Earlena "Lena" Anjali Paniandy ► Jennifer Lawrence

Pour en savoir plus sur moi

« Bonjour, je suis Earlena Anjali Paniandy-Greenleaf Kapoor. Je suis âgée de vingt-deux ans et je suis en troisième année de médecine et design de mode à Harvard. Je voudrais devenir urgentiste dans le service pédiatrique. Pourtant, la médecine et la mode sont deux domaines totalement différents, mais qui me tient à cœur. La médecine parce que j'aime étudier de nouvelles choses concernant les maladies et le corps humain, aider les gens dans leur combat pour la vie, guérir les petits bobos plus ou moins graves. En ce qui concerne la mode, c'est une vraie passion, j'adore dénicher les bonnes adresses pour trouver de beaux vêtements, mais aussi aider les femmes et les hommes à se sentir mieux dans leur peau, traîner dans les boutiques pour faire du lèche-vitrine. Créer ma propre ligne de vêtements serait un de mes plus grands rêves ayant une âme très créative, j'aimerai faire partager ma créativité au monde entier un peu comme Brooke Davis. D'ailleurs je tiens à mes heures perdues un blog sur ce sujet. 

Je suis allergique aux fruits de mer (crevettes, moules, gambas ect.) si je suis en contact avec une personne qui a touché à ce que je ne peux pas manger en ne se lavant pas les mains, je peux me mettre à avoir des angio-œdème (gonflements profonds, comme l'œdème de Quincke) et l'eczéma. C'est pour ça que j'ai toujours une piqûre de médicaments sur moi. Dans le cas contraire, il faut tout de suite m'amener aux urgences sinon je risque d'en mourir. Concernant mon caractère, je suis, égoïste, une vraie peste quand on touche aux personnes que j'aime et / ou apprécie, spontanée, une femme fragile sous ses airs de femme forte, à un rire communicatif, qui aime rire, caractérielle, impulsif, expressif. J'ai plusieurs cordes à mon arc comme savoir danser la danse indienne, chanter, danser. Je suis aussi ambidextre et donc peut-écrire des deux mains. J'aimerai aussi savoir me défendre avec un tir à l'arc comme Arrow ou encore Katniss dans Hunger Games. »

Mon Enfance et Adolescence

J'ai vu le jour le 14 août 1992 à Delhi en Inde. Il est vrai qu'en me voyant avec une couleur de peau aussi blanche, blonde aux yeux bleus, on ne dirait pas que je suis d'origine indienne. Et pourtant si. En effet, mon père est Hindou, un grand producteur de cinéma Bollywoodien connu dans ce pays et à travers la planète entière. Tandis que ma mère était une blanche américaine avec des origines italiennes ayant comme religion le christianisme. Autant dire que leur histoire d'amour a été compliquée dès le début à cause de la différence culturelle, mais aussi de religions. Heureusement qu'ils ont su trouver un compromis dans leurs différences pour un amour sincère et des plus beaux. Malgré le fait que la famille Paniandy-Kapoor a eu du mal accepter une femme venant d'un pays étranger, mais finalement l'amour a triomphé. C'est trois ans après leur mariage mélangeant les deux religions (traditions et modernités) que je vois le jour en plein mois d'août par une journée d'été. Étant une fille avec deux cultures, j'ai été finalement baptisée. Pendant les six premières années de ma vie, j'ai voyagé entre l'Inde et l'Amérique. De mes zéros à trois ans, j'ai vécu à New-York et de trois ans jusqu'à six ans en Inde dans la ville de ma naissance. Jusqu'à ce que ma mère décède brutalement dans un accident d'avion. En effet, celle qui m'a mise au monde était partie présenter son projet pour révolutionner le monde à l'aide de nouvelles technologique. Oui, elle était ingénieur. Depuis ce jour, j'ai la trouille et je refuse de monter dans les avions, quitte à prendre d'autres moyens de transport et faire un très long détour.

Malheureusement, j'ai dû apprendre à grandir sans cette présence et modèle féminin. J'ai eu peur que mon père fasse une dépression en ayant perdu la femme de sa vie. C'est vrai que la première année a été la plus difficile pour nous, le temps de faire notre deuil, de reprendre un nouveau rythme. Mon père s'est alors jeté corps et âme dans son boulot faire des films, et écrire de nouvelles histoires les plus romantiques les une que les autres ce qui a bercé mon enfance. Bien sûr, il ne m'oubliait pas. D'ailleurs, c'est grâce à ses films que je suis dans une famille plus qu'aisée en étant dans une famille l'une des plus puissantes dans l'industrie du cinéma. Kapoor voilà ma famille entre les actrices, acteurs, réalisateurs. Dire que je n'aurais pas grandi dans cet univers serait mentir. En effet, durant mon adolescence, j'ai parcouru le monde avec mon père pour tourner dans quelques-uns de ces films dans un petit rôle de figurations surtout lors des passages de danse, mais j'ai été l'égérie de plusieurs marques à mon paternel. Malheureusement, ce havre de paix s'est gâté lorsque mon père tombe amoureux d'une femme venant de la très haute bourgeoisie indienne. (J'avais treize ans) Ayant déjà trois enfants, autant dire que je me suis sentie rejeté avec cette femme que j'appelle la sorcière. En effet, celle-ci n'acceptait pas que je vienne d'une précédente union et que je ne sois pas totalement indienne ayant des origines américaines et italiennes. Surtout que je suis blanche, blonde aux yeux bleus et chrétienne. Autant dire que je voyais clairement les préférences, sachant que ses enfants (deux filles et un garçon) - qui étaient plus âgés - me faisaient les quatre cent coups et que je prenais à chaque fois. Il m'arrivait de prendre des coups, de me faire tabasser par mes belles-sœurs et frère quand les parents n'étaient pas dans le coin. Oui, je me laissais faire au début, mais un jour, j'en ai eu plus que marre d'être le souffre-douleur, je me suis transformée en pire des garces avec ces diablotins pour me venger.

Ma jeune vie d'adulte

Ceci est juste une carapace qui cache derrière plusieurs faiblesses comme la mort de celle qui m'a mise au monde, mais aussi du dernier garçon que j'ai aimé avec qui j'étais fiancée, mais aussi le rejet de ma belle-famille parce que j'ai souffert. Les seuls moments où je pouvais être moi-même et me sentir bien étaient lorsque j'étais avec la famille de ma mère en Amérique. Je peux paraître hautaine, indifférente, avoir une assurance plus que déterminée et quelques fois être méchante, mais ceci cache des peurs. La peur d'être rejetée, d'être pris pour un jambon. Je veux paraître forte, prétendre, avoir besoin de personnes, mais c'est tout le contraire. Je suis une femme juste sensible, drôle, joyeuse et tactile et surtout une bonne vivante.  


J'ai finalement grandi comme les personnes présentes sur cette terre. Je suis devenue une belle jeune femme qui a finalement pris son envol en prenant en partant en Cambridge dans le Massachusetts pour aller étudier la médecine et le design de mode afin de devenir médecin urgentiste en pédiatrie, ou bien créatrice de vêtements pour bébé et / ou femmes et hommes. Enfin mes projets ne sont pas encore très bien définis, mais je combine mes études avec plaisir et passions. Avant d'en arriver où j'en suis, j'ai vécu un drame personnel côté cœur. En effet, le dernier homme que j'ai aimé est décédé d'une maladie incurable. Nous étions fiancés. Cela s'est passé il y a un an. De plus, il étudiait à Harvard aussi. J'aurais très pu partir pour aller dans une autre université, mais avoir son souvenir, sentir sa présence me fait du bien. Je revois souvent mon père où je l'accompagne lorsque je peux sur les tournages, tandis qu'avec ma belle-famille, j'ai coupé les ponts avec elle, estimant qu'elle m'avait trop de mal pendant mon adolescence. Tandis que la famille du côté de ma défunte mère est toujours aussi gentille envers moi. J'en suis très reconnaissante. Je suis désormais en troisième année à Harvard où je continue mon petit bonhomme de chemin avec mes coups de coeurs et de gueule. Malheureusement, je viens d'apprendre par une fichue lettre que mon paternel n'est pas mon père de sang, mais adoptif. En effet, celui qui a mis la graine dans le ventre de ma mère était un homme qui n'a pas voulu assumer ses conneries. Leur histoire a duré quelques semaines. Lorsqu'elle a rencontré l'homme que je pensais être mon père, elle est tout de suite tombée amoureuse de lui, lors d'un voyage pour des vacances. Cet homme m'a élevé comme si j'étais sa propre fille - ce qui je pense me considérai comme telle et du fait que je ressemble autant à la femme qui a éperdument aimé - je suis maintenant en colère, blessée et anéantie par tous ses mensonges. En même temps, je m'en suis toujours doutée, mais je l'ai nié bien que les différences étaient trop grandes entre cette famille et moi. Il faut laisser le temps d'agir, de pardonner. Suite à ce retournement de situation, j'ai décidé de porter le nom de ma jolie et tendre maman.