Emily Daisy Haster ►Cora Keegan

Ma mère et moi avons toujours eu une bonne relation jusqu'à sa mort. Je me rappelle encore de son parfum à la rose de ses tablier rose flash lorsque qu'elle faisait c'est succulent tartes (dont je garde jalousement les recettes) de notre jardin lorsque nous habitions a peu à l'écart de la grande ville française paris cette idylle dura 4 ans et nous partions pour la grande ville dont était originaire papa : Chicago. Vous parlez d'elle me rappelle le jour où je lui ai demandée pourquoi j'avais un y a la place d'un "ie" comme le voulait ma mère qui est française d'origine et elle éclata d'un rire franc, joyeux celui que je n'oublierais jamais et me raconta qu'à cause de l'accent de mon père (qui est américaine) l'infirmière n'arrivait pas à comprendre ce qu'il disait, il dut écrire sur le papier et oublia l'orthographe en français (intentionnelle ou pas ?) et écrivit donc la version anglaise. Elle me dit avec un grand sourire qu'au début elle était très en colère et ne parlais plus à mon père la première semaine après ma naissance rien que dis penser j'en rigole

Bref, je reprend mon histoire ! J'ai donc quittée ma maison, mon jardin et mon joli monde pour une ville : grande, plein de gens au visage sérieux, des grattes ciel et des murs de brique absolument partout, j'étais horrifiée d'avoir perdue mon petit paradis français pour de bon.. Mais surtout pour sa !

lorsque ma mère mourus, je fus frappé par une dépression qui durera un ans jour pour jour : je finis avec un piercing au niveaux du nez et les cheveux rouge (comment ai je fais pour retrouver mon blond d’antan ?) j'étais devenue un rebelle, en fait cela ça c'est arrêté quand je suis allée voir l'armoire en bois massif ou mon père avait laissée toutes ces robes je voulais encore la sentir, la toucher et ces vêtements était la seule chose qui me restait. Je découvris à ma grande stupeur son journal intime et appris tellement de choses sur ma mère et petit à petit le bonheur pris place dans mon coeur plutôt que la haine sachant que ma mère était fière de moi et qu'il me restait de belles années devant moi. Je me mis à extérioriser toutes mes peines, mes joies, mes stress sur des toiles de plus en plus grandes au final je repeins ma chambre d'adolescente qui devint une salle de peinture à part entière. Mon père cru une crise de folie au départ, mais se rendit compte le bien que cela me faisait. C'est vraiment a partir de ce moment là, que même si j'avais un look androgyne/garçon manqué je me mis a être plus féminine (au grand bonheur de mon père !) je me mis a apprendre l'art de préparer de succulent cocktail et d'avoir toujours un sourire sur mon visage. Très vite j'appris a me sociabiliser a l'entré au lycée et devins "l'un des leurs" je faisait partis des originaux un peu décalée avec mes doc martin's mais dans les rangs des populaire ce qui est très rare. Je m'inscrit au club de dessin et me pris en passion pour les portrait et les dessins réaliste lorsque vint ma remise des diplômes, je ne savais pas vraiment quoi faire. La seul chose que je savais c'est que le dessin me permettais de me relâcher...  C'est donc a l'age de 18 ans que je partis tout un été en Suède pour découvrir du pays je trouvas non sans difficulté un stage à Arne Jacobsen le plus grand designer de son temps. Avec les employé j'appris les ficelles du métier avec facilité déconcertante qui en bluffa plus d'un, j'eu même le droit à participer a une réunion ! quand mon stage pris fin, et que je d'eu revenir à Chicago ce fût un très gros déchirement mais maintenant j'avais un but : je voulais créer une nouvelle collection de meuble qui pourrait aller au dessus de tout les maisons de design du monde.