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réparons les choses, avançons toi et moi, main dans la main. ❖ marc&georgia

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J'ai toujours pu tout obtenir dans ma vie, que ce soit la richesse, la popularité, le pouvoir, la réussite, rien ne me résiste, rien ne me pose problème et je sais que je fais tout et que je suis capable de tout pour faire en sorte d'avoir tout ce que je veux, du moins, si il y a bien une chose que je pensais accessible sans efforts ce sont les femmes, je me suis clairement trompé. J'aime les femmes, comme tout hétéro qui se respecte, je les aimes vraiment beaucoup, j'entends par là qu'il est difficile pour moi de dire non ou de résister à une femme, si bien qu'à présent je ne les compte plus, entre celles avec qui ça n'a été l'histoire que d'un soir et d'autres où ces histoires se répètent encore régulièrement, on peut dire oui qu'aussi là j'ai réussis à avoir mon petit panier garni mais si il y a bien deux femmes qui m'ont retournées la tête comme aucunes autres depuis ma dernière rupture, c'est bien Georgia et Mary. J'ai perdu les deux il y a peu de temps, l'une n'acceptait plus que je la prenne pour une idiote à lui sortir des belles paroles et l'autre ne voulait plus que je sois partagé, alors elles m'ont rayées de leur vie, c'est là que je comprend que si il y a bien une chose à changer chez moi c'est ça, mon faible féminin beaucoup trop addictif mais depuis des années ça dure, malheureusement. Il y a quelques jours j'ai décidé de faire le premier pas vers Mary, j'ai vraiment besoin d'elle dans ma vie, c'est une amie indispensable pour moi et la pente se remonte doucement avec elle, mais Gia c'est un autre problème, si Mary est rancunière, Gia l'est encore plus, et là est tout le problème parce que je sais que je vais trimer comme un dingue pour regagner sa vie, sa confiance. Je me pose toutes ses questions depuis environ trente minutes, depuis que j'ai commencé à réviser, ce qui est relativement difficile évidemment, je regarde ma montre qui inscrit plus de deux heures du matin, je souffle tout seul, parce que je m'énerve de ne pouvoir pas avancer dans mes révisions en pensant à Georgia, ma préoccupation depuis qu'avec Mary les choses vont mieux. Je décide de tout arrêter, pour ce soir c'est une peine perdue d'essayer de bosser, peut-être que demain je penserai moins, j'éteins ma lampe de bureau pour me lever, seule la nuit à travers la fenêtre éclairait ma chambre, j'enlevais mes fringues pour ne rester qu'en boxer et m'allonger sur mon lit, enfonçant ma tête dans l'oreiller sans me mettre sous les draps et alors que le sommeil commence à me donner les yeux lourds, j'entends toquer à la porte, je sursaute presque, c'est pas commun de faire ce genre de choses à une heure pareil, je fronce les sourcils légèrement me levant du lit tout de même pour aller ouvrir et là, mon dieu, j'avais du mal à le croire, Georgia se tenait devant moi, je ne m'y attendais pas du tout mais alors pas du tout, elle faire le premier pas ? Une grande première, j'étais presque choqué que je n'arrivais pas à trouver mes mots « Georgia ? Mais qu'est-ce.. qu'est-ce qui t'amène ici ? » c'est vrai j'en savais rien, peut-être pour m'en coller une bonne et repartir histoire de me montrer que ce n'est plus la peine d'espérer quoique ce soit ou peut-être qu'elle voulait essayer d'arranger les choses entre nous, je l'espérais tellement, si je pouvais prier, je prierai je pense pour que ça arrive.
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J'avais hésité toute la journée, je n'avais pensé qu'à ça. Je m'étais demandé si j'devais aller le voir ou non et si oui, je m'étais demandé c'que j'lui dirais. Marc avait envahi mon esprit toute la journée. J'en avais même eu la migraine en fin d'après-midi. C'était une situation très compliquée, surtout que ... j'étais pas du genre à faire le premier pas. Mais genre, vraiment pas. J'étais quelqu'un de très fier et faire le premier pas vers Marc me semblait inconcevable. Pourtant, au beau milieu de la nuit, je m'apprêtais à mettre ma fierté de coté, pour une fois. Il était environ une heure et quart du matin lorsque je sortis de mon lit, éveillée, n'ayant pas trouvé le sommeil jusque là. A pas de loup et sans réveiller Zakhar qui dormait comme un bébé, je m'étais rapidement préparée à sortir. Au bout de quarante-cinq minutes, je sortis de l'appartement toujours en prenant soin de ne faire aucun bruit et rejoignis ma voiture afin d'me rendre sur le campus. J'y allais à la fois à reculons, mais aussi avec hâte. J'avais pas vu Marc depuis des jours. Et il me manquait. De toute façon, il fallait que j'le vois, il fallait qu'on parle de tout ce qui s'était passé ces derniers jours. J'en avais besoin, et lui aussi, certainement. Je prenais le risque de le réveiller en pleine nuit, mais qu'importe. S'il dormait, ce serait tant pis pour moi. Je ne mis pas de temps à arriver sur le campus, une petite quinzaine de minutes environ. J'étais un chouilla stressée, j'étais pas habituée à c'genre de situations c'était ... embarrassant. Je marchais lentement sous une température fraîche jusqu'à la maison Eliot. J'avais envie d'faire demi-tour sérieux. Mais mais raison me rattrapait, un peu comme à chaque fois que j'me retrouvais en situation de fille complètement paumée. Une fois arrivée devant le bâtiment, je me dépêchais d'y rentrant, voulant me mettre au chaud. Je montais les marches afin d'arriver à l'étage de la chambre de Marc et une fois devant la porte ... j'attendis. Une ou deux minutes environ. J'savais pas quoi dire, ni quoi faire, ni comment réagir. J'savais rien, en fait. Après avoir poussé un léger soupir, mon poing cogna doucement contre la porte. J'espérais que Marc m'ouvre, mais j'espérais aussi que la porte reste close. Finalement, la porte s'ouvrit sur un Marc très surpris, décoiffé et en boxer. Je levais les yeux vers lui, me pinçant légèrement les lèvres de tracas. Marc était apparemment sous l'choc. J'pouvais comprendre, il savait que j'étais pas du genre à revenir vers ceux qui m'ont fait du mal. Je répondis à sa question par une autre. Je t'ai réveillé ? Vu l'heure, ça paraîtrait logique que oui.
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Pourquoi fallait-il que les choses deviennent si compliqué ? Je détestais le compliqué, j'ai toujours tout obtenu et de savoir que pour une fois je ne peux rien faire, ça me bouffe. Depuis la soirée de Zackar je me sens bouffé de l'intérieur, Georgia et Mary, les deux femmes qui ont su se démarquer des autres pour me faire ressentir ce quelque chose inexplicable étaient toutes les deux à la même soirée, l'une pétant un câble sur l'autre et résultat après un appel avec chacune, les deux m'ont exclu de leur vie. Depuis ce moment je ne me sens plus très bien, je le montre le moins possible, faisant au mieux dans mon boulot à l'hôpital ou pendant les cours mais lorsque je rentrais le soir, j'avais l'impression de déprimer, de me dire que j'avais fais une grosse connerie et que je ne passais pas au-dessus de ma fierté pour me l'avouer. Là encore je me force à réviser, je pense trop à Georgia, avec Mary les choses rentrent dans l'ordre petit à petit mais avec Gia c'est une tout autre histoire, je sais que jamais elle ne fera le premier pas vers moi, que c'est à moi de le faire et même si je le faisais je sais qu'elle m'enverrai bouler et je pense tellement à elle que c'est devenu presque impossible de continuer sur ce chemin dans mes révisions. Il est deux heures du matin environ, j'arrive pas à croire que je suis encore debout, devant mes cours alors que je devrais dormir pour être en forme pour la journée de demain, je fermais mes bouquins et mon ordinateur pour éteindre ma lape de bureau et me lever de ma chaise, m'étirant un coup, baillant aussi par la même occasion pour arrêter de me torturer l'esprit et prier pour trouver le sommeil avec toutes ces pensées dans ma tête. Une fois débarrassé de mes affaires pour ne rester qu'en boxer, je me mettais sous les draps pour trouver le sommeil et même pas dix minutes après j'entendais toquer à la porte, sur le coup je sursautais surpris qu'on vienne à une heure si tardive, c'était en pleine nuit quand même, je décidais un peu trop curieux d'aller ouvrir et une fois la porte ouverte, je vis Georgia se tenant devant moi, j'étais presque sous le choc, lui demandant même ce qu'elle faisait là si tard mais sa réponse fut tournée par une autre question à mon égard « Non. Je venais juste de me coucher. Entre. » lui dis-je me décalant sur le côté pour attendre que la brune fasse quelques pas pour se retrouver dans ma chambre.
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J'osais lever les yeux vers ceux de Marc, ne voulant montrer aucun signe de faiblesse concret et quelconque. Parce que ouais, là, j'étais en mauvaise position. Du moins j'me sentais en mauvaise position. Faire le premier pas m'paraissait être un acte que seuls les faibles sentimentaux pouvaient oser. Mais enfin, fallait bien y passer cette fois, j'en avais ras l'bol d'me faire du mal pour une histoire pareille. Ah, dis-je simplement en hochant la tête, désolée d'te déranger à cette heure. Sur ces mots, j'entrais dans la chambre de Marc que j'avais si souvent cotôyé et attendis d'entendre le claquement de la porte avant de pouvoir me retourner. Marc était toujours en boxer et c'était assez ... dérangeant. Pourtant je n'comptais plus les fois où je l'avais vu en boxer, et même à poil, mais vu le contexte, c'était pas génial. Dis, hm, tu pourrais ... mettre un pantalon ou un jogging ? 'fin un truc qui t'habille parce que c'est un peu ... déstabilisant d'te voir en boxer. Surtout vu la situation. J'ignorais si j'pouvais me permettre de lui demander de s'habiller, mais j'me voyais mal discuter de notre relation alors qu'il s'trouvait quasiment à poil devant moi. J'attendis quelques courtes secondes que Marc se vêtisse et une fois le français un minimum habillé, j'pouvais enfin commencer à lui expliquer les raisons d'ma venue ici. Faut qu'on parle Marc, qu'on ait une discussion sur ... tout c'qui nous arrive en ce moment.
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Je sentais son regard pesé sur le mien, je ne rêvais pas, elle était bien là devant moi, une chose que je n'aurais jamais pensé d'elle pour ce genre de choses, faire le premier pas mais même si j'étais surpris voir choqué, j'étais touché qu'elle ait prit sur sa fierté et sa rancœur pour venir me voir. Je la faisais entrer, me décalant en lui précisant qu'elle n'était pas fautive de mon réveil mais elle tenait tout de même à s'excuser « Sois pas désolé. » lui disais-je refermant la porte une fois qu'elle était dans ma chambre. Elle se retournait et me faisant face, elle semblait légèrement embarrassée, et j'avais vu juste puisque dans la seconde qui suivait elle me demandait d'enfiler quelques fringues en plus que le seul boxer que j'aborde « Oui excuse-moi c'est juste que j'attendais pas vraiment de la visite à deux heures du matin. » je souriais légèrement avant de me déplacer jusqu'à mon armoire pour enfiler un jogging et un marcel et je l'entendais alors me dire qu'elle était venu ici pour qu'on parlent de la situation actuelle entre nous, je refermais les portes de l'armoire en soupirant légèrement fermant les yeux avant de me retourner vers elle et de m'adosser contre mon armoire « Je suis d'accord. » je savais pas par quoi commencer, dans l'histoire c'était moi le fautif et elle qui avait tout subit. « Je.. je sais que tu ne me fais plus confiance et que quoique je puisse te dire, ton avis restera le même sur moi mais je me dis que t'as pris sur toi pour venir ici alors tu peu aussi prendre sur toi pour écouter ce que j'ai à te dire et peut-être te demander si je suis pas sincère dans ce que je dis. » je voulais juste qu'elle entende tout ce que j'ai à lui dire, j'allais pas lui mentir, je l'avais déjà assez fais comme ça.
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J'étais désolée pour le déranger en pleine nuit, mais j'étais désolée pour bien d'autres choses. J'me sentirais carrément mieux dans ma peau si je m'excusais seulement de le déranger. Une fois que nous étions tous les deux dans la chambre, je demandais à Marc s'il pouvait enfiler quelque chose qui le couvrirait plus qu'un simple boxer, ce qu'il fit immédiatement après. Le choix de l'heure n'est pas très approprié, c'est sûr ... Je lui rendis un léger sourire, le premier à son égard depuis trop longtemps. Je croisais les bras sur ma poitrine et le regardais, adossé contre son armoire, habillé d'un d'ses jogging et d'un marcel. Il était déjà plus présentable. Fallait qu'on parle, et il était du même avis. De toute façon, une discussion était nécessaire, fallait y passer. Seulement, c'est lui qui prit la parole en premier. C'était étonnant, vu que c'était moi qui avait fait la démarche de venir lui parler. Mais ça m'confortait dans l'idée que lui aussi en avait gros sur la patate, et qu'il fallait qu'il parle, tout comme moi. Tout en l'écoutant, je me permettais de m'asseoir sur le bord du lit, n'aimant pas trop rester debout. Je plissais légèrement les yeux. Là, on entrait dans l'vif du sujet, et j'avais les pétoches de ce qu'il allait m'dire. J'suis là pour qu'on discute alors ... je t'en prie, dis-moi tout. Je croisais les bras sur ma poitrine, mal à l'aise. Mais genre pas qu'un peu.
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J'étais surpris de la voir débouler devant ma chambre, c'était pas commun de la voir agir ainsi, elle qui d'habitude est si fière et si rancunière, qu'elle passe au-dessus de sa fierté pour moi, ça me touche mais j'essaye de pas le montrer. Elle s'excuse de me déranger à une heure pareille, c'est vrai qu'il est deux heures du matin mais j'essaye de la rassurer sur le fait qu'elle n'a pas besoin d'être désolé, ce n'est pas de sa faute, je n'étais même pas encore endormi quand elle à frappée à la porte de ma chambre. Une fois qu'elle fut rentrée dans ma chambre, je refermais la porte et avant de parler de quoique ce soit, elle voulait que j'enfile quelque chose de plus présentable qu'un simple boxer, je me justifiais sur ce point, lui certifiant que je n'avais pas prévu de recevoir de la visite si tard, un point qu'elle confirmait « Mais ça fait rien, t'es là. » lui répondis-je me rendant à mon armoire pour aller me mettre un marcel et un jogging, histoire de faire en sorte qu'elle soit plus à l'aise en me regardant et beaucoup moins embarrassée. Alors que je m'adossais aux portes de mon armoire que je venais de refermer, je l'entendais me dire qu'il fallait qu'on parlent sur la situation actuelle qui nous liaient, j'étais d'accord et quitte à la surprendre, je prenais la parole en premier, je voulais qu'elle écoute ce que j'avais à dire sur le cœur, que bien qu'elle ne me fasse plus confiance, j'espérais qu'elle me laisse finir et écouter vu qu'elle avait prit sur elle pour venir jusqu'ici et je lâchais un petit sourire quand j'entendais ses lèvres me dire que je pouvais déballer tout ce que j'avais à dire, qu'elle était venu pour ça, pour qu'on parle du moins. J'avalais ma salive la regardant avant de me mordre la lèvre en commençant à lui dire ce que je ressentais « D'ac.. d'accord. » je prenais une respiration avant de me lancer « Je tiens à toi énormément, tu me manque, j'arrive pas à ne pas penser à toi, depuis le temps que toi et moi on se connaient, c'est impossible de me dire que t'es plus là, à partager ma vie et j'ai cette boule au ventre quand je pense à toi parce que je pense à nos souvenirs, enfin je sais qu'on a jamais été ensemble mais tous les moments que j'ai passé avec toi, je les ai aimés et me faire à cette idée d'être en froid avec toi, j'y arrive pas. Je sais que je t'ai déçue, que je t'ai blessée, que je t'ai mentis et je le regrette.. tellement, quand je te regarde, quand je suis avec toi, j'oublie toutes les galères de ma vie, je suis bien avec toi et je sais que je ne suis pas parfait, je sais que j'ai bon nombres de défauts, des défauts que tu m'as reproché souvent mais voilà j'ai plus envie de cette situation, je veux te retrouver. » je venais de lui dire tout ce que j'avais sur le cœur et j'attendais avec et sans hâte sa réponse.
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J'avais à la fois hâte et à la fois peur d'entendre ce qu'il avait à m'dire. Jusque là, nous n'avions jamais eu de conversation claire à propos des tensions qui régnaient entre nous ces derniers temps. Ce qui m'embêtait le plus, c'était de ne plus pouvoir lui faire confiance, de douter de sa sincérité en permanence. Là encore, je doutais de tout, et je douterais de tout ce qu'il pourrait me dire. A force d'être prise pour une imbécile, il était normal de réagir comme ça, du moins, selon moi. Assise sur le bord de son lit, je l'écoutais, toute mon attention étant portée sur le français. Et comme je m'y attendais, ses mots sonnaient comme les belles paroles que j'avais l'habitude d'entendre avec lui. J'voulais le croire, j'demandais que ça, mais là ... c'était réellement compliqué. J'étais totalement paumée. Je grimaçais, ne sachant pas quoi répondre à toutes ses déclarations. Je n'veux plus de cette situation non plus, mais se retrouver ne va pas être si simple, tu sais. J'essayais de trouver les mots adéquats. Il fallait qu'je dise c'que, moi aussi, j'avais sur le coeur. Misère. Tu m'manques aussi, beaucoup, et c'est difficile de s'faire à l'idée que rien n'est plus comme avant. Beaucoup d'choses ont changé. J'aimerais qu'on puisse repartir de zéro, qu'on puisse oublier ce qui s'est passé mais pour ma part, j'peux pas. Pas aussi rapidement en tout cas. J'ai beaucoup souffert Marc ... te voir avec Mary à la soirée de Zakhar m'a fait du mal. Enfin j'crois que le pire, ça a été quand elle a tenté d'me virer de la soirée, et que t'as rien fais pour m'défendre ... Je soupirais légèrement, j'étais très calme. Enfin, Mary, c'est qu'un détail parmi tant d'autres ... mais malgré tout j'pense à toi, parce que tu m'manques, et parce que ça m'embête qu'on en soit arrivés là. C'est difficile à vivre. Une question me trottait dans la tête, mais j'hésitais à la lui poser, voulant éviter toute dispute. J'étais pas venue là pour ça. Finalement, j'préférais avoir des réponses. D'ailleurs, t'as revu Mary ? Histoire devoir si elle était vraiment rayée d'sa vie ou non.
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Fallait que je me lance, elle était venu pour ça, pour qu'on parlent de cette situation plus que pénible entre nous. J'angoissais, je voulais me lancer mais à la regarder dans les yeux, silencieuse, assise sur mon lit, prête à écouter ce que j'avais à lui dire, c'était embarrassant mais fallait que je me lance alors je le faisais après avoir prit une grande respiration et de croiser les doigts intérieurement pour qu'elle sente que mes paroles sont les plus sincères possible. Elle ne m'avait pas coupée, elle m'avait laissée terminée, elle avait tout entendu et bien sur maintenant c'était à elle de me répondre, de réagir mais la connaissant, elle doutait encore, normal après tout mais à son tour elle se lançait, me disant ce qu'elle avait sur le cœur. « J'en ai conscience oui, le temps fera les choses. » je savais que ça n'allait pas être si simple de se retrouver, je ne demandais que ça mais que ça se fasse en un claquement de doigt, je rêvais je crois. J'étais touché par la suite de ses paroles, touché de savoir que je lui manquais, que malgré tout elle ne peux pas s’empêcher de penser à moi, ça me fait du bien d'entendre ça et du mal de savoir que je l'ai réellement blessée, ce n'était pas mon but « Ça me touche ce que tu viens de me dire, tu peux pas savoir à quel point et te faire du mal n'a jamais été mon intention, à la soirée de Zackar, je ne savais clairement pas quoi faire, j'étais tirailler par cette pensée de venir défendre à la fois toi et Mary, je voulais pas que tout ça arrive mais c'est ma faite, je le reconnais, j'en paye le prix maintenant. » je baisais les yeux en soupirant légèrement avant de l'entendre me demander si j'avais revu Mary, plus de mensonges, j'en avais finis « Oui je l'ai revus, parce que comme toi, je ne peux pas me passer d'elle, avant tout c'est une amie qui compte beaucoup pour moi et je sais que tu la déteste surtout parce qu'elle et moi nous sommes proches, je peux le comprendre mais sache qu'il ne sait rien passé pour une fois, non parce que je pensais à toi, parce que je m'attendais à ce genre de questions de ta part, je n'ai pas couché avec elle, on a parlés toute la nuit et ça nous a fait du bien, je ne veux plus te faire souffrir, je t'aime merde. » wtf ? Je venais de dire quoi là ? Je m'emballe un peu trop là.
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Fallait qu'ça sorte. On avait plus le choix, ça ne pouvait plus durer comme ça. J'appréciais beaucoup trop Marc pour le laisser sortir de ma vie après tant d'années. Après une dizaine d'années. Impossible. Ouais ... mais là est le problème Marc. T'as toujours été tiraillé entre telle et telle personne. Là, en l'occurrence, je parle de Mary et moi. T'as jamais été capable de préférer l'une à l'autre. J'ai tenu des années comme ça, pendant dix ans j'ai rien dis. Aujourd'hui, j'en arrive à un stade où j'peux plus continuer comme ça. J'étais très calme, pas un poil d'énervement. On s'était déjà bien assez pris la tête sur ce genre de sujets pour remettre le couvert ce soir. Et puis il n'y avait rien de mieux qu'une discussion calme et posée. J'en profitais pour lui demander si, oui ou non, il avait revu Mary depuis leur dispute. Et comme je m'y attendais, effectivement, ils s'étaient revus. Clairement, ça ne m'étonnais pas, ça m'paraissait logique,le connaissant. Je ne lui fis aucune remarque, le laissant parler et lui prêtant toute mon attention. J'le regardais plus vraiment, préférant ne pas l'avoir dans mon champ de vision, jusqu'à ce qu'il prononce quelque chose qui m'interpella. Je t'aime. Il nous était déjà arrivé de nous l'dire en déconnant, mais je ne l'avais jamais entendu me le dire aussi ... sincèrement. Chelou. Immédiatement, je regardais Marc à nouveau, perplexe et un chouilla déstabilisée. T'énerves pas. J'compte pas te faire de leçon de morale, j'suis personne pour agir ainsi. J'cherchais mes mots. Le je t'aime n'est pas la meilleure chose à dire dans cette situation. J'suis pas là pour déconner. Pas vraiment non, surtout pas même. Qu'il garde ses sottises pour plus tard.
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