'amuser. Avec lui c'était plus que ça. Ce n'était pas seulement qu'un acte physique, il avait une certaine façon de me faire sentir mieux. Je frissonnai de plaisir lorsqu'il déposa ses lèvres sur la peau de mon coup, il le faisait tellement bien, si délicatement. Mes mains vinrent se poser d'abord sur son torse avant de chuter doucement le long de ses bras puis terminer leur chemin en s’enlaçant autour de sa taille. J'avais besoin de caresser son corps pour m'en imprégner de nouveau, ça faisait si longtempsé
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J'embrassais délicatement son cou pour réveiller un peu de douceur et de chaleur, histoire que la température monte petit à petit. Mes doigts glissèrent le long de son dos et s’arrêtèrent sur ses fesses pour les caresser d'un geste lent. C'était comme ça, pour la retrouver je devais toucher chaque partie de son corps en prenant du temps et je savais bien qu'elle aimait ça. Lorsque Leyna me disait qu'elle était mienne en guise de feu vert, une pulsion réveilla mes ardeurs et je passais mes lèvres de son cou à ses lèvres. Elle aussi était toute petite et faut croire que ça avait son charme puisque j'aimais ça. Je la portais de nouveau pour qu'elle passe ses jambes sur mes hanches et que nos corps puissent se coller. Je l'embrassais langoureusement en venant mordiller sa lèvre inférieure, plus chaud que jamais. Je la désirais tellement c'était un truc de fou. Je nous revoyais dans le passé lorsqu'on passait des heures à s'amuser et à se prendre des fous rires dans le lit. Ouais, j'avais clairement l'impression de retrouver ma Leyna, la seule et l'unique. Couche-toi sur le lit et ne bouge pas. lui expliquai-je alors que je la relâche. Je m'absentais deux minutes le temps d'aller chercher les fraises et la chantilly. Oui j'avais été très sérieux. Je retournais dans la chambre et je la regardais qui retirait sa couché supérieure pour n'être plus qu'en petite tenue sexy. Là c'était clair et net, j'avais chaud dans le pantalon. J'espère que tu as faim. moi oui en tout cas, je pourrais la manger toute crue. Je venais la rejoindre dans le lit en mettant la nourriture sur la table de chevet et je venais lui donner une fraise bien juteuse contre ses lèvres. La soirée promettait d'être cool, croyez-moi.
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Dire que dans un premier temps j'avais eu peur que ce soit... étrange. Froid. Ça faisait longtemps que nous n'avions pas passer de temps tous les deux et il s'était passé tellement de choses que j'avais eu pendant un instant un petit doute. Doute qui s'était envolé à la seconde où mes yeux s'étaient posés sur lui. Au fond la passion entre nous ne disparaîtrait jamais complètement, nous arrivions à la mettre au placard pour le bien de nos relations respectives, mais elle revenait toujours à la seconde où nous le désirions. C'était bien clair pour moi maintenant que nos corps étaient plus près qu'ils ne l'avaient été dans la dernière année. Lorsque ses lèvres se posèrent sur les miennes mon coeur se mit à battre la chamade, cet instant était parfait. C'était probablement ce qui était le plus près de faire l'amour à quelqu'un sans que ce ne soit véritablement le cas. J’entremêlai ma langue à la sienne un léger instant, une petite valse rapide et langoureuse, mes jambes quant à elle avait pris place autour de son corps jusqu'à ce qu'il m'ordonne de l'attendre sur le lit. J'aimais étrangement qu'il soit aussi directif. Je n'étais pas une soumise, ça jamais, mais je restais une femme qui aimait faire plaisir à son homme. Pendant les quelques minutes où j'étais seule, j'en profitai pour retirer mes habits, exception des sous-vêtements. Je lui avais tout de même promis le droit de pouvoir m'arracher sauvagement certains tissus sur moi. Je m'installai donc gentiment sur le lit, ramenant mes genou vers le haut comme pour camoufler ma poitrine. Pas que je sois timide de mon corps, loin de là. C'est alors qu'il revint avec la chantilly et les fraises, chose promise chose due. Un grand sourire s'installa sur mon visage, cette soirée était parfaite, vraiment. J'attendis néanmoins qu'il m'est rejoint pour répondre à sa question, je voulais pouvoir approcher mes lèvres de son oreille jusqu'à les coller contre cette dernière en soufflant ; « J'ai une faim de loup. » Dans tous les sens du terme. J'avais faim de nourriture mais principalement de lui, de son corps, de cette nuit endiablée. Je ramenai finalement ma bouche près de sa main qui tenais une douce et délicate petite fraise. Je posai d'abord mes lèvres sur ses doigts pour les lécher tout doucement, puis mes dents s'emparèrent d'une moitié du fruit de la passion.
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Je l'embrassais comme si ça faisait des années que je ne l'avais plus fait. Je savourais ses lèvres pulpeuses, ses caresses, ses bras autour de ma taille. Cela me faisait tellement de bien d'être de nouveau enlacé par une fille, de savoir qu'on m'appréciait encore pour ce que j'étais devenu. Si Leyna était au courant de ce qu'il s'était passé, j'étais pas certain qu'elle puisse coucher avec moi. J'ai clairement été dégueulasse avec Leevy, y'avait pas de mots pour décrire ça. Tant pis, on en parlera après, maintenant on profitait. J'avais l'impression d'être dans un rêve éveillé, c'était dingue comme je me sentais bien. Une fois de retour avec les ingrédients, je m'étais mise sur Leyna sans pour autant l'écraser. La petite place qu'elle me faisait entre ses cuisses était parfaite. Je souriais en la regardant avec mes yeux pleins d'envie lorsqu'elle léchait mes doigts. Quelle coquine quand même, mais quel homme ne pouvait pas aimer ça? Elle mordit dans le fruit et je mangeais le reste, toujours en train de s'échanger des regards de fou. J'avais envie de jouer un peu là. Je passais mes mains sur sa poitrine soutenue d'un petit ensemble en dentelle. Ma préférée oui. Son ventre était découvert et je venais déposer un baiser au niveau de son nombril. Oh j'ai une idée! Je prenais la chantilly et avant d'en mettre sur son ventre, je la regardais en souriant de plus belles. Attention, ça risque d'être froid. surtout que sa peau était chaude, le contraste risquait d'être intéressant. Après l'avoir  recouvert de chantilly, je venais passer mon index pour en mettre sur mon doigt et je tendis celui-ci à Leyna pour qu'elle goûte la chantilly. Les femmes d'abord, j'ai fais pareil avec la fraise. Elle est bonne? on sait jamais si elle était périmée ou pas, j'ai pas regardé mais normalement c'est bon. Je reculais de façon à ce que je puisse venir lécher la crème sur son ventre. Oui ça va elle était bonne haha. Je donnais quelques coups de langue par-ci par-là et il fallait mieux ne pas être chatouilleux. Une fois terminé, je levais ma tête vers elle et je me rendais compte que j'avais de la chantilly sur le nez.
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