Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityspencer « without the bitter the sweet isn't as sweet »
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spencer « without the bitter the sweet isn't as sweet »

Anonymous

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i can live without you but without you i'll be miserable at best

Je venais tout juste de sortir de prison. J’y étais encore il y a une semaine . Une page à tourner, un cauchemar de terminé. J’ai voulu tout recommencer, ou du moins, retrouver ma vie là ou je l’avais laissée, mais je savais que c’était impossible. J’ai senti mon cœur se brisé lorsque j’ai appris que Spencer avait déménagé à Cambridge avec Malhyka. Au départ, ça m’avait mis en colère, mais j’avais plutôt décidé de prendre sur moi et d’aller la rejoindre, la reconquiérir si c’était nécessaire. Elle redeviendrait mienne coûte que coûte. Donc j’avais pris ma voiture et je m’étais dirigé vers cette belle ville qu’est Cambridge. J’y avais rapidement déniché un boulot grâce à mon avocat qui avait fait des pieds et des mains pour que je me réintègre dans la société. J’étais maintenant garagiste. Pas le plus classe des travaux, mais c’est chouette. Et j’avais passé la majorité de mon temps libre à épier Spencer, à la traquer. Enfin, ça sonne vraiment bizarre, mais je voulais savoir ou elle en était dans sa vie. Et je l’ai vu avec lui. Ils étaient si proches, j’avais envie de vomir. Mais elle semblait heureuse. Après tout, c’était tout ce que je désirais, son bonheur. Pourtant, j’aurais souhaité qu’elle m’attende, me laisse tout lui expliquer. Je n’étais pas le monstre qu’elle croyait, que tout le monde croyait. Et j’ai décidé ce soir de lui rendre visite. J’ai attendu qu’il soit environ sept heures pour partir de chez moi et me rendre chez elle. J’avais demandé, plus tôt dans la journée à quelqu’un qui me semblait proche d’elle, son adresse, me faisant passer pour son frère, et maintenant, j’étais prêt. J’allais la revoir. Assis sur le siège conducteur, je me garrai une fois près de chez elle. Je pris une grande inspiration avant de sortir de mon véhicule et de me diriger vers chez elle. Une fois devant la porte, je toquai cinq petits coups et j’attendis que l’on vienne m’ouvrir. Je déglutis avec difficulté.

mots 341 pour spencer notes j'espère que ça ira (a)

becky! of caution 2.0

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Spencer&Maxym

You'reback!?


Plongée sous l’eau chaude de ma douche j’étais si bien. Je fermai les yeux en passant les mains dans mes cheveux, les renvoyant vers l’arrière pour dégager mon visage et je soufflai l’eau qui coulait sur mes lèvres. Passant un bon moment à simplement profiter de la chaleur et de l’eau sur ma peau, je finis par me laver doucement avec mon savon hydratant. J’aimais bien avoir la peau douce, voilà tout. Ma douche terminée, je sortis de là, prenant d’abord une serviette pour essuyer mes cheveux avec. Je les secouai un bon moment avant de poser ma serviette plus loin pour en prendre une plus grande et essuyer mon corps. Y allant de façon stratégique, je suivais toujours le même ordre lorsque je m’essuyais le corps. Je ne sais pas exactement pourquoi, une de mes manies probablement. J’enroulai finalement la dite serviette autour de mon corps, la faisant tenir en place en mettant un petit coin sous une autre partie et je pris la serviette préalablement utilisée pour mes cheveux en sortant de la salle de bain. Je marchai tranquillement vers ma chambre pour aller me mettre des vêtements, le tout en secouant mes cheveux de cette petite serviette lorsqu’on cogna à ma porte. Malhyka n’était pas là, elle avait cours aujourd’hui alors je ne pouvais pas lui demander d’aller ouvrir à ma place. « J’arrive! » Je marchai donc lentement vers la porte, me demandant qui ça pouvait bien être à cette heure. Si on m’avait dit qui se trouvait derrière cette porte, jamais je ne l’aurais cru. C’est pourquoi, lorsque j’ouvris, je m’arrêtai complètement de bouger, fixant le revenant qui me faisait face. J’avais peine à le croire. En cinq ans il n’avait pas changé d’un poil. Maxym. Maxym Abel Coleman. Qu’est-ce qu’il foutait chez moi? « Ma…. Max? » Je fus incapable de parler plus longtemps ou de prononcer quoi que ce soit d’autre. Mon –ex- petit ami qui avait passé ces cinq dernières années en prison était là, devant moi. Il venait de cogner à ma porte comme si de rien était et il attendait sûrement que je l’invite à entrer. C’était incroyable et mon cœur cognait fort dans ma poitrine.
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