SPENCER L. GREEN ► Devon Bostick

ENFANCE:don't you know that the kids aren't a, kids aren't alright
Né en Irlande dans un endroit reculé de la ville de Ballyshannon, se situant dans le nord-est du pays, Spencer a grandit élevé par son père Joseph, sa mère les ayant quittés l'année des trois ans du garçon. C'est ainsi dans un milieu tranquille que le petit bonhomme a évolué, allant dans une école pas très loin de chez lui, conduit  matin et soir en voiture par son père, qui lui, y emmenait Spencer et la grande sœur de celui-ci. Cette demoiselle se nomme Pandora, âgée de deux ans de plus que son frère, elle a un instinct très fraternel avec lui et le protège beaucoup, elle a toujours été un peu plus sociable que lui, elle avait plus de facilités à s'intégrer et essayait beaucoup d'aider son frère par rapport à ça, lui étant du genre à se mettre à l'écart. Spencer n'a jamais eu de véritable ami, quelqu'un à qui confier ses secrets, à part Jude, son meilleur ami depuis la petite école. Les deux garçons à l'époque inséparables s'éloignèrent au collège, séparés car Joseph n'était pas très pour l'idée que son fils aille dans un collège public, voulant plutôt qu'il suive les traces de Pandora en allant dans le collège privé de la ville. Les parents du meilleur ami ne partageaient pas la même idée, ce qui les séparas. Ils gardèrent contact, se parlant quelques fois par le biais de réseaux sociaux, ou se croisant parfois dans la rue, mais rien de plus. Il n'étaient pas des inconnus l'un pour l'autre, ils redevenaient proches dès lors qu'ils se voyaient, mais le lien qui avait précédé avait disparu. Quelque chose avait changé entre eux, et ils pouvaient le remarquer, rien qu'à la manière de se dire bonjour, au revoir, ou de prendre des nouvelles, ce qui attristait Spencer petit à petit, nostalgique et frustré de ne plus avoir la même complicité avec son ami. C'est ainsi que dès son plus jeune âge, le garçon commença à s'isoler de toute personne, restant la plupart du temps seul, évitant tout contact visuel avec quelconque personne de son entourage, même si la dernière habitude s'estompa peu à peu après quelques années. Il commença à passer le déjeuner à la cantine seul, et à lire à la bibliothèque pendant son temps libre entre les cours. Il n'a jamais été quelqu'un de très sociable, mis à part avec son ancien ami, qui avait l'air d'être le début d'une nouvelle chose, pour au final se révéler être un échec.
ADOLESCENCE:teenagers scare the living shit out of me
Pendant tout son collège et son lycée, Spencer a débuté sa très chère passion d'analyser les gens. Souvent loin des autres, il essaya pourtant souvent de s'approcher des autres, de se faire des amis dans sa classe, mais la plupart du temps, sa timidité prenait le dessus, et comme le lâche qu'il est, il imitait une certaine ignorance innocente, puis continuait son chemin. Il a apprit à reconnaître les multiples différences entre toutes les personnes autour de lui, un nez, plus gros ou plus petit, les formes du visage, des yeux plus ou moins rapprochés, tout ce qui caractérisait le physique. Non pas que ce ne soit la seule chose à laquelle il s'intéresse, mais étant seul, il n'avait pas grands caractères à comparer. Donc il restait souvent là, à regarder tout le décor, les moindres détails, voulant parfois s'y fondre. Il n'a jamais eu vraiment le problème de la recherche de personnalité ou quoi que ce soit. Il a toujours tout laissé couler, en voyant ce qui se passait ou pas, sans vouloir trop demander. Spencer a toujours reçu des notes moyennes, des fois légèrement au dessus des autres, n'ayant pas grand chose à faire à part travailler, il réussissait à avoir d'assez bon résultats dans l'ensemble, gardant un niveau dans l'augmentation, toujours à la soif de nouvelles connaissances, presque tous ses cours l'intéressaient ce qui lui donnait envie d'en apprendre plus, seul le fait qu'il ne participait pas souvent lui baissait sa moyenne. Il n'a pas toujours eu très confiance en lui, non pas qu'il se sous-estime, mais a toujours été en retrait et n'a jamais été le garçon le plus imposant.
APRÈS LE LYCÉE:well maybe i'm the faggot america
Après ces longues années passées à errer dans ce lycée un peu trop bourge pour lui, Spencer a finalement passé son diplôme et est entré dans une école d'art à une heure de Ballyshannon, pour pouvoir acquérir les compétences nécessaires à des universités plus renommées. Il ne pensait pas du tout pouvoir un jour réussir à entrer à Harvard, cet établissement étant si connu et complimenté qu'à chaque fois qu'il entendait son nom, il avait presque l'eau à la bouche, curieux de découvrir ce que cet endroit pouvait avoir de si bien et de si impressionnant. Il devint autonome très jeune, ce qui entraîna sûrement le fait qu'il commença à tout faire de lui même, son père n’interagissant pas vraiment pour le contredire ou lui donner des conseils quelconques, non pas qu'il soit occupé, mais Spencer étant si entreprenant que le paternel n'avait pas vraiment son mot à dire.
QUALITÉS:Optimiste, il arrive toujours à trouver du bon dans quelqu'un ou quelque chose, malgré le fait que parfois son entourage essaye de le persuader que ceci ou cela est laid ou mal, il ne peut s'empêcher de creuser pour trouver une bonne chose à laquelle se référer, ce qui entraîne son empathie envers les gens, triste et même parfois dégoûté que quelqu'un de bien ne soit jugé que par ses quelques défauts, tandis que la même personne regorge de qualités. C'est en étant observateur qu'il peut déchiffrer tout cela, en se tirant les cheveux pour trouver ces petites choses qui le font apprécier quelqu'un.
DÉFAUTS:Pensif, ce qui peut être parfois considéré comme une qualité, Spencer est la majore partie du temps à l'ouest ou dans sa bulle, concentré sur ses propres pensées, l’effaçant du monde réel où il peut manquer à l'appel à cause de cette manie de s'évader, le rendant parfois solitaire, ne voulant pas énerver les gens autour à force de ne pas faire attention à eux. Nerveux, il a toujours peur que quelque chose n'aille pas, ce qui le transforme en quelqu'un d'excessif, ayant toujours peur de faire quelque chose en trop, une erreur, n'importe, il cherchera toujours plus loin pour s'enfoncer dans les mauvaises pensées qu'un simple mot pourrait lui provoquer.