C'est le 12 janvier 1990 à Bangkok, que les membres de la famille Panyophat m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Saravana . Je suis statut Célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétéro et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Relations internationales depuis 4 ans et travaille en parallèle de mes études en tant que mannequin pour les magazines masculins (facultatif). Et pour terminer, je voudrais intégrer les Cabot House ou les Eliot House.
Que dire à mon sujet qui pourrait bien vous convaincre de me prendre dans cette fraternité de rubans roses et de froufrous ? D’accord, froufrou et ruban rose sont des grands mots ! Je pourrais bien les changer par sous-vêtements en dentelles et produits de beauté. Est-ce mieux ? Surement, non ? Bon assez de blablas inutiles ! Passons aux choses sérieuses mes blanches neiges et cendrillons de pacotille. Pourquoi me prendre dans votre groupe ? Pour plusieurs raisons. Oublions mon apparence deux minutes ! Ma mère est propriétaire d’une des plus grandes maisons de haute couture de la Thaïlande sans oublie mon bon à rien de père propriétaire d’une compagnie de cosmétique international. Maquillage et vêtement gratuit ça vous dit ? Des gratuités sont toujours les bienvenues ! Bon j’arrête de faire ma lèche-botte pour parler de moi. Qui suis-je et qu’est-ce que j’apporterais dans votre ‘’famille’’ ?
D’un j’apporterais avec moi mon goût de la mode asiatique. Nous savons tous que les plus grands stylistes de ce monde voyagent en Corée du Sud, Japon, Thaïlande, Taiwan pour rapporter avec eux des idées innovatrices basées sur nous. De deux, je pourrais vous apprendre à séduire les hommes dans diverses langues telles que : la Thaïe, le japonais, le coréen, l’italien oublient l’anglais puisque vous le parlez tous ! De trois, mes relations dans l’industrie de la beauté sont déjà établies depuis ma jeunesse. Notamment depuis mon arrivée aux États-Unis, il faut dire que je travaille à temps partiel comme mannequin pour les magazines masculins. De quatre, mon intelligence. De cinq, certes je suis ce qu’on appelle une vraie femme de la tête aux pieds, mais une femme au caractère chaud. Si un homme vous blesse, laissez-moi dire que le lendemain, il serait salement amoché. De six, je reste vraie et ne me cache jamais derrière de fausses facettes. Je trouve celles jouant les innocentes … pénibles ! Je serais donc moi-même. Je vous apporterais ma bonne humeur, mon plaisir de vous faire des plaisanteries et mes mains de fées dans la cuisine ! Imaginez les festins dignes des rois ! Après ça ! J’ignore quoi vous dire ! Je suis nulle pour la vantardise !
Ps: Merci de considérer ma demande.
Eliot House.
Que dire à des gosses de riche sans cervelle ? Qu’un plus un égale fenêtre ? Bon peut-être que vous de comprenez pas ! Inquiétez-vous pas Maman Sara vous apprendras à compter autre chose que des billets verts ! Écoutez mes sages paroles, vous serez capable de sortir de votre piscine d’argent ! Suis-je importante pour rentrer dans cette fraternité ? À vous de voir. Je suis seulement la fille d’un couple faisant rouler l’économie thaïlandaise.Quoi de mieux non ? Vous ne me croyez pas ? Je ne vanterais pas ma famille pour faire plaisir à vos petites personnes ! Regardez les magazines pour en savoir plus ! Oups pardon… vous n’êtes peut-être pas aussi riche ! Je blague mes diamants d’amour.
Vous avez une question qui ne cesse de vous revenir en tête, je ne suis pas étonné ! Qu’est-ce qu’une bimbo comme elle nous apporterait ? Rien d’autre que sa personne ! Il faut dire que je suis celle rendant mon père fou ! Le pauvre ne cesse de dire que ma carte bancaire et crédit est l’homme de ma vie, il n’a pas tort. J’aime bien prendre son argent et non la mienne. Rien d’étonnant, non ? Mais, bon. Il faut que dire que je suis très à cheval sur mes principes. Il n’y a ni cigarette, ni drogue qui me touche, mais bon on ne touche pas à ma bière ou mon verre lors de soirée. Une soirée, mais je consomme que très peu ! Il ne faudrait pas salir la réputation de ma famille !
PS : Nous sommes les meilleurs !
Il y a en nous, une partie de notre vie que nous essayons bien que mal de cachée. Cette faible partie bien visible se cache derrière un voile obscur. Nous désirons tous oublier que notre univers que nous partageons avec autrui n’est plus celui d’autre fois. Dans ce beau monde, l’image de gaité et de joie est le reflet de nos rêveries. Mais, derrière cette toile aux couleurs chaleureuses se cachent les pires cauchemars. Ceux que nous apercevons tous dans les films. Celui que même les dieux ne veulent pas faire face. Vous connaissez ? La peur de mourir ! Cette émotion que nous avons lorsqu’une mauvaise nouvelle nous arrive, celle d’un accident ou lorsque la vieillesse nous prend entrent ses bras. Ou lorsque devant vous, un corps se tient couvert de sang. Ce corps vous ayant protégé d’une mort, la mort qui a capturé l’homme de votre vie.
Janvier 2013 ;
Il n’y avait plus un son, aucun bruit ne lui parvenait aux oreilles. Son souffle lui faisait mal. Elle essayait bien que mal de bouger, mais une douleur lui traversait la jambe. Ses yeux lourds refusaient d’ouvrir. Sa conscience voulait lui cacher l’horreur se cachant derrière ses paupières. Sa gorge assoiffée recherchait une respiration, toussant faiblement, encore et encore avec douleur. Une crainte incertaine lui vient en tête. Pourquoi sentait-elle le sol froid contre son dos ? Des images d’horreur lui reviennent en tête. Une prise d’otage, des cris, son copain la serrant contre son torse en la rassurant, sa propre personne versant mille et une larmes. Que faisait-elle au bâtiment commémoratif ? Oui ! Jun Ko ! Son petit ami depuis son arrivée à l’université. À cette simple réflexion, ses paupières s’ouvrirent et ses yeux émerveiller regardaient la poussière retomber telle la neige d’hiver. Un stresse monta en elle, sa respiration s’excellera, des larmes de peur se mirent à descendre le long de ses joues puis ce qu’elle craignait arriva. La douleur contre sa poitrine était celle d’une personne. D’une main curieuse, elle touchait la chevelure familière, mais ce qu’elle y trouvait était accompagné d’un liquide épais. Relevant sa main, un cri sortit d’elle. Poussant le corps, s’assoyant rapidement, sa jambe lui arrachait un nouveau cri. Son regard rempli de curiosité craintive se déposait sur une jambe ensanglanté. La fuyant du regard, sa vision regardait son bras laissant apparaitre des nombreux bouts de verres. Que s’était-il passé ? Elle avait un simple point de rencontre. Il n’était pas supposé d’avoir de film d’horreur ! Est-ce une caméra cachée ? Elle était surement en train de faire un mauvais rêve ! Pourquoi ? Pourquoi ? Des questions sans réponses.
Se tournant bien que mal, elle regardait l’homme gisant au sol, d’une main craintive, mais douloureuse, elle touchait sa joue en voyant ses grands yeux ouverts. D’une faible voix, son nom sortit. La Thaïlandaise répétait le nom du jeune homme, le répétait, le répétait sans réponse. Il se jouait d’elle. Lui qui avait l’habitude de jouer la comédie ! Lui qui s’amusait à ne pas se réveiller dans son lit pour prendre l’Asiatique par la taille en la couvrant de baise. Il allait recommencer, elle en était sûre ! Non, certaine ! C’était qu’une plaisanterie de mauvais goût ! Jun Ko allait passer un bras autour de sa fine taille, la forçant à s’approcher de lui et de ses douces lèvres l’embrasser comme il savait bien faire. ‘’Allez Jun Ko ! Arrête tes plaisanteries ! Réveille-toi !’’ Tombant contre lui, prise d’une douleur l’envahissant, elle déposait une seconde fois sa main contre sa joue en criant son nom parmi les autres voix vibrantes de la salle. ‘’IDIOT ! Pourquoi ! Réveille-toi ! Nous sommes censés sortir ce soir ! Allez !’’.
En ce froid d’hiver, ce qui avait été autrement un bâtiment commémoratif laissait une nouvelle peinture. Une nouvelle mémoire, des hommes et des femmes combattantes contre la mort. Tandis que d’autres étaient partis.
Elle gisait au sol, un bras contre ses yeux en souhaitant sa mort. Il n’y avait plus rien pour elle. Sa jambe était ouverte et horrible à regarder, son autre bras lui arrachait des douleurs à chaque mouvement. Les spams se faisaient de plus en plus fort, mais son cœur serrait. Serrait sous la tristesse. En moins de quelques heures, elle venait de passer par plusieurs émotions. Tristesse, angoisse, haine, peur, amour tout y avait passer, mais le plus dur allait être le deuil. Le corps sans vie qui lui avait peut-être sauvé la vie était étendu contre elle sans vie. Cette princesse qui respirait avec plusieurs blessures, mais rien que des opérations ne pouvait soignée. Rien de pire, rien de mal …
Ses yeux devenaient lourds, une fraîcheur parcourait sa peau en la caressant de malicieuse caresse. Elle n’avait plus qu’une envie de dormir et d’oublier les cris qui l’entourait. Sa mémoire photographiait les gens rampant au sol, des personnes criant la perte d’un membre. Un spectacle d’horreur qu’elle voulait oublier à jamais. Elle ne souhaitait qu’une chose … disparaitre à jamais. La Thaïlandaise commença à prier, de supplier son dieu de l’apporté ! De lui épargner les gens ! Elle voulait oublier la pièce qui n’était plus rien. Ce lieu glorieux devenu ruine. Ses yeux se fermaient tandis qu’une voix lui vient en tête ‘’venez vite ! Elle est vivante !’’
Avril 2013;
Son corps laissait deux doigts bougés suivis de deux petites perles s’ouvrant. Saravana venait de se réveiller. Son long sommeil venait d’être raccourcit tandis qu’une voix fatiguer apparu ‘’Maman ? Ou suis-je ?’’. Elle qui croyait ne rien avoir venait de subir plusieurs opérations sauvant ainsi sa jambe, une jambe gardant en souvenir une cicatrice partant de la cheville au genou et une deuxième cachée par sa chevelure repoussante. Oubliant ce qui c’était passer.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
Décrivez ici ce que votre personnage a ressenti, sa peur, où il était, etc... (nb : blablabla)
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle votre pseudo et j'ai votre âge. Je suis nationalité et j'ai connu le forum grâce à top-site/forum de pub/autre. Vos impressions sur le forum alors j'ai décidé de m'inscrire OU Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de pseudos de vos comptes actuels (+ maison). J'utilise célébrité comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par crédits. Je fais environ nombre mots par RP et mon personnage est un personnage inventé/scénario crée par Pseudo du créateur du scénario si ç'en ai un.
Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
Je souhaite ▲ (retire la balise i qui ne correspond pas
fa-check = oui ; fa-remove = non)
adhérer un flood d'intégration (?)