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feat Evander ✖ J'avais arrêté de penser à ces vacances : La Spring Break où j'avais passé de bons moments et qui s'était trop vite achevé. Mails pas encore tout à fait pour moi ! Je n'avais pas besoin de période aussi limité dans le temps pour profiter de la vie ! Elle qui était si courte... Trop courte ! Et puisque ma famille semblait avoir l'honneur d'attirer la malchance sur eux, alors j'avais décidé de profiter de tout, tout le temps et ce sans modération ! Une fois de plus : La vie était trop courte !
Dans ma chambre,à la Cabot House, j'étais désormais seule depuis le départ de Leslie. Je pouvais donc aisément et sans avoir à me cacher ; fumer, boire, sniffer et bien sur recevoir des mecs. Tout ceci sans que personne ne s'inquiète de ne pas me voir quitter ma chambre plusieurs jours durant. Ou même ne pas me voir revenir à la Cabot à la nuit tombée.
Ce soir-là, tard lorsque j'avais entendu toquer à ma porte, j'avais décidé de ne pas ouvrir. Je pensais que les filles, finirais sans doute par se lasser et penser que je m'étais soit endormis, soit que je découchais. Oui ok ! Il y avait la lumière mais je n'étais pas une environnementaliste!
Cependant comme une idiote, j'avais oublié de verrouiller la porte à clé. Allongée sur mon lit, je me redressais vivement en balançant un vêtement sur mes petites douceur étalée là, sur le bureau.
Les filles mais ça va p... commençais-je avant de m'interrompre. Ce n'était pas une des Roses, loin de là. C'était un type avec qui j'avais passé la nuit en Nouvelle Zelande. Haletante, je reprenais mon souffle fronçant toujours les sourcils et le regardant sans comprendre.
Une chance que je ne t'ai pas en train de tirer une ligne ça aurait vraiment été embarrassant. Devoir l'expliquer l'aurait été encore plus. Pour l'heure ce qui était gênant c'est qu'en dehors de cette nuit que nous avions passé ensemble je ne savais rien de lui. Bien sur je le reconnaissais, et oh que oui je me souvenais de ce que nous avions fait. Mais rien de plus. J'ignorais qu'il vivait ici à Cambridge. Sans doute même étudiait-il a Harvard.
Qu'est-ce que tu fais là ? demandais-je la voix voilée d'une incompréhension mêlée à de la surprise.
Je l'étudiais plus attentivement, observant ce qu'il avait en main. Mon sac, soit dit en passant ! Je me levai silencieuse, j'avais ma réponse,ou du moins en partie. Mais je ne tenais pas à ce que toute la Cabot l'apprenne. J'avançais vers lui suffisamment pour attraper son bras, le tirer pour pouvoir refermer la porte derrière lui.
Merci lâchais-je ensuite en récupérant mon sac à main et en me mettant à regarder son contenu par automatisme.
Dans ma chambre,à la Cabot House, j'étais désormais seule depuis le départ de Leslie. Je pouvais donc aisément et sans avoir à me cacher ; fumer, boire, sniffer et bien sur recevoir des mecs. Tout ceci sans que personne ne s'inquiète de ne pas me voir quitter ma chambre plusieurs jours durant. Ou même ne pas me voir revenir à la Cabot à la nuit tombée.
Ce soir-là, tard lorsque j'avais entendu toquer à ma porte, j'avais décidé de ne pas ouvrir. Je pensais que les filles, finirais sans doute par se lasser et penser que je m'étais soit endormis, soit que je découchais. Oui ok ! Il y avait la lumière mais je n'étais pas une environnementaliste!
Cependant comme une idiote, j'avais oublié de verrouiller la porte à clé. Allongée sur mon lit, je me redressais vivement en balançant un vêtement sur mes petites douceur étalée là, sur le bureau.
Les filles mais ça va p... commençais-je avant de m'interrompre. Ce n'était pas une des Roses, loin de là. C'était un type avec qui j'avais passé la nuit en Nouvelle Zelande. Haletante, je reprenais mon souffle fronçant toujours les sourcils et le regardant sans comprendre.
Une chance que je ne t'ai pas en train de tirer une ligne ça aurait vraiment été embarrassant. Devoir l'expliquer l'aurait été encore plus. Pour l'heure ce qui était gênant c'est qu'en dehors de cette nuit que nous avions passé ensemble je ne savais rien de lui. Bien sur je le reconnaissais, et oh que oui je me souvenais de ce que nous avions fait. Mais rien de plus. J'ignorais qu'il vivait ici à Cambridge. Sans doute même étudiait-il a Harvard.
Qu'est-ce que tu fais là ? demandais-je la voix voilée d'une incompréhension mêlée à de la surprise.
Je l'étudiais plus attentivement, observant ce qu'il avait en main. Mon sac, soit dit en passant ! Je me levai silencieuse, j'avais ma réponse,ou du moins en partie. Mais je ne tenais pas à ce que toute la Cabot l'apprenne. J'avançais vers lui suffisamment pour attraper son bras, le tirer pour pouvoir refermer la porte derrière lui.
Merci lâchais-je ensuite en récupérant mon sac à main et en me mettant à regarder son contenu par automatisme.
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