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 | Daisy Sylar Freeman fiche; C'est le premier avril 1984 à Dallas, que la famille Freeman m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommée Daisy Sylar. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétéro et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. J'ai étudié à Harvard en Langues, le Français (mineur) ainsi que le Droit (majeur), et j'y ai obtenu un doctorat. A l'époque, je faisais partie des Dunster House. Depuis maintenant 8 mois je travaille comme médiatrice judiciaire. |
Études De base, elle n'avait aucun intérêt à faire de grande études. Parce qu'ayant un poil dans la main ou presque, ça ne la tentait pas plus que ça de passer du temps à étudier, réussir des examens et se prendre la tête, préférant nettement se la couler douce. Enfin, ça, c'était vers ces 13 ans, quand elle était encore jeune et conne, vraiment pas en phase avec la vie et ce qui allait survenir. Et sa mère n'était guère un exemple, ayant lâché rapidement ses études pour trouver un mari à l'avenir prometteur et ainsi pouvoir vivre aisément. C'était d'ailleurs à cause de cette dernière qu'elle fini par se décider à faire des efforts. L'idée de devenir comme elle, presque illettrée et analphabète, idiote comme un pot de chambre de la tentant pas trop, elle se mit au travail, pour de bon. Chose qui ravit son père. Arrivée à Harvard après quelques "arrangements" passés entre elle et son géniteur, son choix se porta sur le droit, ainsi que le français, une langue qu'elle avait toujours appréciée, l'ayant de maintes fois entendues de la bouche de sa grand-mère paternelle. Toute la durée de ses études se passa plutôt bien, entre les notes très bonnes voir excellentes qu'elle obtenait, à force de bosser comme une dingue, ses histoires d'amour toutes plus foireuses les unes que les autres et les conflits à régler. De belles années qu'elle aimerait parfois oublier, et parfois revivre, selon les jours et les souvenirs. Et puis là, son doctorat en poche, elle avait préféré opter pour le métier de médiatrice plutôt que celui d'avocate. Pourquoi ? Peut-être un désir enfoui de faire rager son père, avec lequel elle est actuellement légèrement en froid, ou juste que le prestige et ce qui pouvait aller avec ne l'intéressait pas plus que ça, prendre le partit d'un seul côté non plus. Par contre, régler les problèmes en écoutant ce que les deux opposants pouvaient avoir à dire, et régler le tout de façon relativement pacifique et sans heurts. Tout simplement. | Caractère Loin d'être une garce ou une fille imbuvable, Daisy est relativement sympathique. Une fois qu'on est habitué à ses changements soudains d'humeur, ses élans narcissiques et son petit caractère. Déjà, c'est le genre de fille un peu versatile, qui vous sourit pour ensuite tirer la gueule l'instant d'après. Parce que vous avez dit un mot de travers ou que n'importe quoi la contrarie. Sans être affreusement susceptible, il y a certaines remarques qu'elle supporte bien moins d'autre, surtout concernant son apparence. Parce que oui, sans être d'un orgueil étouffant, le narcissisme existe chez elle, et Sylar aime plaire. Elle passe parfois des heures à choisir ses tenues, et le shopping est surement son sport préféré, tout en ayant un style bien à elle, qu'on pourrait juger de façon critique en disant qu'il n'est pas tout à fait constant. Mais là encore, c'est très subjectif, chacun ses goûts. Élevée par un père immensément riche, elle a tout d'abord été habituée à ce qu'on fasse tous ses caprices, avant que ce dernier décide de lui serrer la vis, et de changer la donne. Elle pouvait avoir ce qu'elle désirait seulement si elle faisait quelque chose en contrepartie. C'est comme ça qu'elle se fit refaire les lèvres, cette envie partant d'un désir de ne pas ressembler à sa mère. Une hantise pour sa génitrice qui encore aujourd'hui dure. Cependant, cela ne fait pas d'elle une fille particulièrement superficielle, elle ne se vante que très rarement de son apparence, ce qui ne vous permets cela dit pas de la critiquer, et elle n'est pas si exigeante que cela avec autrui. En amie d'ailleurs, elle est plutôt sympathique. Même sans avoir un sourire continuellement accroché aux lèvres. Animant souvent son discours d'une pointe d'ironie, elle est du genre à parler avant de réfléchir, et dit bien souvent des bêtises, ne le réalisant qu'après coup, et bafouillant pour s'excuser. Elle reconnait d'ailleurs assez facilement ses torts, sauf en amour, et s'excusera toujours si c'est nécessaire. Sans forcément pardonner, la trahison n'étant que peu acceptée chez elle. En amour, justement, parlons en. Dans la vie de tous les jours, son métier est de régler les conflits entre deux partis, grâce à la parole notamment. Face à un couple se disputant pour un divorce, elle fera des merveilles, tout comme un conducteur de taxi et un client mécontent. Par contre, face à son petit-ami, c'est tout autre chose. Depuis aussi loin qu'elle s'en rappelle, ses histoires d'amour ont toujours été des catastrophes pas possibles. Disputes, tromperies et autres déboires du genre. Sur ce point-là, elle se montre bien souvent naïve, ayant une vision très romantique et vieillotte d'un couple. Et de ce fait, ne multiplie pas réellement les aventures, restant très discrète sur ses affaires de coeur. Pourtant, elle ne fait que tomber sur des idiots, à croire qu'elle les attire comme la lumière les papillons. Ou les moustiques, en l’occurrence. En résumé, Daisy, c'est ça. Il lui arrive parfois de rire pour un rien. Même à ses propres blagues pas drôles. Elle vous boudera parce vous n'aimez pas la couleur de ses ongles (elle en change très souvent, et les aimes très longs) mais vous pardonnera quelques minutes plus tard. Elle déteste les conflits, donc en cas de disputes, c'est la personne idéale à venir voir, surtout qu'elle adore aider. Elle peut aussi faire office de grande sœur, ayant les pieds sur Terre, et habituée à faire preuve de maturité quotidiennement. Cela dit, éviter de la prendre pour un pigeon, ou la bonne amie dont on se débarrasse dès qu'on en a envie. Parce que niveau vengeance, sans verser dans la cruauté, elle peut se montrer très retors. C'est vrai, même de bonne humeur, ce n'est pas la fille la plus souriante du monde. Loin de là. Un petit air mélancolique étire souvent ses traits, mais quand vous avez la chance de la voir sourire, cela en vaut vraiment la peine. Parce qu'elle est mignonne, Daisy, quand elle sourit. Et le lui faire remarquer la fera rougir, irrémédiablement. C'est surement à cause de ça qu'elle se fait si facilement avoir par les imbéciles. Quelqu'un qui lui apprendrait à ne pas écouter tous les compliments serait fort pratique. |
Everyone Has Their Own Story
Dallas, aux alentours d'Avril 2000
Une dispute de plus avec mon père. Ça devient presque habituelle, routine assommante dont je commence à me lasser, sincèrement. Seulement, lui comme moi, on risque pas de lâcher l'affaire. Il veut que j'aille étudier à Harvard d'ici mes 18 ans, et moi, je veux cette opération. Agacée que je suis de me voir dans un miroir et penser à elle, ou encore, me faire dire que j'ai sa bouche. Je ne veux rien avoir d'elle, hors de question. Juste l'idée d'avoir quelque chose en commun avec ma mère m'horripile. Je sais qu'il y a des choses que je pourrais jamais effacer, nos liens de sang entre autre, mais l'apparence, je peux y remédier. Ouais, ça fait sacrément capricieuse et superficielle, mais chacun ses petits travers, hein. Enfin bon. Je sais qu'il va finir par céder, mais je déteste me disputer avec lui.
Cambridge, Décembre 2002
Non, je ne m'attendais pas à ce que ce soit comme ça. Et non, ça ne m'inquiète pas. C'est clairement différent de Dallas, c'est sur. Et oui, je suis dépaysée. Heureusement que mon cher cousin est là. C'est lui qui à passé le mot sur mon surnom absolument fabuleux. Ducky. Ça ressemble à mon prénom, en plus de ça. Tout ça à cause de mes lèvres. Pourtant, moi je les aime bien, mais lui, il a toujours été si idiot. Difficile de croire qu'il est pourtant la personne la plus proche de moi sur cette terre, ou du moins, celui qui en sait le plus sur moi.
Oh, et on a du se présenter, ce matin. En soi, ça me dérange pas, on me dit souvent que je parle beaucoup en plus de ça. Ça doit être plutôt que j'ai du mal à parler de ma mère sans avoir l'air agacée. Et puis bon, rien de passionnant. Je suis née à Dallas le premier avril 1984. Fille unique de Kevin Freeman, possédant une célèbre marque de luxe de matériel de golf, et Miranda Smith-Freeman, femme au foyer sans la moindre carrière ni intérêt. Oui, je n'aime pas ma mère. J'ai parfois presque honte d'être l'enfant d'une femme possédant si peu d'ambition et de culture. Et comme elle ne s'est jamais vraiment occupée de moi, plus intéressée par le fait de se la couler douce à la maison, on a jamais vraiment noué de liens. Après, j'ai été élevé par mon père avec un but précis. Être la meilleure. Par rapport à qui ? Plus que surpasser tous les autres m'entourant, il désirait que je sois meilleure que le fils de son frère. Le fameux cousin. Mon père et son frère avaient toujours été en compétition, de ce que m'a raconté ma grand-mère, et visiblement, ça allait devoir continuer avec leurs enfants. Pas très réjouissant.
Bon, en cours, je leur ai passé l'histoire de la compétition, ça pourrait sembler étrange et surtout, ils ont pas forcément besoin de le savoir. Encore moins le fait que grâce à ça, j'ai pu faire un peu de chantage à mon père pour obtenir certaines choses. Faut dire qu'il est devenu tellement radin, et sans être dépensière à mort, il y a des choses que je ne peux pas me payer toute seule.
Cambridge, septembre 2010
Je commence à avoir hâte que les études se terminent. J'ai envie de bosser, de faire ce que j'aime. On s'est encore disputé avec mon père. Il veut que je sois avocate. J'ai aussi cru, pendant un temps, que c'était ce que je voulais. Mais non. Autant avant, je prenais à coeur cette compétition imposée par nos parents respectifs entre mon cousin et moi, autant à présent, ça n'a plus d'intérêt à mes yeux. Je sais pas trop ce qu'il en est de lui, et actuellement, je m'en fiche un peu.
Notre relation à toujours été assez ambiguë, selon mes amis. Quand on se croise, on ne peut pas s'empêcher un échange virulent de phrases mesquines, et pourtant, on s'adore. Parfois, je me suis même demandée si je n'étais pas amoureuse de lui, et c'est troublant. Surtout en sachant que je ne supporte pas de le voir avec une fille. Peut-être juste par peur de perdre son attention. Ça doit être ça, ouais.
Cambridge, Janvier 2012.
Un problème de plus de régler. Un couple en instance de divorce qui n'arrêtait pas de se disputer pour plus ou moins tout et rien. Bijoux, maison, voitures, meubles, etc. Il m'a bien fallu 3 heures et une grande dose de patience et diplomatie pour en venir à bout. Impressionnant comme les gens ont parfois tellement de fierté qu'ils sont incapables de céder quoi que ce soit à l'autre. Le genre de dispute sans issue que je suis sensée régler, quoi. Et franchement, j'aurais préféré faire des heures supplémentaires.
Rendez-vous avec Henry ce soir. J'arrive un peu plus tôt que prévu. Pour une fois que je ne suis pas en retard. J'entre, comme à mon habitude, et je le vois sortir de la douche. Rien de surprenant. Dieu qu'il est sexy. Sauf que lui n'a pas l'air franchement ravi de me voir. Et je comprends rapidement pourquoi, quand je vois une greluche de même pas 20 ans venir le rejoindre, portant une de ses chemises , celles que je lui ai offerte pour son anniversaire. Super. Fabuleux. En bref, encore un autre mec à jeter.
Argh, je veux retourner au bureau et oublier ça. Boire c'est pas mon truc, je tiens pas l'alcool. Allez, un soirée devant la télé avec de la glace !
the face behind
 | ↬ PSEUDO/PRÉNOM - Scar. & Marion. ↬ ÂGE - 19 ans. ↬ PAYS/RÉGIONS - Montréal (mais originaire de Suisse). ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - J'ai à la recherche d'un forum à avatars réels, histoire de tenter au moins une fois l'aventure, et voilà. ↬ TES IMPRESSIONS - Joli design, j'aime beaucoup. Et impressionnée par le monde présent. ↬ CRÉDIT(S) - Tumblr & me. ↬ AVATAR - Lana Del Rey. ↬ SCÉNARIO OU PI? - PI. ↬ LE MOT DE LA FIN - 8D. |
(Invité)
Lana quoi 