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[ #hot ]entre le thé et les Lookoums y a le temps de faire boum boum boum ₪ WYNBEN

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Tu traînais dans les rues de Cambridge de soir. Skyler était de mauvaise humeur parce que tu avais eu le malheur de cuisiner, encore une fois, avec trop de lait de coco. T’adorais ça pourtant, tu ne comprenais pas qu’elle puisse détester ça. Qu’elle ne se plaigne pas, au moins tu cuisinais. Alors comme bien souvent depuis que tu es son colocataire, vous vous étiez disputé et t’avais filé dans la nuit noire et froide, une clope au bec. Quand soudain, tu débouchas dans les petites ruelles inconnues de Central Square, lisant les noms des boîtes aux lettres, comme si tu cherchais désespérément un nom connu avec qui passer la soirée. Mr & Mrs Peter Row, Mr Roger Wood, Mr & Mrs Kevin Jones et leur enfants, Miss Wynter Sforzaneli, Mrs Maya Fizt. Attends, Wynter Sforzaneli ? Elle habite ici ? Tu l’ignorais. Bien décidé à aller embêter la jolie blonde, tu grimpes les quelques marches qui mènent à son chez-elle et frappe à la porte. Sans réponse de sa part, tu clanches quand même la porte. Ne sait-on jamais.. Et la porte s’ouvre. Tu entres doucement, sans faire un bruit.. et là, une vision d’horreur apparaît sous tes yeux. Un chat. Pas un chat mignon, non non non. Un horrible chat. Un truc sans poil, et tout plissé. Future zoologiste, t’en avais vu des animaux. Mais alors un chat aussi moche.. Brrr. Il te regarde l’air méfiant. Bam, tu lui tires la langue. Gamin.
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La soirée est prévue depuis quelques minutes. Planifiée en rapide, vitesse accélérée. Il me faut quelque chose pour me détendre et me rassasier à al fois et je sais exactement qui appeler pour ça d’ailleurs. J’ai passé un rapide coup de file à ce type que j’ai rencontré il y a quelques mois en boite et avec qui j’ai gardé contact pour ce genre d’envie, de soirée folle. Il ne prend pas beaucoup de temps pour accepter la charmante proposition que je lui ai faite. Je me suis installée dans la chambre, des sous vêtements assez sexy où le tissu est en faillite. C’est la crise économique, les gens n’aiment plus avoir des tissus sur eux. On se la joue Nabila les gars. Je reste quelques minutes allongé à fixer le plafond, réfléchissant à cette soirée qui s’annonce comme toutes les autres, merveilleuses. J’entends un bruit de porte, je reste en silence en me mordillant finement la lèvre inférieure, à quatre pattes sur mon lit. Anne Frank n’a pas riposté, je suppose de ce fait que c’est bien la personne que j’attends. Je me mets de dos, les fesses bien en évidences donnant sur la porte entre ouverte. J’ai siffloté pour l’interpeler et le faire venir par là. T’es à l’heure trésor. Comme toujours ! J’ai pris une voix chaude, sensuelle.
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Vraiment. Le chat est écœurant. T’aurais même pu dire dégueulasse si tu n’avais pas une conscience professionnelle qui t’empêchait de dire du mal des animaux. Non, ok, ce chat des dégueulasse. T’as rien vu de plus immonde. En plus il te regarde avec ses p’tits yeux qui ressortent presque de leur orbite. Dégueulasse. Brr. Heureusement, un sifflement puis la voix de Wynter te sauvent de là. Sauf que ce que t’entends.. c’est assez weird. Nom d’une noix de coco, elle s’est encore droguée. Tu soupires en regardant le chat et en haussant les épaules, du style que le devoir t’appelais. T’es à l’heure trésor. Comme toujours ! avait-elle dit. Tu te diriges vers la petite salle d’où provenait la voix et.. Nom d’une noix de coco sacrée du grand manitou ! Wynter est là, recouverte de quelques morceaux de tissus qui criaient de se faire arracher. Elle est à quatre pattes, remuant son popotin tout juste sous ton nez. Merde, merde, merde. Comme un con, tu clignes des yeux trois fois, comme si tu pensais que tout ça n’était qu’une hallucination. Tu t’laisses tomber sur la chaise à côté de la porte. Heureusement qu’il y avait une chaise là. Et puis à peine assis, tu t’relèves comme si quelque chose t’avais piqué. J’repasserais. articules-tu difficilement sans quitter son corps du regard. Mais tu n’arrivais pas à bouger ne serait-ce qu’un orteil. T’étais figé là, devant la femme qui te ferait certainement passé un sal quart d’heure telle que tu la connaissais. Mais qu’elle te plaque contre le mur tout de suite pour t’engueuler, t’en avais rien à foutre. Elle est tellement belle.
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Je n’attends que ça.. Qu’il arrive. Que à peine rentré dans la chambre, je sente ses mains chaudes et brutales s’acharner mon corps dénudé. La porte s’est ouverte, puis refermée, le chat n’a pas montré de signe d’agressivité. Je reste sur mes gardes quitte à devoir me défendre si ce n’est pas vraiment la bonne personne qui déboule chez moi. Le cul relevé, le dos cambré, je reste sur les genoux en dandinant mes fesses bien rebondies par de petites vagues dans les airs. Je l’ai entendu s’approcher de la porte, il est entré, ses pas résonnent dans ma tête. Nom d’une noix de coco sacrée du grand manitou ! J4me suis retournée à toute vitesse pour regarder qui c’est, même si la réponse est déjà assez évidente. Je l’ai regardé s’asseoir sur la chaise, rester blasé de.. la vue qu’il vient de voir. Intérieurement je rigole fort, très fort. Mais physiquement, mon visage reste neutre. Limite en colère. Des traits durs. Je me lève précipitamment de mon lit pour arriver vers lui et le pousser sauvagement contre le mur derrière, poussant la chaise sur le côté, qui celle ci, se retrouve quelques centimètres plus loin, renversée. Mon avant bras se repose sur le haut de son torse, le reste de mon corps collé au sien. C’est toi qui t’incrustes chez moi maintenant ? J’ai passé mes mains le long de son corps par tâtonnements pour chercher machinalement la moindre trace de truc pas net sur lui. J’suis passés partout, sur son torse, ses bras, ses jambes en remontant même vers l’entre jambe que j’ai passé par un vulgaire coup de main sans vraiment faire attention.
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T’avais pas la volonté de bouger, ni celle de détourner les yeux de l’agréable chose qui se trouvait sous tes yeux. Pourtant, Wynter se leva bien vite de son lit pour venir te plaquer contre le mur, envoyant valser la chaise. Les chaises, elle avait un problème avec, t’en était certain ! Elle te surplombe de son corps dénudé. En fait, elle te surplombe de rien du tout vu qu’elle est plus petite que toi, mais t’aimerais tellement là.. fiou. Tes idées s’embrouillent. Ton cerveau devient petit à petit de la compote et ton mini toi un nougat tout dur. C’est toi qui t’incrustes chez moi maintenant ? demande-t-elle en te tattant un peu partout. Elle cherche quoi ? Tu vas pas la tuer non plus, tu pensais qu’elle te connaissait un peu mieux que ça. Tu fermes les yeux, collant ta tête contre le mur. Un renard s’est fait écraser hier.. Rupture de noix de coco au market. Bon sang.. Alaska Harrison est la meilleure bizutrice de la DH. AH, rien marche ! grognes-tu en rouvrant les yeux, replongeant dans ceux de Wynter, interrogatif. M’regarde pas comme ça. J’cherche un moyen de… enfin.. MAIS MERDE ! Regarde comme t’es habillée aussi ! Tu profites d’une seconde d’inattention pour te dégager de son emprise et attrape la couverture de son lit pour l’entourer avec. Bon sang, t’avais le kiki tout dur et t’avais envie d’elle maintenant. C’est malin.
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Il se retrouve contre le mur, assez « violemment » poussé d’ailleurs. Petite mais costaud Wynter. On peu pas le nier. En attenant, je continue de passer mes mains sur lui, comme ci j’étais une flic à la douane et que je cherche toute sorte d’arme possible de me tuer. C’est une sorte de réflexe quoi. J’ai toujours fait ça chez moi, c’est affreux non ? Qu’importe, ce sont mes habitudes, je ne les changeraient pour rien au monde, quitte à passer pour un être bizarre. Un renard s’est fait écraser hier.. Rupture de noix de coco au market. Bon sang.. Alaska Harrison est la meilleure bizutrice de la DH. AH, rien marche ! Je fronce un sourcil en essayant de comprendre ce qu’il est entrain de me pondre là. Il replonge son regard dans le mien. M’regarde pas comme ça. J’cherche un moyen de… enfin.. MAIS MERDE ! Regarde comme t’es habillée aussi ! J’ai ricané en le laissant m’entourer de mes draps. Le sourire aux lèvres je plante mes yeux sur son pantalon qui prend une belle forme. J’attendais quelqu’un d’autre enfaîte. Oui ça du coup. On l’avait bien compris. J’ai laissé tombé la couette par terre laissant de nouveau mon corps à la vue. T’as perdu le chemin d’ta p’tite copine ? Swan, c’est ça ?
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Sortir des phrases ridicules pour essayer de débander, c’était gamin. Presque aussi gamin que d’avoir tiré la langue au chat. Pourtant, t’étais obligé parce que tu pouvais juste pas avoir envie de Wynter. Pas qu’elle soit moche, pas attirante ou quoi que ce soit. Oh bon sang, non, c’est même tout à fait le contraire. Mais.. mais tu savais pas en fait. Voilà. J’attendais quelqu’un d’autre enfaîte. Tu t’mets à rire, nerveusement, te grattant la nuque. Sans déconner ! L’espace d’un instant, t’imagines que toute sa petite mise en scène n’est que pour toi. Mais tout ça n’aide pas vraiment ton petit problème d’en dessous la ceinture. Bien au contraire. Bon sang. La couverture tombe le long de son corps qui se retrouve à nouveau.. trop peu couvert. Les petites cordelettes de ses sous-vêtements te supplient de les arracher. Sa peau te supplie de la goûter. Mais ça, y’a que toi qui l’entend, évidement. T’as perdu le chemin d’ta p’tite copine ? Swan, c’est ça ? Tu rattrapes la couverture, comme un névrosé, et la repose autour de ses épaules, évitant au maximum d’effleurer sa peau. Concentré. C’est pas ma.. enfin j’sais pas. Mais peu importe, j’avais besoin de prendre l’air alors j’suis sortie. Et puis j’ai vu ton nom sur la boîte aux lettres. Et encore une fois, j’crois que j’ai besoin de prendre l’air. souffles-tu en rattrapant la couverture qu’elle laissait reglisser le long de ses épaules pour bien la repositionner. Serait-ce une perle de sueur qui brillait sur ton front ?
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Sans déconner ! Non. Je le jure sur Dieu même. Mais qu’importe. Je le regarde faire sa crise de panique tout seul. Je regarde son p’tit soldat se dresser gentiment à sa manière dans le p’tit bout de tissu qui lui sert de sous vêtements. Je retire que nouvelle fois ma couette qu’il s’empresse presque de me remettre sur les épaules. C’est pas ma.. enfin j’sais pas. Mais peu importe, j’avais besoin de prendre l’air alors j’suis sortie. Et puis j’ai vu ton nom sur la boîte aux lettres. Et encore une fois, j’crois que j’ai besoin de prendre l’air. Finalement pour moi, c’est pas étonnant qu’il soit dans cette état. Il veut pas tromper cette fille que apparemment il aime avec moi, le belle tatouées au corps sexy. Le diable incarné actuellement. Il remet pour la troisième fois la couette sur mes épaules, je lève les yeux au ciel et agrippant son avant bras, mon regard dans le sien. Mon visage tout près du sien. Presque, je pourrais sentir son souffle sur ma peau. De quoi t’as peur ? J’ai pointé du doigt son engin de guerre prêt au combat. De ça ? J’ai posé sa main sur le dessus de ma poitrine. Et de ça ? J’ai ricané en le relâchant et en m’avançant pour quitter la pièce, la couette restée au sol. Visiblement mon rendez vous vient de me poser un lapin, ce qui fait que j’ai enfilé ce p’tit ensemble pour rien. Je suis suis mise à côté de la fenêtre du salon pour allumer ma cigarette. Pars tant qu’il en ai encore temps non ? Je lui ai lancé un fin sourire provocateur.
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La couette ne cessait de glisser de ses épaules et tu ne comptais plus le nombre de fois où tu la rattrapais pour la positionner. Si nombreuses, ces fois, que Wynter levait à présent les yeux au ciel. De quoi t’as peur ? De rien. Absolument de rien. T’es juste pas un profiteur, c’est tout. Et ça, c’était bien la seule chose que t’étais encore capable de tenir. De ça ? Et de ça ? Ses mains effleurent presque ton jean dans lequel tu te sentais trop à l’étroit, puis finalement se posent sur sa poitrine. Et merde, le drap est encore tombé. Tu le ramasses pour cacher sa peau tatouée. Sa peau qui, tu y mettrais ta main à couper, a la douceur du coton et le goût d’un bonbon. J’ai pas peur, princesse. J’suis pas ce genre de mec, c’est tout. soupires-tu en voyant la couette tomber pour la énième fois. Elle en faisait exprès, obligé. Visiblement mon rendez vous vient de me poser un lapin, ce qui fait que j’ai enfilé ce p’tit ensemble pour rien. Quel dommage. Mais ton mini toi, lui, criait qu’elle n’avait pas enfilé ça pour rien, qu’elle l’avait enfilé pour toi. Que pour toi. Graou. Tu poses tes yeux sur la couette par terre, ne voulait pas trop baver comme un con. Il sait pas c’qu’il râte. J’veux dire.. il est con. Enfin, c’est dommage quoi. Fallait que t’arrêtes de parler, c’est tout. Pars tant qu’il en ai encore temps non ? Et là, pris d’un élan de courage, tu relèves les yeux vers elle. Même que t’avance de quelques pas, les yeux plissés, intenses. Sinon quoi ? Tu m’sautes dessus pour assouvir mille et un plaisir ? Ta respiration se saccade, ton cœur se sert, tes pupilles se dilatent et ton sexe se durcit, toujours un peu plus. J’prends le risque.
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Je passe sa main le long de mon corps, ou plutôt sur le dessus de ma poitrine laissant un sourire sur mes lèvres et une voix aussi douce que possible. Presque un chuchotement. J’ai pas peur, princesse. J’suis pas ce genre de mec, c’est tout. Et quel genre de mec tu es alors ? J’ai levé un sourcil en repartant direction le salon pour retrouver mon paquet de cigarette, ma fenêtre, mon cendrier pour fumer dans mon coin. Il sait pas c’qu’il rate. J’veux dire.. il est con. Enfin, c’est dommage quoi. J’ai sourie en le regardant sans rien rajouter de plus. Que dire après tout. Il bade sur moi, mais apparemment c’est pas un mec à ce taper la première fille sexy qui apparaît devant lui. Sinon quoi ? Tu m’sautes dessus pour assouvir mille et un plaisir ? J’ai laissé de la fumer ressortir d’entre mes lèvres, mon regard sur le sien, une main poser sur ma cuisse, celle avec mon tatouage en arbre. Tu penses que je suis ce genre de fille ? J’prends le risque. J’ai ricané en laissant quelques cendres dans le cendrier en face de moi. Pourquoi je te sauterais dessus ? Après tout, il n’y a que moi qui est à moitié à poil là tout de suite.
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