Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitykol&antwan ❝ gros foutage de gueule gratuit ❞
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kol&antwan ❝ gros foutage de gueule gratuit ❞

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Tout semblait progressivement s’arranger avec Elizabeth, on recommençait à avoir le sourire quand on était tous les deux, on recommençait même à rire ensemble et ça c’était comme un cadeau inespéré. Pendant des mois et des mois je m’étais efforcé de faire mon maximum pour que tout redevienne à peu près vivable entre nous deux et j’avais fini par réussir, Liz’ avait fini par accepter de me pardonner. Rien n’était cependant réglé, il restait beaucoup de choses qui n’allaient pas, qu’on ne se disait pas même si on s’était dit beaucoup de choses ses derniers temps. Un problème majeur subsistait à tous nos problèmes … notre amour et le fait que Liz’ soit avec quelqu’un d’autre. Je n’avais pas vraiment envie de le voir, je n’avais même pas envie de le connaitre, il était hors de question que lui et moi on se croise, enfin du moins que l’on se recroise, puisque l’on s’était déjà vu à l’appartement de Liz’ durant Thanksgiving, une soirée mémorable d’ailleurs en y repensant. Je ne voulais pas non plus que l’on se parle, en même temps pour quoi dire au final ? On ne partageait rien, si ce n’est Elizabeth. La seule chose que je connaissais de lui c’était son prénom et vite fait son foutu visage qui ne me revenait d’ailleurs pas du tout. Qu’est-ce qu’elle pouvait bien lui trouvait à ce mec ? Il n’était même pas attirant physiquement … je la comprenais pas trop sur le coup, mais bon connaissant Liz’, il devait bien avoir des qualités tout de même. Je m’étais d’ailleurs rendu dans sa chambre d’hôtel pour lui rendre une petite visite étant donné qu’elle était toujours malade et donc cloitrer entre quatre murs. Au moins ont partagé quand même de bon moment. Je ne m’étais cependant pas vraiment attardé étant donné que Calypso était dans la chambre également, on ne pouvait pas vraiment dire que je partageais beaucoup avec la « femme qui partageait la vie de Lizie, mais bon on se supportait quand même. Rebroussant chemin direction ma chambre d’hôtel car il commençait à se faire tard quand même malgré tout, je finis par me stopper net en voyant un visage qui m’était plutôt familier … ouais pas manqué, c’était le pauvre type que j’avais pas du tout envie de voir. Merde. Sur tous les étudiants d’Harvard qu’il y avait dans ce fichu hôtel, il avait fallu que je tombe sur celui que je ne voulais pas forcément voir, magnifique. Et bien sûr à ce moment-là, alors que j’aurais dû fermer ma gueule bien gentiment et continuer mon chemin sans vraiment avoir fait attention à lui et bien non, il avait fallu que je l’ouvre comme d’hab. Kol par moment tu cherches vraiment à foutre la merde, c’est fou quand même. « La chambre de Liz’ est au fond du couloir au fait, au cas où tu sois perdus ! » lui avais-je dis en le regardant avec un petit sourire en coin sur le visage, pour encore plus en rajouter des couches. Une vraie tête à claque par moment.  

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Le Spring Break s’achève dans peu de temps. Malheureusement pour elle, Lizie ne peut pas profiter des derniers jours à cause de sa fichue maladie. Je me sens presque mal d'apprécier mes journées à la plage alors qu'elle est clouée au lit. La journée se termine doucement et c'est déterminé à remonter le morale de la malade que je monte les escaliers. Je n'ai pas le temps de faire quelques pas que je vois Kol sortir de la chambre de Lizie et s'approcher. Va savoir ce qu'il fait là. Ce mec doit encore espérer une nouvelle chance de la part de la présidente Lowell. Malgré mon étonnement largement dissimulé sous mes traits confiants, je continue de marcher vers la chambre de ma petite amie. On n'entend que le bruit régulier de nos pas jusqu'à ce que le garçon brise ce rythme une fois à ma hauteur. « La chambre de Liz’ est au fond du couloir au fait, au cas où tu sois perdus ! » Essayez de trouver l'utilité de ses mots, parce que j'la trouve. « Merci de me rappeler où se trouve la chambre de ma petite amie. » J'accentue volontairement sur le dernier mot. Provocation involontaire. « Alors comme ça vous vous reparlez ? » fis-je au winthrop avec un sourire forcé sur le visage. Autant chercher des informations tout de suite.
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En voyant Antwan dans le couloir, j’aurais peut-être dû me taire au final. Je le savais que ce n’était pas très bien joué d’avoir fait ça, de l’avoir ramené alors que je suis sûr que rien ne se serait passé si l’on était passé l’un à côté de l’autre, peut-être deux simples regards échangé, mais rien de plus. J’avais su allumé le feu, je jouais encore à un jeu plus que dangereux. Je savais très bien que si cela ne se passait pas bien, Liz’ m’en voudrait forcément d’avoir su foutre la merdre en provoquant volontairement son petit ami. C’est pour cela que au lieu de jouer au plus malin, j’aurais dû ne rien dire, et surtout ne pas souligné avec joie et subtilement que je venais de sortir de la chambre d’Elizabeth. Je pense que là, sur une échelle de un à dix de la « conneritude » je devais facilement être arrivé à huit ou neuf pas loin. Et puis autant bien enfoncé le clou tant qu’on y est en continuant cette conversation qui pouvait partir en vrille à tout moment me connaissant. « De rien, c’est gratuit, et avec le sourire en plus, si ce n’est pas merveilleux ça ? » Il avait bien insisté sur le mot « petite-amie », lui aussi il savait provoquer. S’il voulait jouer à ce petit jeu, il n’allait pas être déçu. « On n’a jamais arrêté de se parler, Liz’ s’est juste éloignée un petit moment et moi aussi par la même occasion ! Aujourd’hui tout est revenu plus ou moins dans l’ordre. Sa te pose un problème peut-être ? » lui avais-je dis bien décidé à le faire chier plus ou moins gentiment. Enfin pour le moment ont essayé de rester calme, et on la jouer à la cool.

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J'ignore c'que le winthrop a fait dans la chambre Lizie. Peut-être qu'ils sont engueulés ? Cette simple idée me rassure, mais si c'était le cas je doute que le garçon m'aurait adressé la parole. Or, actuellement il me cause essayant de me provoquer du mieux qu'il peut. « De rien, c’est gratuit, et avec le sourire en plus, si ce n’est pas merveilleux ça ? » Il veut jouer avec de beaux sourires. Soit. C'est donc avec ce même sourire hypocrite que je lui pose ma question. « On n’a jamais arrêté de se parler, Liz’ s’est juste éloignée un petit moment et moi aussi par la même occasion ! Aujourd’hui tout est revenu plus ou moins dans l’ordre. Sa te pose un problème peut-être ? » Mouais, il dira ça à quelqu'un qui veut bien croire en son amitié avec Lizie. Pas à moi. S'ils se sont bien rabibochés, comme il le dit si bien, j'leur donne pas une semaine avant qu'une autre dispute ne les séparent. « Nan, pas du tout voyons. Je ne suis pas aussi jaloux que certain. » Comme certaines personnes comme Kol, évidemment. Mais il est vrai que leur  rapprochement me gène. « Mais évite de lui briser le coeur, okay. » Menace.. hm.. va savoir. Dans tous les cas, il devrait éviter d'être trop proche de Lizie car il finira par lui faire du mal.
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Si sa continuait comme ça, ça n’allait surement pas tarder à déborder, le vase était déjà bien trop pleins et il n’en faudrait surement pas beaucoup pour me chauffer et me faire exploser. Impulsif le Kol ? Ouais, beaucoup trop même, et c’était parfois un vrai problème, car par moment j’agissais plus que je ne réfléchissais … un vrai mec quoi, mais putain que ça pouvait être handicapant et surtout néfaste par moment. Cependant je comptais tant bien que mal rester un maximum calme, tout en lui envoyant le plus le pic possible, en restant malgré tout dans la limite du raisonnable. Je n’avais pas envie de me faire taper sur les doigts par Liz’ après. Elle m’avait déjà assez fait la gueule comme ça, pas besoin de renvenimer les choses. « Cela m’étais directement destiné je pense, tu sais tu aurais pu le dire directement, ça aurait été bien plus simple ! Et je vais te répondre que la jalousie n’est pas tout le temps quelque chose de mauvais, au moins ça prouve que je m’intéresse à Liz’, et que je tiens sincèrement à elle. Tu devrais peut-être en faire autant ! Et puis ma jalousie n’a jamais beaucoup empiété sur sa vie sentimentale, certes je suis jaloux, mais je ne m’opposerai jamais à son bonheur si elle est bien avec toi … même si sa me tue de te voir avec elle ! » lui avais-je dis avec un regard noir, le fixant droit dans les yeux. « Je ne compte pas lui briser le cœur, ne t’inquiètes pas pour ça. Mais je redis pareil pour toi, si tu lui fais le moindre mal, si j’apprends une seule fois qu’elle a versé la moindre larme à cause de toi, je pense que tu auras très vite de mes nouvelles ! » Un avertissement ? Oui s’en était bien un, et il avait bien intérêt à ne pas lui faire du mal, car la prochaine fois qu’il me verrait ce ne serait certainement pas pour prendre le thé mais bel et bien pour lui casser la gueule. Et cette fois il n’y aurait plus Liz’ pour le protéger de ma colère.  

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Est-ce qu’on est vraiment obligé de jouer à ce jeu ? Kol ne m’aime pas et je ne le porte pas dans mon cœur non plus, alors pourquoi venir me parler et jouer avec des sous entendus ? Pour autant, je ne m’arrête pas, lui lançant un pic à mon tour. Croyez pas que je vais lui offrir le dernier mot. Le garçon parle de sa jalousie. Jalousie, qui d’après lui, n’influence pas la vie sentimentale de son ex. Ben voyons. « J’ai pas besoin d’être jaloux de toi pour  tenir à Lizie. » Je marque une pause en gardant le sourire et une attitude posée. « Mais si ta jalousie n’empiète pas sur sa vie amoureuse, alors  c’est parfait. » Bon j’vais pas me leurrer. Kol est l’es le plus  dangereux et le plus jaloux. Il influencera surement  les amours de Lizie. Et puis, peut-être qu’il l’aime toujours. « Je ne compte pas lui briser le cœur, ne t’inquiètes pas pour ça. Mais je redis pareil pour toi, si tu lui fais le moindre mal, si j’apprends une seule fois qu’elle a versé la moindre larme à cause de toi, je pense que tu auras très vite de mes nouvelles ! » L'avertissement du Winthrop me fait doucement rire. C'est pour ce mec que Lizie a beaucoup souffert et pleurer et il ose me dire ceci. C'est assez paradoxal. « Je tacherai de ne pas prendre exemple sur toi. »
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