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Aurel O. Rockefeller
C'est le 31 décembre 1995 à New-York, que les membres de la famille Rockefeller m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Aurel Orion. Je suis Célibataire, mais amoureux et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis héréro et j'en suis fier Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Médecine (majeur) et de psychologie (mineur) depuis trois ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Dunsters ou les Eliots.
Pourquoi Dunsters ou Eliots?
GROUPE 1.
Pourquoi intégrer les Dunsters? Tout simplement parce-que, plus je pèse le pour et le contre, et plus je me dis que je ne pourrais pas être mieux ailleurs que dans cette confrérie. Du haut de mes dix-neuf ans, je suis du genre de ceux qui, lorsqu'ils se fixent un objectif, se donnent à deux cents pour cent les moyens d'arriver à leurs fins. Je n'ai pas non plus peur de passer de longues heures dans les bouquins pour réussir dans les études que j'ai entreprise, d'autant plus qu'elles me tiennent particulièrement à coeur. Mon petit coté perfectionniste fait que j'aime donner le meilleur de moi-même dans ces dernières et dans tout ce que j'entreprends. J'aime apprendre, que ce soit en médecine ou dans d'autres sujets qui m'intéressent. D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours fonctionné de cette façon. Enfant, j'étais curieux de tout, j'aimais apprendre par moi-même en économisant mon argent de poche pour acheter des livres sur des sujets qui me passionnaient. Et pour tout dire, je le suis encore aujourd'hui. Si l'on dit que la curiosité est un vilain défaut, j'aurais tendance à dire que "Qui n'est pas curieux n'apprends rien." Et j'ai une grande soif de savoir. J'ai toujours eu beaucoup de facilités à apprendre, notamment en primaire. Très vite, l'école a commencé à m'ennuyer, je réussissais en un tour de main là où mes camarades mettaient plusieurs minutes, ce qui n'a pas échappé à une de mes institutrices qui a décidé de me faire passer des tests, et c'est là que le verdict est tombé: je suis surdoué. J'ai dès lors sauté une classe et c'est pour cela que je me retrouve en troisième cette année. J'ai un an d'avance sur mes camarades et je dois dire que ça ne m'a jamais vraiment posé de souci, bien au contraire.
GROUPE 2.
Rockefeller... J'ai hérité d'un nom dont la notoriété n'est plus à faire. Mon père est le président de la Rockefeller Foundation qui appartient à ma famille depuis le début du vingtième siècle et ma famille est l'une des plus riches et anciennes familles des USA. J'ai donc grandi dans le luxe, sans manquer de rien, élevé comme mes frères et soeurs par des gouvernantes. Si je n'étais pas le petit dernier, mon avenir aurait été tout tracé, je me serais vu contraint de reprendre les commandes à la suite de mon père, mais même si à l'avenir, je n'aurais pas ces obligations, mon compte en banque m'assure déjà d'être à l'abri du besoin pour le reste de mes jours. Malgré cela, je suis loin d'être du genre hautain, arrogant ou prétentieux, bien au contraire, j'ai les pieds sur Terre et ne me plaint pas du fait de ne pas être l'aîné. A l'inverse, je m' estime d'ailleurs bien heureux de ne pas voir cette responsabilité me pendre au nez comme une épée de Damoclès au dessus de ma tête. Je suis un Rockefeller, et tout comme d'autres avant moi, je sais que je pourrais parfaitement intégrer les Eliots. Mon père y est d'ailleurs allé en son temps et n'a eu de cesse de m'en vanter les mérites, tout comme le plus âgé de mes frères qui marche sur ses traces et l'une de mes soeurs également. J'ai entendu parler des Eliots depuis mon plus jeune âge, mon père m'a raconté de nombreuses anecdotes sur lui et ses amis dans cette confrérie, et il est vrai qu'étant enfant, je rêvais d'y avoir une place à mon tour. A présent que j'ai le choix, j'avoue cependant avoir une énooooooorme préférence pour les Dunsters, mais si j'entre chez les Eliots, ça sera bien aussi.
Pourquoi intégrer les Dunsters? Tout simplement parce-que, plus je pèse le pour et le contre, et plus je me dis que je ne pourrais pas être mieux ailleurs que dans cette confrérie. Du haut de mes dix-neuf ans, je suis du genre de ceux qui, lorsqu'ils se fixent un objectif, se donnent à deux cents pour cent les moyens d'arriver à leurs fins. Je n'ai pas non plus peur de passer de longues heures dans les bouquins pour réussir dans les études que j'ai entreprise, d'autant plus qu'elles me tiennent particulièrement à coeur. Mon petit coté perfectionniste fait que j'aime donner le meilleur de moi-même dans ces dernières et dans tout ce que j'entreprends. J'aime apprendre, que ce soit en médecine ou dans d'autres sujets qui m'intéressent. D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours fonctionné de cette façon. Enfant, j'étais curieux de tout, j'aimais apprendre par moi-même en économisant mon argent de poche pour acheter des livres sur des sujets qui me passionnaient. Et pour tout dire, je le suis encore aujourd'hui. Si l'on dit que la curiosité est un vilain défaut, j'aurais tendance à dire que "Qui n'est pas curieux n'apprends rien." Et j'ai une grande soif de savoir. J'ai toujours eu beaucoup de facilités à apprendre, notamment en primaire. Très vite, l'école a commencé à m'ennuyer, je réussissais en un tour de main là où mes camarades mettaient plusieurs minutes, ce qui n'a pas échappé à une de mes institutrices qui a décidé de me faire passer des tests, et c'est là que le verdict est tombé: je suis surdoué. J'ai dès lors sauté une classe et c'est pour cela que je me retrouve en troisième cette année. J'ai un an d'avance sur mes camarades et je dois dire que ça ne m'a jamais vraiment posé de souci, bien au contraire.
GROUPE 2.
Rockefeller... J'ai hérité d'un nom dont la notoriété n'est plus à faire. Mon père est le président de la Rockefeller Foundation qui appartient à ma famille depuis le début du vingtième siècle et ma famille est l'une des plus riches et anciennes familles des USA. J'ai donc grandi dans le luxe, sans manquer de rien, élevé comme mes frères et soeurs par des gouvernantes. Si je n'étais pas le petit dernier, mon avenir aurait été tout tracé, je me serais vu contraint de reprendre les commandes à la suite de mon père, mais même si à l'avenir, je n'aurais pas ces obligations, mon compte en banque m'assure déjà d'être à l'abri du besoin pour le reste de mes jours. Malgré cela, je suis loin d'être du genre hautain, arrogant ou prétentieux, bien au contraire, j'ai les pieds sur Terre et ne me plaint pas du fait de ne pas être l'aîné. A l'inverse, je m' estime d'ailleurs bien heureux de ne pas voir cette responsabilité me pendre au nez comme une épée de Damoclès au dessus de ma tête. Je suis un Rockefeller, et tout comme d'autres avant moi, je sais que je pourrais parfaitement intégrer les Eliots. Mon père y est d'ailleurs allé en son temps et n'a eu de cesse de m'en vanter les mérites, tout comme le plus âgé de mes frères qui marche sur ses traces et l'une de mes soeurs également. J'ai entendu parler des Eliots depuis mon plus jeune âge, mon père m'a raconté de nombreuses anecdotes sur lui et ses amis dans cette confrérie, et il est vrai qu'étant enfant, je rêvais d'y avoir une place à mon tour. A présent que j'ai le choix, j'avoue cependant avoir une énooooooorme préférence pour les Dunsters, mais si j'entre chez les Eliots, ça sera bien aussi.
Mon personnage c'est le plus beau
APRÈS LA BOMBE
Je me trouvais à la bibliothèque quand le drame a eu lieu. Des bruits d'explosion se sont fait entendre, le sol a tremblé et les vitres ont volés en éclats, beaucoup de personnes ont été blessées, écorchées par des morceaux de verres à ce moment-là. Ce fut d'ailleurs mon cas. Je me souviens avoir entendu pas mal de cris, avoir assisté à de l'affolement, j'ai vu des gens tomber au sol, couverts de sang, glissant sur des morceaux de verres brisés, une autre sous une étagère qui s'était renversée, ne lui laissant pas la moindre chance de s'en sortir. C'était la cohue, l'affolement, les gens toussaient, ayant du mal à respirer à cause de l'odeur qui entrait dans la pièce... Et puis, c'est le trou noir pour moi. Je me suis réveillé à l'hôpital sans comprendre comment j'étais arrivé là. Une infirmière m'a rassuré en me disant que j'avais perdu connaissance, que je ne m'en sortais qu'avec pas mal d'égratignures, mais que ça aurait pu être bien pire. Selon elle, j'avais eu beaucoup de chance. J'en étais conscient. Et je n'avais pu faire autrement que sentir la peur m'envahir à nouveau. Je voulais savoir... Savoir si les personnes auxquelles je tenais à l'université avaient eu autant de chance que moi. Si elles aussi s'en étaient sorties sans trop de dommage. Je ne pouvais concevoir de les perdre de cette façon. Fort heureusement, tout s'est bien terminé également pour mon petit groupe d'amis. C'est à ce moment là que j'ai réalisé avoir eu beaucoup de chance de m'en sortir aussi bien, de n'avoir perdu personne. Peu après ma sortie de l'hôpital, je suis parti deux semaines chez mes parents. J'appréhendais un peu mon retour à Harvard, j'avais besoin de temps, d'être auprès d'eux... Et je dois dire que les revoir m'a fait beaucoup de bien. Je suis en quelque sorte parti pour mieux revenir, même si je n'ai pas encore véritablement tourné la page sur cette histoire.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
Lors des agressions et prises d'otages à Harvard, j'avais la chance de me trouver à New-York, chez le plus agé de mes grands frères pour fêter la première année de mon neveu et également pour passer un peu de temps avec ma filleule agée de trois ans. Avec les études et la distance, je n'ai pas la chance de pouvoir les voir autant que je le voudrais, dès lors, quand l'occasion se présente d'être auprès d'eux, je ne la manque pas. J'étais arrivé à New-York depuis deux jours déjà, histoire de pouvoir passer également du temps avec mes parents et mes autres frères et soeurs avant le grand jour. Un grand jour où nous étions tous réunis, loin de se douter le moins du monde de ce qui se passait à Cambridge. Nous profitions du bonheur d'être ensemble quand mon portable a sonné. Il ne s'agissait ni plus ni moins de mon meilleur ami qui m'avait appelé pour me demander d'allumer de suite la télévision. Le ton de sa voix ne m'avait pas rassuré, je le connaissais assez que pour comprendre de suite que quelque chose d'important était arrivé. Me pliant à sa demande, j'allumais le téléviseur pour constater l'horreur. La journaliste parlait justement des prises d'otages et des agressions commises à Harvard, recommandant aux personnes résidant autour de rester chez elles. Inquiet, j'avais aussitôt envoyé un message à Eä pour prendre de ses nouvelles, et d'autres également à mes amis pour m'assurer qu'ils allaient bien. Je ne pouvais m'empêcher également de ressentir une certaine colère contre tout ce qui se passait autour d' Harvard. D'abord une bombe, puis des agressions et des prises d'otages... La preuve était faite, nous n'étions décidément pas en sécurité, et pourtant, on devrait se sentir à l'aise dans l'université où l'on étudie. L'espace de quelques instants, je me suis demandé si c'était une bonne chose d'y retourner... Et après avoir pesé le pour et le contre, j'ai décidé d'y revenir, après quelques semaines. Après une bombe et ce qui venait de s'y passer, j'ose espérer que le pire est derrière nous.
Je me trouvais à la bibliothèque quand le drame a eu lieu. Des bruits d'explosion se sont fait entendre, le sol a tremblé et les vitres ont volés en éclats, beaucoup de personnes ont été blessées, écorchées par des morceaux de verres à ce moment-là. Ce fut d'ailleurs mon cas. Je me souviens avoir entendu pas mal de cris, avoir assisté à de l'affolement, j'ai vu des gens tomber au sol, couverts de sang, glissant sur des morceaux de verres brisés, une autre sous une étagère qui s'était renversée, ne lui laissant pas la moindre chance de s'en sortir. C'était la cohue, l'affolement, les gens toussaient, ayant du mal à respirer à cause de l'odeur qui entrait dans la pièce... Et puis, c'est le trou noir pour moi. Je me suis réveillé à l'hôpital sans comprendre comment j'étais arrivé là. Une infirmière m'a rassuré en me disant que j'avais perdu connaissance, que je ne m'en sortais qu'avec pas mal d'égratignures, mais que ça aurait pu être bien pire. Selon elle, j'avais eu beaucoup de chance. J'en étais conscient. Et je n'avais pu faire autrement que sentir la peur m'envahir à nouveau. Je voulais savoir... Savoir si les personnes auxquelles je tenais à l'université avaient eu autant de chance que moi. Si elles aussi s'en étaient sorties sans trop de dommage. Je ne pouvais concevoir de les perdre de cette façon. Fort heureusement, tout s'est bien terminé également pour mon petit groupe d'amis. C'est à ce moment là que j'ai réalisé avoir eu beaucoup de chance de m'en sortir aussi bien, de n'avoir perdu personne. Peu après ma sortie de l'hôpital, je suis parti deux semaines chez mes parents. J'appréhendais un peu mon retour à Harvard, j'avais besoin de temps, d'être auprès d'eux... Et je dois dire que les revoir m'a fait beaucoup de bien. Je suis en quelque sorte parti pour mieux revenir, même si je n'ai pas encore véritablement tourné la page sur cette histoire.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
Lors des agressions et prises d'otages à Harvard, j'avais la chance de me trouver à New-York, chez le plus agé de mes grands frères pour fêter la première année de mon neveu et également pour passer un peu de temps avec ma filleule agée de trois ans. Avec les études et la distance, je n'ai pas la chance de pouvoir les voir autant que je le voudrais, dès lors, quand l'occasion se présente d'être auprès d'eux, je ne la manque pas. J'étais arrivé à New-York depuis deux jours déjà, histoire de pouvoir passer également du temps avec mes parents et mes autres frères et soeurs avant le grand jour. Un grand jour où nous étions tous réunis, loin de se douter le moins du monde de ce qui se passait à Cambridge. Nous profitions du bonheur d'être ensemble quand mon portable a sonné. Il ne s'agissait ni plus ni moins de mon meilleur ami qui m'avait appelé pour me demander d'allumer de suite la télévision. Le ton de sa voix ne m'avait pas rassuré, je le connaissais assez que pour comprendre de suite que quelque chose d'important était arrivé. Me pliant à sa demande, j'allumais le téléviseur pour constater l'horreur. La journaliste parlait justement des prises d'otages et des agressions commises à Harvard, recommandant aux personnes résidant autour de rester chez elles. Inquiet, j'avais aussitôt envoyé un message à Eä pour prendre de ses nouvelles, et d'autres également à mes amis pour m'assurer qu'ils allaient bien. Je ne pouvais m'empêcher également de ressentir une certaine colère contre tout ce qui se passait autour d' Harvard. D'abord une bombe, puis des agressions et des prises d'otages... La preuve était faite, nous n'étions décidément pas en sécurité, et pourtant, on devrait se sentir à l'aise dans l'université où l'on étudie. L'espace de quelques instants, je me suis demandé si c'était une bonne chose d'y retourner... Et après avoir pesé le pour et le contre, j'ai décidé d'y revenir, après quelques semaines. Après une bombe et ce qui venait de s'y passer, j'ose espérer que le pire est derrière nous.
Clo
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Clo et j'ai envie de garder mon âge pour moi. Je suis belge et j'ai connu le forum grâce à Bazzart. Il est sublime, l'accueil est génial, je m'y sens déjà presque comme chez moi alors j'ai décidé de m'inscrire . J'utilise Thomas Brodie-Sangster comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Eä (avatar) et tumblr (gifs) . Je fais environ 200 à 1000 mots par RP et mon personnage est un scénario crée par Eä T. Willerijk.
Mot de la fin ? ▲ C'est tout... Pour le moment
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration (?)
(Invité)
