LAST FIRST KISS. (kyla)

Je ne sais pas si je dois être heureuse ou complètement flipée de me retrouver avec Alaska dans cette petite pièce. Voir nos prédécesseurs sortir complètement débrailler me fait peur. Mais je me rappelle que je suis avec la jeune Harisson et que ça ne va clairement pas se passer comme ça. Je veux dire, on va discuter, se poser des tas de questions et déconner. Qui sait, on va peut être devenir les meilleures amies du monde à la fin de la journée. Ca serait quand même fun. J'aurais fais une belle découverte pendant ce Spring Break. A vrai dire, j'aurais fais que de belles découvertes, une belle expérience humaine et je suis bien contente que ma soeur m'ait tiré ici même si entre nous deux... C'est compliqué. Quand la porte se ferme, je déglutis difficilement. Je ne suis pas claustrophobe mais je n'aime pas forcément être enfermé dans le noir de la sorte. C'est pas très... agréable comme sensation et j'ai peur de bouger, de me prendre une table, une chaise ou quoi que ce soit. Alaska m'appelle et je réponds. « Oui ? » Je sens sa main sur mon bras et je me dis qu'elle a peur du noir ou qu'elle ne se sent pas bien. « T'es claustro Alaska ? » Je sens son souffle près de moi et quand je l'entends me demander de l'embrasser, je ne sais pas si c'est une blague ou non. Je reste là, quelques secondes et j'ai l'impression que son rythme cardiaque s'accélère, comme si elle avait vraiment envie de tout ça et que tout son corps l'exprimait. Et je crois que j'en ai aussi clairement envie. Je fais un pas en avant, glisse ma main derrière son dos et m'approche d'elle délicatement. Je sens son souffle chaud sur mon visage et pose mes lèvres sur les siennes. En un claquement de doigt, d'un commun accord, ma langue glisse sur ses lèvres et va trouver la sienne. Ca ne m'est jamais arrivé de ressentir de telles choses juste en un baiser. A vrai dire, c'est mon premier vraiment - et voulu - baiser féminin et ça me retourne l'estomac. Dans le bon sens du terme, bien entendu. Ma deuxième main vient se glisser dans sa chevelure légèrement bouclée et je prolonge le baiser. Je souris légèrement quand on se recule légèrement pour reprendre notre respiration. « On voulait pas tomber sur des pervers mais on est pas mieux » Je ris légèrement avant de me pencher à nouveau vers elle et d'attirer son corps vers le mien en toute délicatesse. Je comprends pas trop ce qu'il se passe mais je crois que ces sept minutes au paradis vont être chaudes comme pas possibles... Je glisse ma main vers le bas de son dos et passe un doigt sous son tshirt pour caresser son dos. Mon visage est toujours très proche du sien. « Alaska ? » J'attends un geste, une parole de sa part « J'ai jamais rien fait avec une femme de toute ma vie et là... J'ai clairement envie d'essayer. J'ai envie de découvrir de nouveaux horizons, de nouvelles possibilités » Je dois surement la faire flipper. Ou pas puisque je glisse ma main sous son haut et laisse glisser mes longs doigts le long de sa colonne vertébrale. « J'suis seule à ressentir ça ? » Demandais-je avant de déposer un très léger baiser sur sa bouche et de mordiller tendrement sa lèvre inférieure. Bordel, il fait chaud ici !

La lumière est partie lorsque la porte, c'est refermer sur nous, il ne rester qu'une faible éclaircie sur le pas de la porte, qui s'assombrit à chaque passage d'une personne devant celle-ci. Je suis resté collé contre un des côtés du mur, un peu hésitant. j'avais réellement aimé le baiser que nous avons partagé plus tôt, et elle était belle, avec des courbes généreuses et un petit sourire de bébé. Je ne savais pas vraiment ce qui m'arriver, c'était la chaleur le spring breaks, et les règles du jeu qui me pousser à faire ce que j'allais faire. j'ai posé mes mains sur ses bras, et je l'ai tirais avec douceur contre moi. D'une voix à peine audible, je lui demander de m'embrasser, comme un secret qu'on devait garder rien que pour nous deux. Elle semble un peu étonnée face à ma question, je ne peux lire les traits de son visage, mais je l'imagine faire des yeux ronds et battre des cils comme pour se demander si c'tait bien réelle. Je m'approche d'elle, pour lui faire comprendre mon envie, elle comprend alors et vient dans mon sens. Je soupir de soulagement, parce que oui, j'avais tout de même peur qu'elle refuse qu'on rester dans un silence gênant durant sept longs minutes. Ses bras se faufilent alors le long de mon dos, et j'approche mon visage du sien. Je sens la pression de ses lèvres sur les miennes, je lui rends dans la même délicatesse, en passant mes mains dans sa nuque. Du bout de mes doigts, je caresse celle-ci avec douceur, tandis que notre baiser devient de plus en plus intense. C'était si bon, elle était si calme et si tendre, c'était un délice. « Mais moi je suis une petite perverse. » dis-je en réponse à sa réflexion, je fis un fin sourire, satisfaite, tandis que mon cœur lui, ne cesser de s'agitter. Il battait très vite et très fort, et l'envie soudain de continuer me prenait. Sa main soulevée, mon haut, et ses doigts glissés dans le bas de mon dos. Des frissons me parcourt, je lâche d'ailleurs un petit cris d'étonnant face à son geste, avant de sourire bêtement. Seigner, que sommes-nous entrain de faire. Mes mains sont toujours dans sa nuque, que je caresse doucement. « J'ai jamais rien fait avec une femme de toute ma vie et là... J'ai clairement envie d'essayer. J'ai envie de découvrir de nouveaux horizons, de nouvelles possibilités » je secoue la tête, parce que je comprends tout à fait ce qu'elle ressent, parce que c'est ce qui m'arrive en ce moment même. Je soulève légèrement son visage du bout de mes doigts, et l'embrasse une nouvelle fois, avec un peu plus de passion cette fois-ci. Je la recule d'ailleurs contre un mur de la pièce. Je décolle mes lèvres, pour reprendre mon souffle, et surtout pour pouvoir lui parler. « Je vais te faire découvrir de nouveaux horizons. » dis-je avec un petit sourire au coin. je gloussais ensuite, à ma propre réflexion, et caresser doucement sa joue du bout de mes doigts, avant de smaker à nouveau ses lèvres. Suite à cela, je fais en sorte qu'elle penche un peu la tête en arrière pour avoir sa nuque à découvert. Je couvre ensuite celle-ci de mille et un baiser, et d'un petit suçon qui décorer à présent sa peau délicate. Mes mains étaient descendue sur son derrière, que j'atrrapais pour pouvoir la caler contre moi. MAMAMIA ELLES SONT BIEN FERME SES FESSES!

« Mais moi je suis une petite perverse. » Je ris légèrement à sa réflexion. C'est clair que là, elle fait vraiment petite perverse alors que je ne m'y attendais pas du tout. Mais ça ne me gène pas. Je sais bien qu'elle ne fera rien contre ma volonté parce qu'elle m'a demandé de l'embrasser. Elle n'a pas pris possession de mes lèvres comme une folle furieuse, loin de là. Tout est douceur pour le moment et elle n'est pas trop entreprenante. Je ne sais pas jusqu'où on va aller en sept minutes, ni même jusqu'où on va vouloir aller... Rien ne me dit qu'elle ou mois n'allons pas nous arrêter en plein milieu de quelque chose. Je suis franchement pas douée pour tout ça mais elle me donne envie. Elle me donne envie de me dépasser, de découvrir de nouvelles choses. Et puis, rien ne nous engage à en reparler, à se revoir où autre. A chaque fois qu'elle effleure ma peau, j'ai l'impression de recevoir des coups de jus. Mais c'est pas négatif, loin de là. Je kiff carrément cette sensation et j'ai envie de me perdre dans ses bras, entre ses mains qui sont peut être plus expertes que les miennes. Lorsqu'elle me colle au mur, un petit cri glisse entre mes lèvres. Je planque mes mains contre le mur et déglutis. Ca va terriblement vite tout ça mais pas assez. « Je vais te faire découvrir de nouveaux horizons. » Je souris légèrement et attrape ses lèvres rapidement. J'en ai tellement envie que mon estomac se retourne. C'est l'heure de la récréation pour lui. Mes mains, quant à elles, découvrent son corps. Je les laisse glisser sur son ventre, sur son dos, sur ses fesses et les fais même glisser sur la fine peau de ses cuisses. Elle frissonne légèrement, je le sens et un léger sourire en coin se dessine sur mon visage. Ses lèvres couvrent mon cou de baisers et je la sens s'arrêter quelques instants à un seul endroit ce qui me fait clairement kiffer. Je glisse une main dans la poche arrière de son short et la tire encore un peu plus vers moi. Heureusement qu'on est toutes les deux plutôt souples. Mon autre main glisse sur sa poitrine. « Oh Alaska... » Soufflais-je alors que d'un coup de bassin, je la plaque au mur et commence à l'embrasser avec passion, avec fougue. J'ai terriblement envie d'elle, de son corps et j'ai pas envie qu'on soit couper en plein milieu. Je l'embrasse dans la nuque, lui mord légèrement le lobe de l'oreille et glisse mes mains sous son haut. Mes doigts sont rapidement en contact avec son soutien gorge et je ne me gène pas pour les glisser sous le tissu et pour caresser ses seins. J'ai envie de la déshabiller, de l'embrasser partout. Chaque partie de son corps. Mon nez frôle le sien et ma bouche est à quelques millimètres de la sienne. Si je l'embrasse à nouveau, je ne suis pas sûre de pouvoir me retenir plus longtemps. Un coup se fait entendre à la porte. « Plus que deux minutes les filles » Je mordille ma lèvre inférieure et lâche sa poitrine. « Ou on peut partir maintenant. Parce que si je t'embrasse encore une fois, je vais pas pouvoir me retenir et encore moins te lâcher dans deux minutes » Et puis les chambres ne sont pas loin alors on pourra faire tout ce qu'on veut, vraiment tout ce qu'on veut. Et j'ai bien envie qu'on passe de la 'second base' à la 'third base' ce soir. Et à la lumière, c'est encore mieux. Je veux voir son visage, oui je le veux.

C'est comme faire son premier jeu à sensation, pendant la queue, tu as peur, tu te dis que tu ne vas pas le faire, tu te dis que ça sert à rien, que c'est juste de la frime. Une fois assis, tu appréhende le démarrage, tu te dis que ton cœur va lâcher, que ton cerveau va se décomposer et une fois dedans.. Tu ressens trop de choses. Ton cœur palpite, tes yeux sont remplis d'étoile et ton cerveau en redemande, encore et encore. Et c'est ce que je veux, encore et encore. Encore plus de baiser, encore plus de passion, encore plus d'elle, tout entière, toute mienne. J'ai peur d'aller trop vite, je tâte un peu quelque baise et sans que je puisse contrôler quoi que ce soit, voilà que j'embrasse sa nuque avec passion et délicatesse à la fois. Je suis rempli de fougue et d'ardeur et je ne cesse de l'embrasse, c'est comme si mon corps ne me répondait plus. Il était contrôlé par le sien, attiré par ses pulsions, ses caresses et son envie de voir les hautes lumières. C'est moi qui est les commandes, je contrôle la situation, je sent son corps se faiblir entre le mur et le mien, et les petits bruits qu'elle fait son signe qu'elle en veut encore. Je passe mes doigts dans ses nuques, puis file dans sa chevelure et redescend avec un peu plus de férocité sur son derrière, que je n'hésite pas à presser entre mes mains. Après tout, ils étaient fermes et attirants, pourquoi m'en priver ? Elle inverse les rôles. Je me retrouver soudainement sous son emprise, elle était si douce était à présent féroce et torride. Ses mains se baladent un peu partout, je n'arrive plus vraiment à suivre, mon corps n'arrive plus à suivre, il ne fait que réagirs à ces caresses et cette tendresse. Je frissonne, gémis entre ses lèvres, soupire de plaisir, lui en demande toujours plus. Ses mains frôlent mon corps entier, et surtout ma poitrine, qu'elle presse délicatement entre ses mains chaudes. « Oh mon dieu, Kyla.. » dis-je dans un murmure. À mon tour, je l'embrasser avec fougue, passant ma langue entre ses lèvres délicates, faisant danser la mienne avec la sienne sur un rythme endiablé. C'est comme un feu d'artifice, comme recevoir un millier de bonnes nouvelles en une seule fois, une exaltation et un désir profond et immense. Je me délivre de ses bras pour l'entourer des mains, je pose mes mains sur sa nuque et la tire pour ne pas à supporter l'espace qu'il y avait entre nous, cette salle en est devenue trop grande, je voulais être près d'elle, encore plus, presser contre elle, coller contre elle. Je passais mes mains sous son tee-shirt, toucher son ventre du bout de doigts, et masser sa poitrine à travers son soutient gorge, tatant ses seins fermes entre mes mains. C'était bon, j'en voulais encore. Ma langue repassant dans la sienne, remettant nos deux langues sur la piste, je voulais faire plus, aller plus loin, mais malheureusement les septs minutes aller s'écouler. « Ça fait déjà cinq minutes ? » dis-je en soupirant, entendant la voix de l'autre débile. C'était déjà la fin ? J'allais sortir de cette pièce, oublier cette fille pour toujours, et repenser au fait que durant cinq ridicules minutes, elle m'appartenait ? Cette réalité est horrible, je ne pouvais l'imaginer. Kyla me regardait, je pouvais sentir son regard sur moi, elle me murmurait alors : « Ou on peut partir maintenant. Parce que si je t'embrasse encore une fois, je ne vais pas pouvoir, me retenir et encore moins te lâcher dans deux minutes » Je fût un peu choquée par ses mots, continué ? vraiment ? « Ce n'est pas fini ? Il y aura une suite? J'veux dire, tu veux une suite ? » dis-je sur le cul, oui, il y allait avoir une suite, mais pas si je restais à ne rien faire. Je sortis la première, la lumière m'aveugler d'ailleurs, alors que le soleil était déjà rentrée chez lui, et qu'un faible néon servais toute la pièce, mais c'était suffisant après cinq minutes passer dans le noir complet. Tout un petit peuple nous regarder avec de gros yeux et j'ajuster mes vêtements pour faire mine que rien ne, c'était passer. Rapidement, je quittais la pièce en faisant bien gaffe au Kyla me suivait, on était au rez de chausser, il fallait prendre l'assenceur, je courrais presque pour y rentrer rapidement, en m'assurant que personne ne soit dedans. Une fois à l'intérieur, je me tourner vers mon amante, les yeux dans les siens, elle était encore plus belle à présent que j'avais goûté à ses lèvres. « J'ai envie de toi. » dis-je en l'embrassant de nouveau.

« Ce n'est pas fini ? Il y aura une suite? J'veux dire, tu veux une suite ? » Je déglutis quand elle le formule. C'est tellement... étrange mais j'en ai terriblement envie. J'ai envie d'aller plus loin, de continuer ce qu'on a commencé ensemble, dans cette petite salle où les minutes passent tellement vite que je regrette qu'il ne s'agisse que de sept minutes au paradis. Parce que là, j'aurais plutôt besoin d'une heure au Paradis avec Alaska. Je pose ses mains sur mes joues et secoue légèrement la tête de haut en bas en guise de réponse. Je n'arrive pas à répondre tellement je suis sur le cul avec tout ce qu'il se passe. Il y a deux heures, je n'aurais jamais réagis de la sorte, ça c'est sur. Je la laisse sortir, détache mes cheveux pour cacher la possible marque qu'elle m'a fait dans le cou, souris au jeune homme qui anime le jeu et suis Alaska sans être trop proche d'elle. On ne va pas ameuter tout le monde non plus, c'est clairement pas le but de tout ça. J'ai pas envie que tout le monde sache qu'une petite brune m'a donné encore plus envie que n'importe quel homme sur terre. On pénètre dans l'ascenseur et j'appuie sur le numéro de mon étage. Allez savoir pourquoi. Parce qu'elle ou moi, ça change rien. Je frémis quand elle me dit qu'elle a envie de moi. « Moi aussi Alaska, si tu savais... » Elle m'embrasse et je l'attire vers moi pour être au plus proche. Mes mains se baladent sur son corps pendant que l'ascenseur montre au septième étage. Lorsque les portes s'ouvrent, je soupire, attrape la main de la jeune Dunster et l'attire jusque devant la porte de ma chambre. Je passe le pass pour ouvrir la chambre et l'attire contre moi. J'ai envie de la déshabiller à la lumière du soleil qui se couche. J'ai envie de la voir presque nue sous cette lumière qui l'a mettrais encore plus en valeur. Il ne faut pas que je sois trop gourmande. Ouai, on y croit. Parce qu'en un claquement de doigt, j'ai fait sauter son haut que je balance à l'autre bout de la pièce. Je la regarde légèrement et souris. J'ai hâte d'en découvrir plus. Je n'ai jamais rien fais, ni même essayé avec une femme et je me dis que j'ai raté des tas de trucs quand j'y pense. Je pose mes mains sur sa taille et caresse son ventre avec mes pouces pendant quelques secondes. C'est une torture pour moi, d'être là, comme ça. J'ai jamais été très portée sur le sexe mais je crois que si je l'avais rencontré plus tôt, tout aurait été différent. Je glisse ma main dans son short et carrément sous sa culotte. Ses fesses sont douces. Je prends un peu trop les devants, je vais surement trop vite alors je retire ma main et l'embrasse. J'ai pris son visage entre mes mains et je prolonge ce baiser qui me retourne l'estomac. Je la guide légèrement à travers la pièce tout en l'embrassant. Dos au lit, je la fais basculer doucement et elle se retrouve sur le lit. Je me mets à califourchon sur elle, attache rapidement ma longueur chevelure brune avant d'embrasser ses lèvres, sa nuque, la naissance de ses seins et de descendre sur son ventre. Je laisse quelques petites traces de mon passage. Mon corps vibre sous chacune de ses carresses et je deviens folle. Mes doigts suivre de près ma bouche et lorsque j'arrive au niveau de son short, je lève les yeux pour la regarder. J'ai envie de la voir en sous vêtements. Et là, je me demande ce qu'elle attend pour enlever ma robe, vraiment.