june and evander ► this is what friends are for and maybe more

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June A.-M. Moires & Evander N. Kane

S'était une journée assez spéciale. Ma famille était en ville et Joey avait subis une chirurgie pour ne pas qu'il puisse se reproduire avec d'autre de son espèce. Pauvre lui. Cette chirurgie l'avait mis pratiquement dans tous les états, mais ce soir, je crois qu'il aimerait plutôt voir un autre visage que la mienne. Parfois, il m'arrive d'être un gentleman, mais ceci est pour une fille que je suis amoureux depuis sois disant quelques semaines, je n'abandonne jamais ma route. Elle avait se caractère de dragonne ici et là et je trouvais ça séduisant. Elle a une tête dure comme la mienne et parfois, c'est difficile de jouer avec ça. Je ne suis pas gêné pour lui apporter des choses qu'elle aimait. Popcorn, films, chocolat (même si c'est plus pour moi) et enfin... des choses pour qu'elle puisse sentir confortable et aussi pour qu'elle puisse réaliser que maintenant, ce n'est plus un jeu. Enfin, elle peut croire ce qu'elle désire, mais pour moi, je veux atteindre cette chance et de ne pas me faire croire que je ne suis pas sur le bon chemain. Joey était confortablement au chaud dans mon foullard dans mon manteau et je marchais vers la maison des Lowells pour aller la voir. J'étais nerveux en cognant à sa porte et j'attendais patiament.

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Mon retour du spring break m’avait fait le plus grand bien, je me demandais même si ça avait été une bonne idée d’y aller, de toute façon en ce moment où que j’aille je ne me sentais pas bien dans ma peau, surtout à cause de mes jambes. Toujours handicapé je marchais avec des béquilles et pour moi les progrès que je faisais restaient insuffisants. J’avais l’impression que je ne danserais plus jamais, ça me faisait mal et la plupart du temps je passais ma colère sur les autres. J’avais l’impression de devenir invivable et je l’étais sûrement, je changeais mais pas en bien. J’étais de retour dans ma chambre, à faire la loque sur mon lit, à regarder la télévision en me disant que ma vie était bien mieux avant qu’un fou furieux me mette une balle dans la jambe. Contemplant mon écran j’entendis quelqu’un frapper à ma porte, il se faisait tard, la nuit était déjà tombée et je me demandais qui venait me voir à cette heure ci. Je vis alors Evander, un sourire s’afficha sur mon visage, depuis quelques temps on se draguait plus ou moins et ça me faisait toujours plaisir de le voir : « Bonsoir, je ne m’attendais pas à ta visite ! ».

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June A.-M. Moires & Evander N. Kane

Je ne faisais que pensé à elle et s'était difficile d'oublier son visage même avec son caractère typique d'une fille qui n'aime pas se faire jouer dans le dos. Je ne ferais jamais ça avec elle parce que c'est évident que je veux simplement son bonheur. Je prenais mon courage à deux mains parce que je voulais absolument qu'elle puisse voir à qu'elle point elle est importante à mes yeux. Ce qui m'avait donné de l'encouragement en la voyant sourire et surtout avec des yeux aussi pétillant comme les siens. Je lui offrait mon plus beau sourire aussi et Joey sortie sa tête de mon manteau et commençait à se débattre en voyant June. "Salut toi... je suis venu te tenir compagnie si tu veux bien de ma présence bien sûr et j'ai aussi pensé à toi dans ce sac..." Dis-je en lui donnant aussi un clin d'oeil parce que c'était bien une marque d'affection que je lui donnait quand on se croise. Je laissais sortir Joey pour qu'il puisse marcher tranquille. Sa chirurgie était encore fraiche, mais je ne pense pas que ceci le dérange pour autant.

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Un sourire c’était forcément dessiner sur mon visage car j’aimais bien passer du temps avec Evender, je prenais alors le sac qu’il me tendit me demandant bien ce qu’il y avait à l’intérieur, je n’en avais aucune idée. En tout cas c’était gentil, ce n’était pas si souvent que j’avais un petit cadeau de la part d’un beau garçon comme lui : « C’est quoi ? C’est gentil ! ». J’étais très souriante, ensuite je vis son petit chien sortir de son écharpe et commençait à marcher mais en l’observant je voyais bien que quelque chose était différente, je lui demandais alors, surprise : « Tu l’as fait castrer ? Le pauvre ! ». Oui après tout je me demandais pourquoi il avait fait cette opération, je n’en avais aucune idée.

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June A.-M. Moires & Evander N. Kane

"Ce n'est pas grand chose. C'est pour te remonter le moral et parce que j'aime te voir sourire alors..." dis-je en laissant June prendre le sac et elle était vraiment magnifique en la voyant sourire. Simplement la voir heureuse, elle me donnait envie d'aller décrocher la lune pour elle et de lui faire voir le monde dans sa plus grande splendeur. Je regardais Joey qui entrait chez June et allait se coucher dans le salon. Je le voyais en douleur, mais je n'avais pas le choix. Même si je fais mes études en médecine vétérinaire, je n'ai pas le temps de m'occuper d'une porter de chiot. Même si Joey adore les femelles de son espèce, c'est pour son bien. "Ouais bien... je ne veux pas me retrouver avec une armée de chien chez moi. Enfin... pas maintenant... alors... si tu ne fais rien... on peut passé la soirée ensemble..."

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Je regardais ce qu’il y avait dans le sac, je prenais les chocolats, j’adorais ça et en général ça me remontait bien le moral. Je souriais alors avant de lui répondre : « Merci, j’adore les chocolats ! ». Je me mis à rire. Puis il parlait de son chien et le fait qu’il soit castré parce qu’il ne voulait pas avoir des petits chiots partout mais je trouvais ça vraiment dommage que le petit n’est pas eu au moins une portée de chiots. Je lui répondis alors « Ben fallait juste l’empêcher de voir une femelle… Le pauvre il ne sera jamais ce que c’est d’avoir une copine ! ». Et oui, le petit chien était condamné au célibat à perpétuité. Il me proposait ensuite de passer la soirée ensemble et je lui répondis en hochant la tête : « Merci, c’est avec plaisir, ça me changera de mes séries… ». Je pris le petit chien contre moi afin de la câliner.

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