Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityOrsay Loïs Pewbeïzon - Elle Fanning
Le deal à ne pas rater :
SSD interne Crucial BX500 2,5″ SATA – 500 Go à 29,99€
29.99 €
Voir le deal


Orsay Loïs Pewbeïzon - Elle Fanning

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Orsay Loïs Pewbeïzon
fiche; en cours - terminée

C'est le 29 septembre 1994 à Phoenix, que la famille Pewbeïzon m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Orsay. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis Hétérosexuel et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée. J'ai décidé de poursuive des études à Harvard en Danse, je suis maintenant en Première année. Et pour terminer, je fais partie des quincy house.

Études
La vie s’en ai voulue, à force de jouer des farces, quand elle s’est rendue compte de ce qu’elle avait fait de la petite Pewbeïzon. Une gamine très studieuse depuis son plus jeune âge, avec les capacités de faire de grandes et belles études en médecines ou encore en droit. Mais non ! Elle, elle préfère l’atmosphère de la scène et des coulisses. Une ambiance dont elle a pris goût très tôt et qu’elle compte bien perpétuer encore longtemps. Pour la bonne raison qu’elle a failli voir son « rêve » se briser quand elle a eu son accident à la montagne. Quand on lui a dit qu’elle ne pourrait peut-être plus jamais danser à nouveau, Orsay a pris sur elle et malgré la douleur, a enchainée des heures et des heures de rééducations, puis de danses… Quand elle est entrée à Harvard, elle as vu l’espoir, disons… Renaître. Toujours aussi studieuse, Orsay enchaîne maintenant en plus des séances de rééducations (elle n’a jamais parlé à personne de ces séances), les cours à Harvard, Les soirées arrosées et autres tapages nocturnes en tous genres !


Caractère

Orsay est une jeune fille des plus déterminée. Elle sait ce qu’elle veut et fait tout pour l’avoir. Loin de toutes les poufiasses superficielles, Orsay reçois souvent des critiques sur son attitude très studieuse. Elle tire toutes les leçons des erreurs qu’elle fait et de celle des autres. Toujours à donner son avis; Avec ses amis, Orsay oublie le travail et deviens vraiment elle-même. C’est vous dire ! Très émotive même si elle déteste qu’on le remarque, elle s’énerve souvent pour pas grand-chose. Elle peut rire puis pleurer ou vous insulter puis vous complimenter. Un peu moqueuse et ironique, son humour est souvent une source de chaleur pour ses amis. Innocente en apparence mais impulsive en réalité, Orsay est un peu la « petite sœur » des Etudiants de Harvard.


Everyone Has Their Own Story
"Il suffit d'un pas, d'une erreur..."
On aurait dit que j’étais prise au piège d’un cauchemar terrifiant, un de ceux où l’on est forcé de fuir, de courir jusqu’à ce que nos poumons donnent l’impression d’exploser, sans que l’on réussisse pourtant à bouger assez vite. Mes jambes paraissent s’engourdir au fur et à mesure que je me fraye un chemin parmi les grands arbres, de cette sombre forêt. Je suis sure à quatre-vingt-dix-neuf pour cent de rêver.

Mais je sens une caresse effleurer ma joue, ce geste est si rassurant. Il m'emplit de cette même osmose qui me permet de m'endormir chaque soir. Je sais instinctivement qui me transmet cet amour et qui soudainement raisonne au sein de mon cœur. Je dois me réveiller. Maman s'en va et moi j'attends, enveloppée dans ma douce couette encore embaumée de sommeil et de rêve. Je me replonge au fond de mon lit et me cache sous la couette, immobile, un demi-sourire sur le visage. Je peux toujours dormir. Mais cette fois, elle se fâche. Je savais bien que j'avais intérêt à me lever, comme si une petite sonnette d'alarme faisait ding ding dans mon ventre et me donnait un drôle de frisson. De toute manière je commençais à avoir trop chaud sous la couette. Je saute de mon lit et attrape mon sweat, puis je rejoins Maman dans la cuisine, habillée de son pyjama bleu-ciel. Je monte sur la chaise qui est légèrement trop basse pour moi ce que je trouve injuste depuis quelques jours déjà. A peine Maman pose devant moi le bol de chocolat au lait, que je la regarde sans même porter attention à ma boisson chaude préférée et lui dit d'un ton mécontent : « Je voulais dormir moi ce matin ! » Mais elle me répond du tac au tac :
« Oui mais, tu rentres à Harvard dans deux semaines et je nous ai donc concocté un ‘’truc mère et fille’’ » Je lâche ma cuillère dans mon bol et lui dit avec un air étonnée :
« un truc mère … fille ? » Voyant ma tête, ma mère m’annonce :
« une randonnée ! »
Je lui fais un sourire et bois cul-sec mon chocolat chaud. On a toujours fait ça. Des sorties toutes les deux. De toute façon, je ne pouvais pas faire autrement ; mon père à déserter ma vie quand j’avais environ 5 ans et donc, les sorties père et fille, je pouvais oublier ! Quand j’ai fini de boire, je monte à l’étage et me change.

[…]

À peine vingt minutes plus tard, la voiture démarre et un premier goulet nous bloque le passage. Il faut escalader cette faille pour rejoindre la piste. À première vue, la roche offre plusieurs points d’appui, et tout ça ne doit pas prendre plus d’un quart d’heure. Consciencieusement, nous descendons de la voiture et nous vérifions nos points d’appui chaque fois qu’on s’élève. Tranquillement, je me dirige vers le gros rocher au-dessus duquel on doit passer pour pouvoir redescendre de l’autre côté. Arrivée à la hauteur de la pierre, ma mère s’assure qu’elle est solidement posée avant d’y prendre appui. Cela semble être le cas. Et voyait la taille du granite, peu de chances qu’elle bouge. Erreur ; alors que ma mère reste en arrière, je lui souris et m’apprête à escalader la roche lorsque celle-ci, brusquement, pivote. J’ai juste le temps d’entendre ma mère criée, qu’un énorme caillou de 500 kilos roule et m’emporte dans sa chute. Désormais coincée contre la paroi, la pierre m’emprisonne et s’écrase sur mon dos. J’ai changé de couleur. Je suis devenue blanche sous la douleur qui m’a fracturé les os. Mais le cri que le choc m’a arraché, personne ne peut l’entendre. Je suis déjà trop bas dans le canyon et ma mère est déjà partie chercher les secours. Dans ses premiers instants, la souffrance, combinée avec la peur, me plonge dans une panique désespérée. Au bout d’une minute, la situation, comme la pierre, n’a pas bougé. Je décide alors d’évaluer calmement mes chances. Il y en a quatre. Soit je réussis à me dégager toute seule. Soit je parviens à bouger la pierre avec mon équipement de montagne. Soit ma mère arrive rapidement avec les sauvetages. Il existe une quatrième option, mais je refuse de l’envisager:

Celle d’avoir à mourir ici. J’ai déjà essayée la première solution, et elle me semble sans issue. À travers la plaie à vif, je voie mes os et le dégout me prend à la gorge. Que vais-je donc faire ? Comment faire? Porté par l’État d’illumination dans lequel je me suis plongée, j’essaie de me dégager en me contorsionnant entre la pierre et la paroi. Entre douleur et rage, bien aidé par le travail de la pierre du premier essai qui a déjà en partie brisés mes os, je parviens effectivement à broyer mon bassin et mes côtes. Pendant près d’une heure, avec mon coutelas de fortune, je m’attaque aux dernières attaches naturelles qui relient la pierre à mon Corps. Le dernier fragment de pierre cède et je peux enfin me libérer. Immédiatement, je me lève et grimpe malgré la douleur. Durant 10 kilomètres de marche, je conserve la force et la lucidité de m’orienter dans le canyon en direction de là où la voiture s’était arrêtée. Je m’effondre sur le sol. Je ne sais pas si vous vous rendez compte de ma douleur en cet instant. Ma tête tourne mais je ne sens pas partir.

[…]
Quand je me réveil ; je suis dans une chambre d’hôpital et tous les gens que j’aime m’entourent. Je ne ressens rien mais je vois très bien les fils transparents emplis de mon sang, sortir de ma bouche et de mes veines. Ma mère passe sa main dans mes cheveux. Un infirmier arrive dans ma chambre et engage une discussion : « Ha, la patiente est éveillée ! ». Je renchéris :
« En effet. » Il me regarde me passer la main sur la nuque et ajoute :
« J’ai quelques petites choses à vous expliquer, dû à votre accident … Déjà, vous allez avoir tous les jours des séances de rééducation, jusqu’à ce que vous sachiez remarcher ; puis tous les lundis soirs avec une autorisation d’Harvard, ne vous inquiétez pas. Je dois aussi vous dire que malheureusement, il y a des chances pour que vous soyez à présent stérile… et que vous ne puissiez plus danser. » Je reste là, bouche bée. Moi ? Ne plus jamais danser ? Non ! D’un coup sec, je retire les perfusions de ma douche et crie : « C’est faux ! ». L’infirmier part et ma mère me recloue à mon lit. Mon amie Lucy qui me tient la main me dit : « Tu n’auras qu’à reprendre les cours de danses… mais peut-être en plus intenses. » Ma mère se retourne vers elle et lui dit :
« Je n’ai pas envie qu’Orsay souffre encore plus de ses blessures ! ». Elle me fait rire, quand comme moi, on multiplie les blessures, quel que soit notre âge, la vie ne nous fera pas de cadeau. On les cache ses cicatrices, tout au fond, pour ne montrer à personne qu'on en souffre encore, qu'on a rien oublié. Le pire est de se dire qu'il y en aura encore et encore, que ce n'est qu'un avant-goût de l'avenir, enfin dans mon cas.

Deux semaines plus tard, la rééducation presque achevée, j’entre à Harvard, très confiante. Personne ne divine en apparence ce qu’il m’est arrivée, mais pendant les cours de danses, certaines personnes remarque mon mal, même si à mon grand bonheur, ils ne voient jamais mes cicatrices. Bref, à vous d’écrire ma suite !


the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM - Queeny or Maëlle.
↬ ÂGE - 14 ans.
↬ PAYS/RÉGIONS - France, Pays de Loire.
↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - Bazzart.
↬ TES IMPRESSIONS - Whaou.
↬ CRÉDIT(S) - It's write.
↬ AVATAR - Elle Fanning.
↬ SCÉNARIO OU PI? - PI.
↬ LE MOT DE LA FIN - "Il n'y a que ceux qui possèdent qui ont peur de perdre." Pierre Bordage - Les derniers hommes.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Bienvenue :P

Elle Orsay Loïs Pewbeïzon - Elle Fanning 3850463188 & très bon choix de prénom !
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Merci ^^
J'avais peur que Elle fasse un peu trop jeune, mais si je lui met 17/18 ans,
Sa peut aller ? :P
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Bienvenuuuue ! très bon choix d'avatar !
J'pense que 17 ans c'est raisonnable =D
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Bienvenue jeune fille. Celui qui te veux du mal, je lui pète la tronche :P
Bonne chance pour la suite de ta fiche.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Welcome!
Je crois que tu pourrais bien lui donner 18 ans!
Comme ça, tu pourrais être étudiante (:
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Elle Orsay Loïs Pewbeïzon - Elle Fanning 3850463188
Tu peux au pire, même lui donner 17 ans, et la mettre en première année en la rangeant dans la classe 'surdouée ' ! Mais 18 ans lui passeraient !

BIENVENUE Orsay Loïs Pewbeïzon - Elle Fanning 3850463188
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Bienvenue sur ILH hanwii
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Bienvenue sur ILH :dance:
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Elle Orsay Loïs Pewbeïzon - Elle Fanning 73120010
Bienvenue sur ILH, bon courage pour ta fiche hanwii
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)