Confort me ♥ Newt

Confort me ♥
Ce soir, la soirée avait bien commencer, j'étais inviter à une bonne soirée et j'avais bu deux/trois verres. Tout se passait bien, jusqu'à ce que j'appelle Marc. Au départ notre conversation était basique, seulement je lui ai demander de faire un choix entre Georgia et moi et il n'a pas su faire son choix. Parce qu'il ne pouvait pas faire de choix tout simplement parce qu'il ne voulait pas faire de choix en réalité parce qu'on compte toutes les deux dans sa vie. Non il était hors de question que je le laisse avec cette cabot que je hais. En réalité, je ne supporte plus cette situation, chaque fois que je le vois en sa compagnie, la jalousie prend le dessus. Donc, de ce fait, après qu'il m'ait avouer ne pas pouvoir faire un choix, je lui ai clairement dit que c'en était finit de nous. Même si ce fut la décision la plus dure de ma vie, je n'aime pas m'attacher à quelqu'un qui surtout, est attachée à une autre femme que je déteste. La conversation s'est très mal terminé et j'avais des larmes qui coulaient tout le long de ma joue. Je n'aime pas me savoir dans cet état, surtout pour un garçon... J'avais besoin de parler à quelqu'un, d'avoir du réconfort et je pense directement à Newt. Il était un peu tard, mais j'espère que je ne le réveillerais pas. J'allais en direction de la Winthrop house pour frapper à la porte de la chambre du beau jeune homme. J'essuie quand même les larmes qui coule tout le long de mes joues, bien que lorsque la porte s'ouvrit, j'étais là encore attristée et les larmes roule sur mes joues.

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Confort me ♥

Newt était décidé à se mettre à jour dans les devoirs à rendre pour ses cours de journalisme et biologie. De plus, l'homme de vingt-trois ans reprenait peu à peu un rythme normal suite à la pause du Spring-Break où il vivait complètement en décaler. Il fallait remettre les pendules à l'heure. Plongé dans ses rédactions pour les cours qui allaient reprendre très prochainement pour ne pas dire le lundi qui suit. Le Winthrop essayait de s'y mettre sérieusement sauf qu'il n'arrivait pas à se concentrer. Trop de pensées fusionnaient dans sa petite et jolie tête. Ne voulant forcer d'avantage, l'homme de vingt-trois ans abandonne le tout posant son stylo et fermant ses bouquins ainsi que ses blocs-notes. Jetant un bref coup d'oeil sur sa montre, il vit qu'il était vingt-deux heures et demi. Habillé d'un jogging en guise de bas et d'un tee-shirt simple. Ouais ça changer des jeans et converses, chemises qu'il mettait d'habitude. En même temps, fallait dire qu'il sortait juste de sa douche enfin il y a quoi une heure ? Posant la main sur le poignet, il baisse celle-ci vers le bas et découvrir une Mary en pleurs devant sa porte. Il était déstabilisé de la voir dans cet état-là. D'habitude, la princesse d'Angleterre était une femme pétillante, joyeuse. Prenant doucement son bras, l'Australien la tire doucement pour qu'elle puisse rentrer dans sa chambre d'étudiant. Fermant la porte à l'aide de son pied. Lâchant le bras de Mary, l'homme de vingt-trois ans la prend doucement dans ses bras, la collant contre lui et plus précisément son torse. « Chut je suis là ma belle. Si tu veux en parler n'hésite pas. » Dit-il en nichant son nez dans les cheveux noirs de la brunette aux yeux bleus.

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Confort me ♥
J'étais tellement au plus mal, cela ne me ressemblait pas de pleurer, surtout qu'au départ j'étais dans une soirée avec des amis et je rigolais, j'étais bien. Seulement, il y avais eu cet appel, j'avais appeler Marc pour entendre sa voix qui m'avait manquer et finalement je lui ai poser un dilemme qui lui était dur à choisir, si dur que finalement il me dit que ce n'est pas possible de choisir, pas qu'il ne peux pas mais il ne veux pas. Je ne veux pas être un jouet ou juste un pion que l'on manipule comme on veux et là j'avais l'impression de l'être à ses yeux et ça m'a toucher de savoir qu'il ne veux pas choisir entre ma pire ennemie et moi. Du coup ma seule solution était de rompre notre relation parce que ça me détruit tout simplement. Oh je ne suis pas amoureuse, enfin je ne crois pas. Seulement, je veux juste éviter toutes embrouille à chaque fois que cette cabot et moi nous somme dans la même pièce. J'étais en larmes parce que la conversation téléphonique s'était très mal terminer et je m'attache à lui et je n'aime pas ça, je ne voulais pas que ça se passe comme cela. Ainsi, je me dirige droit devant la porte de la chambre de Newt. Il avait ouvert sa porte me trouvant, les larmes roulant sur mes joues. J'étais en peine et c'était très rare de me voir comme ça. Je savais que Newt serait là pour moi et me réconforter et il a su trouver le bon geste, il me prend doucement le bras pour me faire rentrer dans sa chambre refermant la porte derrière lui et il m'attire contre lui. Je pose ma tête doucement sur son torse, appréciant ce moment avec lui, son réconfort était important pour moi et je suis bien avec lui, il me réconforte déjà assez dans ses bras je suis aux anges. Il me disait être là et ça faisait un bien fou de l'entendre dire ça. Je ne voulais pas l'embêter avec mon histoire avec Marc et à vrai dire, je me rend compte qu'il n'était peut-être pas fait pour moi... Je restais silencieuse, profitant de ce moment doux et si bon avec Newt. Il était d'une gentillesse, c'était si bien d'avoir son réconfort. « Merci... Merci d'être là pour moi, Newt. » Cela fait du bien d'avoir un ami sur qui compter et les bras de Newt m'était apaisant, j'oubliais tout. Je le regarde dans les yeux. « Je ne veux pas t'embêter avec cette histoire, ça n'en vaut pas la peine... » Je me perds dans ses beaux yeux verts.

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Confort me ♥

Newt était resté un petit moment figé sur place en voyant le doux visage de Mary rouge et ses paupières toutes mouillées à cause des larmes qui avaient coulé le long de ses joues. Il n'aimait définitivement pas voir une personne qui apprécie beaucoup en pleurs. D'une manière ou d'une autre, le brun aux yeux verts était toujours présent pour ses ami(e)s et la famille, quoi qu'il arrive peu importe les épreuves. Après avoir pris l'Eliot dans ses bras et fermer la porte, ils restèrent un petit moment dans cette position. C'est-à-dire l'Anglaise contre l'Australien. D'accord, la brunette lui arrivait au niveau de son estomac voir guère plus vu qu'il fait un mètre quatre-vingt-huit Doucement, il pose chaque main sur chaque jour de la princesse, soulève sa tête pour observer ses jolis yeux en essuyant ses larmes d'un revers de pouce. « J'aurais aimé qu'on me console comme je suis en train de faire si j'avais été une fille. » Dit-il en faisant un petit sourire préférant faire de l'humour que de pleurer, même si ce n'est pas le genre de Winthrop. « Comme tu veux, mais sache si tu veux en parler, je suis là. » Doucement, l'homme se sépare de la brunette afin d'aller chercher un mouchoir et un verre d'eau pour son amie pour enfin tendre le tout vers sa direction. S'asseyant sur son lit, il tapote celui-ci pour qu'elle puisse s'asseoir si Mary le voulait. « Ça va aller Okay ?? »

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Newt & Mary ♥
Je ne sais pas si c'est les nerfs qui lâchent ou autres choses, mais me voir en larmes c'était tellement rare et je ne voulais pas qu'on me voit comme ça, je n'aimais pas être dans une situation comme cela, un piège qui reste fermée et qui n'en finit pas. Je pleure à chaudes larmes et j'avais besoin de bras musclés et d'épaules assez fortes pour me consoler, à l'habitude je préviens au moins avant de venir comme ça à l'improviste et m'imposer, mais la situation fut différente cette fois-ci. Je voulais me consoler auprès de Newt parce que je sais qu'il est à mon écoute et qu'il saura me consoler parfaitement et être là pour moi. Il est un très bon ami à qui je commence à m'attacher fortement et chaque fois que je le vois mon coeur s'affole. Il a ce petit je ne sais quoi qui fait qu'il m'attire. En me voyant pleurer au pas de sa porte, il n'attendait ni une, ni deux pour m'attirer contre lui et me laisser pleurer sur son torse, tandis qu'il vins me chercher un mouchoir et un verre d'eau. Il sait avoir les bons gestes et les bonnes paroles pour me détendre et directement il fait de l'humour, un petit rire malgré mes larmes qui coulent, s'échappe de mes lèvres. Je n'arrivais même plus à placer un mot, je restais silencieuse un long moment. Je prend le mouchoir et le verre d'eau, afin d'en boire un gorgée et de le poser sur la table non loin de là. Je ne voulais pas parler de cette histoire avec Marc mais il me fait comprendre que si je veux il est là pour m'écouter, essayant de me rassurer en disant que ça va aller... J'essaye de calmer mes larmes. « Maintenant ça va mieux... » Je renifle légèrement, mon dieu pleurer ça fait tellement du bien parfois. Je le regarde dans les yeux. « Je... Je suis désolée... De débarquer comme ça et de te déranger... » Je ne voulais pas m'imposer, mais maintenant je me sentais tellement bien dans ses bras que je ne voulais plus repartir.

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Confort me ♥

Voir Mary dans un sale état n'était clairement pas un spectacle surtout lorsque Newt appréciait cette personne. C'est normal que les filles pleurent, même si elles essayaient d'être un mur, cela finissait toujours par des larmes, car c'était leur moyen de lâcher la pression. Quand le brun aux yeux verts avait quelque chose qui le tracasser, c'était une vraie tombe. La princesse ne le dérangeait pas. Bien au contraire, la brunette avait bien de fait frappé à sa porte. Il valait mieux ça que faire une bêtise. L'homme de vingt-trois avait réussi à la faire rire avec des paroles complètement tordues, c'était déjà ça. Après l'avoir prise contre lui, le Winthrop avait séché ses larmes d'un revers de pouce et avait proposé un verre d'eau avec des mouchoirs que la femme de vingt-cinq ans prit. « Te voir sourire est beaucoup mieux. » Dit-il en faisant une petite tête trop mignonne et n'oubliant pas de sourire. « Tu ne me déranges pas et j'aime beaucoup l'improviste. » Doucement, l'homme de vingt-trois années prend les mains de l'Anglaise en ayant une petite idée en tête. Il avait exactement le truc qu'il allait faire, sourire et remonter le moral à l'Eliot. Monsieur Shakespeare se lève en espérant que Mary n'allait pas le suivre, sinon adieu la surprise. Il ouvre alors la commode où il y avait ses vêtements pour en sortir une boite noire carrée. L'Australien revient alors sur ses pas pour tendre la boîte où se trouver la fameuse rose que la fille attachait à son poignet disant qu'elle a trouvé son cavalier. « J'espère sincèrement que personne ne t'a demandé avant et que tu accepteras. » Le deuxième année s'en fichait complètement des rumeurs concernant la petite-fille d'Elizabeth II, ce Cambridge Secret mettait juste un peu plus la merde avec ses rumeurs à la con. Le jeune homme attendait impatiemment la réaction de la demoiselle en espérant que Manu n'allait pas péter un plomb en le voyant arrivé avec une autre fille. S'il vous plaît faite que Newt ne se fasse pas remarquer le soir du bal.

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Newt & Mary ♥
C'est drôle, enfin si on peux dire le mot drôle, puisque la première personne à laquelle j'ai penser et je me suis tourner pour me consoler était forcément Newt. On se connait depuis peu et pourtant j'ai l'impression que cela fait des années pratiquement, à mes yeux il compte beaucoup plus que ce que j'aurais imaginé en le rencontrant. Chaque fois que je croise son regard, mon coeur s'affole et surtout lorsqu'il me souris. En revanche, j'étais encore en larmes la tête sur son torse et il m'avait essuyer mes larmes d'un revers de pouce, une attention si adorable. J'avais esquisser un petit sourire suite à la plaisanterie et il me disait que me voir sourire était bien mieux, ça faisait plaisir à entendre. « T'es si adorable avec moi. » Newt m'avait redonné le sourire en moins de deux quand même et c'st ce qui me plaisait également chez lui, en faites beaucoup trop de choses en lui me plaît et si je devais en faire une liste elle serait très voir trop longue. Le jeune winthrop me prend doucement les mains avant de s'éloigner, je rester planter là ne sachant trop quoi faire du coup et le regardant, je le vois sortir une boite noire carré de sa commode. Qu'est-ce que c'est ? Je restais curieuse et j'attends qu'il vienne s'approcher de moi afin de me tendre la boite mystérieuse. Les mots qu'il prononçait me fit froncer les sourcils. De quoi parlait-il? Je ne réalise pas que bientôt le bal allait ouvrir. A vrai dire j'étais perdue quant à cette boîte et ce qui contient. « Qu'est-ce qu'on ne m'a pas demandé avant que tu ne le fasses? » J'étais dans le flou là. A l'aide de mon mouchoir, j’essuie mes dernières larmes. Le seul moyen de le savoir et de l'ouvrir, donc je décide enfin d'ouvrir la boîte afin de découvrir qu'il s'agit d'une rose qu'on pouvait accrocher à son poignet. Là, je réalise qu'il s'agissait d'une demande pour que je sois sa cavalière pour le bal de fin d'année. Je prend la rose en main, un sourire radieux s'élargit de mes lèvres et je regarde Newt. « Tu veux que je sois ta cavalière pour le bal?! Ouii j'accepte volontiers. Ça me ferait très plaisir d'être celle qui sera à ton bras pour cette soirée. » Ni une, ni deux, je le sers dans mes bras, émue de cette belle demande.

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Confort me ♥

Peut-être que ce n'était pas un hasard que Mary soit venue taper chez Newt à un moment de détresse et de tristesse comme elle l'était. Qu'il avait un petit truc en plus que dans son entourage homme que les autres n'avaient pas. Cela ne fait que quelques mois que les deux étudiants se connaissent et pourtant, ils avaient l'impression de se connaître depuis qu'ils sont petits, ce qui n'ai pas du tout le cas. Le Winthrop aimait beaucoup la princesse d'Angleterre, elle était gentille envers lui et non une peste. - d'après Cambdrige Secret – Le brun aux yeux verts avait t-il le pouvoir de monter le meilleur côté des gens ou les faire changer ? Peu importe, le plus important était que l'Eliot retrouve le sourire et c'est ce qu'elle fit. En effet quelques secondes plus tard les lèvres affichaient un joli sourire. Mission accomplie. Désormais, les deux étudiants étaient plantés là, guettant la réaction de la belle après avoir donné une boite carrée. En se rendant compte qu'il n'avait pas été clair et maladroit dans ses paroles, l'homme de vingt-trois ans secoue la tête en rigolant discrètement tout seul. « Ouvre là boite et tu comprendras ce que je voulais dire dans mon charabia. » Dit-il en faisant un énorme sourire, guettant la moindre réaction de Mademoiselle Windsor. Désormais, les deux étudiants étaient plantés là, guettant la réaction de la belle après avoir donné une boite carrée. Ça y'est, la brunette aux yeux bleus avait compris et accepte sur-le-champ. Ne, vous n'y prenez pas, ce n'était pas une demande en fiançailles, ni de mariage. Les deux étudiants ne sortaient même pas ensemble et Newt n'est pas con au point de demander la main d'une fille qui connaît à peine. C'était mieux de faire la demande de devenir sa cavalière avec la petite fleure dans une boîte que « Tu veux venir avec moi au bal. » Bref la serrant contre lui pendant quelques secondes, se détachant de Mary en demandant tout en l'observant dans les yeux. « Tu veux garder la rose ou tu préfères que je te la mette le moment venu ? »

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Newt & Mary ♥
Quelle bonne idée avais-je eu de venir me réfugier dans les bras de Newt. Faut dire qu'il se comporte comme un vrai gentleman et j'apprécie énormément le jeune étudiant, il se montre d'une douceur inouïe envers moi, cela fait partie des nombreux points que j'apprécie énormément chez lui. Comment ne pas apprécier le jeune winthrop? Je ne regrettais pas ma décision d'être venu à l'improviste, puisque finalement ça ne dérangeait en rien le jeune homme. De plus, après m'avoir réconforter avec tendresse, il se dirigeais vers sa commode pour prendre une boîte noire qu'il me tendais par la suite. Je lui demandais ce qu'il voulais dire par "J'espère qu'on ne t'as pas déjà demandé avant que je ne le fasse" et il me répondais de l'ouvrir. Ouvrant la boîte, je fus surprise de découvrir la rose que l'on pouvait accrocher au poignet. Ajoutant par ce fait que j'accepte volontiers de l'accompagner au bal avec un sourire radieux et le prenant dans mes bras. Je prend alors la rose avec délicatesse. Je suis assez surprise de cette proposition puisque je ne m'y attendais absolument pas et je suis ravie qu'il ait penser à moi pour faire de moi sa cavalière, après tout il aurait pu demander à quelqu'un d'autre. Je suis tellement contente du fait qu'il m'a choisit à moi et pas une autre. Je me retournais vers Newt, le regardant avec ce sourire radieux aux lèvres. Je passe des larmes à ce sourire grâce à lui. « J'aime bien l'idée de me mettre la rose au moment venu. Ça fait très ... Contes de fées. » J'aime bien parfois retomber en enfance. Bien que la réalité refait parfois surface. En tout cas cette histoire m'a fait oublier ma tristesse et du coup je garde le sourire sous les beaux yeux de Newt. « Je suis ravie que tu ai penser à moi pour le bal. Je n'aurais pas penser avoir de cavalier et je serais combler de t'avoir au bras avec cette jolie rose au poignet. » Lui révélais-je avec des yeux qui scintillent de bonheur.

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