save the dog... and me by the way - emma & evander
J'avais passé pratiquement ma journée entière à me tourner les pouces à l'hôpital de Cambridge pour divers tests que le médecin voulais me faire passé. Mon plus gros soucis était de me faire dire que j'étais pour porter un "pace maker", mais j'étais soulager à la fin de tout ça. Je m'entraîne tous les jours et mon cardiologue était impressionné de voir comment mon coeur était en bonne santé. Encore secouer depuis l'attentat terroriste qui est survenu sur le campus, mais je prend soin de moi sans perdre une seconde. Le fait d'avoir peur de retomber dans une situation similaire est très grande chez moi. J'essaie de dire à ma tante tous les jours que je vais bien lorsqu'elle m'appelle. Elle ne veut pas que je retombe dans un enfer comme ma mère à subi avant qu'elle décède et même si ce n'est pas le même scénario, j'essaie de la soulager en lui disant que rien ne va m'arriver de grave. En sortant de l'hôpital, je me suis dit que d'aller jouer au pool était une bonne idée, mais simplement prendre de l'air m'a fait oublier cette idée. Je marchais tranquille en essayant de ne pas pensé à ce qui est arriver aujourd'hui parce que s'était long et aussi pénible avec tous les tests. Un cris de détreste m'avait fait sortir de mes pensés. Je courru vais cette appel à l'aide parce que s'était plus fort que mon contrôle et surtout que je ne pouvais pas laissé quelqu'un faire du mal à une fille. Les hommes ne m'avait pas vu venir avec mes tactiques d'arts martiaux. Je regardais la jeune femme qui était appuyer contre le mur.
"Ça va tu na rien ??"
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J'avais besoin d'air. J'avais besoin de marcher, dans les rues, de sentir le vent dans mes cheveux et sur mon visage. J'aimais bien faire ça de temps en temps. Me promener, me vider la tête. Ca me permettait d'oublier. D'oublier mes problèmes, et tout le monde savait qu'en ce moment, j'en avais bien besoin. J'arrivais près d'un bar où je m'arrêtais pour boire un verre de jus de pomme en lisant un peu de mon livre avant de reprendre mon chemin. Il faisait plutôt frais, et j'avais pas forcément eu une bonne idée quand j'avais décidé de mettre une jupe sans collants. Résultat ? J'avais la chair de poule partout, mais un peu de fraicheur ne me faisait rien d'autre que du bien. Soudain, je m'arrêtais dans ma marche. Je regardais autour de moi. J'entendais des cris. Des cris horribles. C'était des cris de chiens. C'était un son que je n'oublierai jamais. Ca venait d'une petite ruelle où je m'enfonçais. Je vis un homme, une bouteille de vodka à la main qui frappait dans le ventre d'un pauvre chien sans défense. Il y en avait un autre qui filmait la scène. Je fus prise de peur, cette vision d'horreur que j'avais sous les yeux allaient me hanter la nuit. J'avançais lentement dans leur direction, et bredouillais. Excusez moi...? Vous.. vous devriez taper dans autre chose.. ce chien n'a rien fait.. Les hommes échangèrent un regard et rirent. Une donzelle en cloque qui vient protéger un clébard ! en lança un des deux avant de venir me pousser contre le mur, il était sur le point de me frapper au visage, je le sentais. Je me mettais à crier à l'aide, folle de peur. A L'AIDE !!