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C'est le quinze juillet mille neut cent quatre vingt onze à New York, que les membres de la famille Vanderbilt m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Sidney-Joy. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale pauvre. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de médecine en majeur et neuroscience en mineur depuis trois ans ans et travaille en parallèle de mes études en tant que strip-teaseuse. Et pour terminer, je voudrais intégrer les dunsters ou les student..
Pourquoi dunster ? Les études c'est quelques choses d'assez primordiale pour moi parce que oui en dehors de mon apparence de mauvaise fille je suis très studieuse et ça depuis ma jeunesse. J'ai toujours vécue dans la pauvreté et je ne veux pas continuer de vivre des moments difficiles à cause de cette pauvreté, c'est donc pour ça que je veux réussir mes études afin de plus tard devenir médecin et m'en sortir dans la vie. Et puis, je suis une femme très ambitieuse, quand je veux quelque chose je fais toujours en sorte de l'avoir et ça grâce à mon ambition et ma motivation pour la cause. Puis je pense me sentir à ma place chez les dunsters en sachant que malgré tout j'ai pas mal de savoir et que c'est toujours plus intéressant d'être avec des personnes comme nous.
STUDENT
Pourquoi student ? Simplement parce que je ne suis pas capable de me voir ailleurs qu'à la dunster house. Je ne suis pas coquette comme une cabot, je n'ai pas les moyens d'être une eliot, la fête ne fait pas partie de ma comme les mathers, je ne suis pas altruiste comme les quincys et mon monde ne tourne pas autour de l'art comme les lowells.
Un terrible accident n'est c'pas ? Pour une fois dans ma vie j'ai eu de la chance, pendant cet atroce événement j'étais à l'hôpital entrain d'apprendre la neurologie et donc totalement épargnée de l'attentat. Je n'étais au courant de rien jusqu'à ce que je rentre à Harvard pour voir la police, les urgences, les dégâts et surtout la peur et la panique chez les étudiants. Oui pour moi c'est quand même un événement marquant, après tout pourquoi j'avais eu cette chance de ne pas être présente alors que d'autre l'ont eu ?
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
Une fois de plus j'ai eu de la chance, au moment de la prise d'otage je me dirigeais vers la cafétéria où était présente une personne armée, je m'étais vite rendu compte de la situation alors voilà pourquoi j'ai fais demi-tour. C'est un geste lâche de ma pars ? Non je ne pense pas, on ne peut pas me reprocher d'avoir sauvée ma peau. Mais certes, c'est un événement tout autant marquant que la bombe et c'est quelque chose qu'on ne peut pas oublier, que ça soit pour moi ou même les autres étudiants.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle drop dead et j'ai dix-huit ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à je sais plus. ILH c'est mon amour depuis un an et quelques alors j'ai décidé de m'inscrire OU Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de Leevy (+student) & Chrysta (+mather). J'utilise Taylor Momsen comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par j'ai fermée trop tôt. Je fais environ 200/1000 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ 
Je souhaite ▲ (retire la balise i qui ne correspond pas
fa-check = oui ; fa-remove = non)
adhérer un flood d'intégration (?)
Il ne faut pas que tu t'inquiètes princesse, tu vas bientôt partir d'ici et tu seras heureuse avec une nouvelle famille qui t'aimera comme tu le mérites. Mais.. Mais.. Elle est où maman ? Dans le ciel ma chérie, elle prends soin de toi là-haut. Et tu sais quoi ? Chaque fois que tu regarderas le ciel tu te diras que chaque étoile c'est ta maman qui veille sur toi. Mes yeux étaient pleins de larmes, j'étais perdue et je ne comprenais pas où j'étais ni ce qu'il m'arrivait. Malgré les gouttes d'eau qui gâchaient ma vue j'arrivais simplement à voir le badge de la femme face à moi qui essayait de me rassurer. Il y avait écrit son nom ainsi qu'assistante sociale juste en dessous. Mais j'étais bien trop jeune pour comprendre ce que cela voulait dire, je n'avais que cinq ans après tout. Non je ne me rendais pas compte que ma mère venait de se suicider et que j'allais être adoptée par une nouvelle famille. Je ne saurais sûrement jamais pourquoi ma mère s'est donnée la mort, j'étais peut-être trop petite pour m'en rendre compte mais elle n'était pas comme les autres mamans. Après son accouchement et le départ de papa, elle est devenue bizarre, comme si elle n'était plus elle-même et qu'elle n'était plus capable d'avoir le choix de ses actes. Je me souvenais encore en sortant de mon lit en cachette, j'allais surveiller ma mère, parfois elle était seule assise sur le canapé en fixant un point vide et parfois elle se taillait les veines en disant des paroles que j'étais incapable de traduire. Et c'est à partir de se moment là que j'ai compris que quelque chose clochait mais ça ne changeait pas que j'aimais ma mère et que c'était la seule personne que j'avais. Bienvenue chez toi Sidney, tu vas être bien ici, je te le promet. Dit une grande femme brune qui venait déposer un baiser contre mon front pour ensuite me faire visiter ma nouvelle maison. La famille Vanderbilt n'avait rien d'une famille aisée, ma nouvelle mère n'était qu'une infirmière et mon nouveau père conducteur de taxi. Mais c'était des gens bien, vraiment bien. Au départ ce n'était pas facile de m'adapter à se nouvel environnement mais plus les mois passaient plus j'y arrivais en appréciant de plus en plus mes nouveaux parents. Pour une fois j'ai le droit d'être normale ? Et non pas cette fois. Maman, maman, t'as vu y'a un monsieur qui me regarde ? De quoi tu parles Sid ? Y'a personne. Je fronçais alors mes sourcils en continuant de fixer cet homme, je le voyais vraiment et je ne comprenais pas pourquoi ma mère continuait de me dire qu'il n'y avait personne. Moi aussi je te vois. Venait de dire l'homme avant de complètement disparaître, j'étais perdue, il m'avait parlé, cela voulait bien dire que je le voyais vraiment ? Il vient de me parler ! Il m'a dis qu'il me voyait aussi ! Ça doit être ton imagination princesse, tu ne dois pas t'inquiéter. J'essayais alors d'insister pendant encore des heures mais ma mère n'était pas capable de me croire. Mais en même temps qui croirait aux paroles aussi grotesque d'une enfant de dix ans ? Et c'est d'ailleurs à partir de cet age que je voyais constamment des personnes apparaître pour ensuite les voir disparaître sans laisser aucune trace. Au départ je n'avais pas vraiment peur, je me disais que ce n'était rien et que ce n'était plus la peine d'en parler à mes parents. Mais il y avait bien un soucis, plus je grandissais plus j'en voyais. Vous trouvez pas que Vanderbilt est bizarre ? Elle est toujours toute seule et elle parle à personne. Et puis vous avez vu ses bleus et ses coupures ? J'ai vu ça quand on avait cours de piscine ensemble, moi j'suis sûre qu'elle se mutile, une vraie tarée cette fille. Et voilà ça c'était le lycée. Les filles populaires qui critiquent les autres et cette fois les critiques étaient pour moi. Moi bizarre ? C'était peut-être le cas, mais comment pourrais-je me faire des amis alors que des esprits me parlent et m'entourent constamment ? C'est totalement impossible. Et non je ne me mutilais pas, l'explication était plus compliqué que ça, chaque matin je me réveillais avec des bleus ou des égratignures sur ma peau, je n'avais pas besoin de réfléchir longtemps pour savoir que cela venait des esprits qui me torturait constamment. Je vivais avec mais c'était dur, je m'étais jamais sentie aussi seule qu'au moment de mon adolescence, personne pour me soutenir et personne pour me croire. Ouais j'étais la dingue de service à se moment là. J'en peux plus ! Je peux plus vivre avec ça ! Ils sont toujours avec moi pour me faire du mal ou essayer de me parler ! Je peux plus m'en débarrasser ! Aide-moi maman je t'en pris, ils sont toujours là ! Dis-je en criant et pleurant sans cesse dans notre appartement, je n'arrivais pas à me calmer, tout ça c'était beaucoup trop pour moi. J'étais incapable de contrôler c'que je faisais, là oui je me comportais comme une personne totalement folle mais je n'en pouvais plus de tout ça. C'est impossible tout ce que tu dis Sidney, t'as besoin d'être soignée, tu vas partir d'ici pour aller mieux. Avait annoncer ma mère après avoir passée un coup de téléphone quelques minutes avant. J'avais très vite compris ses paroles et c'est pour ça que je m'étais mise à courir jusqu'à la porte d'entrée voulant vite m'enfuir d'ici pour finalement voir en l'ouvrant deux hommes habillés de blanc qui vint me planter une seringue dans le cou. Ensuite, plus rien. C'était le noir complet. 
Comment te sens-tu aujourd'hui Sidney ? Mal, super mal même. J'ai rien à faire ici, j'suis pas folle, ma tête va très bien et c'est pas en voyant un putain de psy et en prenant des putains de médicaments que ça ira mieux, j'irais mieux quand je partirais d'ici. Tu ne te rends pas compte de ce que tu dis, si tu es ici c'est seulement pour ton bien et ça tu ne dois pas en douter. En entendant les paroles de mon psychiatre attitré je fis un regard noir pour directement me lever et sortir en claquant la porte. Cela faisait donc un ou deux mois que j'étais enfermée dans cet hôpital psychiatrique seulement parce que mes parents ont fais l'erreur de me croire folle. Non je ne l'étais pas et je n'avais aucun doute sur ça. Tout c'que je voyais c'était réelle et rien ne venait de mon imagination. Evidemment je ne me comportais pas comme les médecins le voulaient, j'étais tout sauf coopératrice, pour sortir d'ici je devais avoir une meilleure conduite en écoutant tout ce qu'on me dit, en parlant de tout au psy et surtout en prenant chaque médicament qu'on pouvait me donner. Mais non j'faisais tout le contraire, j'envoyais balader tout ce qu'on pouvait me dire, je me barrais constamment de mes consultations et je cachais les médicaments qu'on pouvait me donner sous mon oreiller. Après tout pourquoi vouloir faire c'qu'on me dis ? Je savais que tout ça c'était inutile et que moi pour être bien en quelque sorte j'avais besoin de sortir d'ici. Tu es folle, complètement folle. Si tu es ici c'est de ta faute. J'avais entendis ces paroles raisonner en pleins milieu de la nuit et en ouvrant les yeux je reconnaissais cet homme que j'avais vu alors que j'avais seulement dix ans. J'essayais d'oublier ça mais cette phrase se répétait encore et encore, tel une écho qui ne s'arrête pas. STOP ! STOP ! TAIS-TOI ! Criais-je dans ma chambre alors que des médecins débarquèrent dans ma chambre pour une nouvelle fois me donner une seringue avec un calment. Et cette phrase, je l'entendais chaque soir et chaque soir je criais et je pleurais et comme chaque fois cela finissait de la même façon avec une seringue dans le cou. Je savais que ce n'était pas comme ça que j'pourrais sortir mais cet esprit me hantait et j'pouvais pas m'empêcher d'avoir peur. C'est terminé, j'veux plus avoir peur de toi, je resterais pas ici à cause de toi. Murmurais-je un soir alors que j'entendais à nouveau cette voix. Il fallait que tout ça s'arrêt, parce qu'au départ je n'avais rien de folle mais j'avais bien l'impression que c'était cet endroit qui me rendait folle. C'est pour ça que j'avais décidée de changer, j'essayais d'avoir une attitude remarquable avec les médecins en faisant tout c'qu'on me dis. Et évidemment cette voix continuait mais à présent je faisais comme si elle n'existait pas. Et puis d'un certain côté j'étais rassurée, je prenais tous les médicaments qu'on me donnait et je voyais toujours les esprits, je n'étais donc pas folle, j'avais juste don que je ne voulais pas accepter. Mais je commençais à m'habituer et réussir à ne plus en avoir peur, je m'étais finalement dis que ça faisait partie de ma vie et que je ne pourrais rien y faire. Comment ça va aujourd'hui Sidney ? Très bien. Je me suis jamais sentie aussi bien, j'ai vraiment l'impression d'aller mieux. Je suis bien content d'entendre ça parce que j'ai aussi remarqué ta guérison, je vais signer cet après-midi ta feuille de sortie. Le lendemain j'étais dehors, enfin libre. J'avais dix-neuf ans et c'était le vrai monde qui m'attendait maintenant. 
J'étais libre, totalement libre. Vous le croyez ça ? Moi j'suis même pas capable de m'en rendre compte. Après ma sortie de l'hôpital j'avais décidée de partir de New York, j'avais trop de mauvais souvenirs et je ne voulais surtout pas revoir mes parents parce que oui si j'avais vécue deux ans d'enfer c'était à cause d'eux et seulement d'eux. Je n'avais pas un sous en poche mais j'm'en fichais je voulais partir et voir réellement le monde. C'est pour ça que je décida de visiter chaque pays de cette terre, pour réussir à vivre j'ai fais du stop, j'ai eu des petits boulots et j'ai fais des rencontres. Ça n'était pas toujours facile ayant parfois l'obligation de dormir dehors mais la liberté me faisais un bien fou et je n'avais jamais été aussi heureuse. Evidemment j'avais toujours se problème de fantôme mais je vivais à présent avec et je l'avais acceptée. Tu veux tester ? C'est quoi ? De la cock ? Ouais tu verras, tu vas adorer. A se moment là j'étais à Londres accompagnée d'un anglais avec qui j'avais passée un peu de temps pendant mon voyage. Je l'avais ensuite regarder tracer plusieurs lignes blanches de poudre pour ensuite le voir sniffer ce que je fis ensuite à mon tour. Et là.. C'était juste merveilleux. J'avais déjà touchée à la drogue oui mais pas à quelque chose d'aussi dur et ça serait mentir en disant que je n'en avais plus jamais repris depuis se jour là. Au contraire, j'étais devenue accroc. Il n'y avait pas un seul jour où je ne touchais pas à la cocaïne, c'était un peu devenue mon quotidien et je n'étais plus vraiment capable de m'en passer. J't'aime Sid, tu le sais ça ? Mais genre vraiment. Je.. J'suis désolée, faut que je me casse d'ici. Dis-je en faisant rapidement mes affaires pour finalement quitter l'appartement de l'anglais avec qui j'avais passée beaucoup de temps. Quoi, trois mois ? Quatre ? J'en savais rien. Tout c'que je savais c'est que je l'appréciais vraiment et c'est grâce à lui que j'ai vraiment découvert la vie et puis avec moi il a été un ange, qui serait d'accord pour héberger une inconnue pendant autant de temps hein ? Mais évidemment tout était devenue ambiguë et il avait finit par tomber amoureux de moi. Et ça.. C'était juste pas possible. L'amour j'savais pas ce que c'était et même si un jour je le ressentais je saurais même pas si je pourrais m'en rendre compte vu que je suis jamais tombée amoureuse avant. En quittant Londres j'avais continuée ma route entre plusieurs pays et ça serait mentir en disant que dans cette année je n'avais pas déconné. J'étais devenue accroc à la cocaïne, j'faisais constamment la fête et je ne me gênais aucunement pour avoir un paquet d'aventure avec des hommes différents. Faut que tu te bouges Sid, ta vie elle peut pas continuer de cette façon, t'es entrain de déconner. T'es super intelligente et ça tu le sais, tu devrais vraiment reprendre tes études pour avoir une vie normale. C'était les paroles d'une fille de mon age que j'avais rencontrée en Espagne, c'était un peu devenue comme une meilleure amie et grâce à elle je m'étais rendu compte de mon comportement pour finalement reprendre la raison afin de me dire que je devais vraiment reprendre ma vie en main. Après tout j'ai toujours eu des facilités dans ma scolarité et je savais très bien que si je n'étais pas passée par l'hôpital psychiatrique ainsi qu'un tour du monde j'aurais continuée mes études pour devenir médecin en neurologie comme je l'ai toujours voulu. C'est pour ça que je m'étais inscrite à Harvard afin de passer les sats et de les réussir sans problème. Une fois acceptée c'était direction Cambridge moi la fille un peu trop bizarre capable de voir les esprits et accroc à la cocaïne. 
Harvard, une si belle université. Je ne regrettais vraiment pas d'avoir écoutée mon amie, depuis mon entrée à l'université je ne m'étais jamais sentie aussi normale. J'avais l'impression de pouvoir tout reprendre à zéro et ça, ça faisait vraiment du bien. Evidemment quand je disais normale ça ne l'était pas totalement vu que j'avais toujours mes petits défauts et j'avais aussi de plus en plus mon caractère affirmé. Je n'étais pas mignonne, je n'étais pas douce, je n'étais pas tendre. Non j'étais plutôt sauvage, mystérieuse, garce et bien trop franche. Oui j'étais bien caractérielle et ça a toujours été le cas d'ailleurs, j'ai toujours été contre les règles et j'fais toujours c'que je veux quand je le veux. Mais parfois y'a pas le choix ; J'ai un boulot à te proposer blondie, y'a un club de strip-tease qui recherche des filles dans ton genre, c'est très bien payer et j'te parle pas des pouvoirs. Moi ? Strip teaseuse ? Je savais pas si je pouvais accepter ça. Mais en fait non, j'avais juste pas le choix. J'avais pas un rond et même si j'étais motivée pour mes études il fallait bien que je les paye, alors oui entre ça et mon studio que j'devais aussi payer il fallait que j'accepte cet emploi. Mais j'en avais honte, je détestais me rabaisser à un travail comme ça seulement parce que j'avais besoin d'argent pour vivre et c'est aussi pour ça que j'essayais de parler de se travail à personne. Mais bon j'commençais vraiment à avoir l'habitude des problèmes, j'ai même l'impression que ma naissance est un problème. Mais j'peux quand même dire un merci à tout c'que j'ai vécue parce que ça m'a permis d'être forte, je n'ai plus vraiment peur de rien et ça c'est quelque chose de bien. J'continue maintenant ma vie en restant moi-même tout en espérant ne plus revivre des malheurs comme j'ai pu le vivre par le passé. 
. Et puis Millicent powaa 
oh ça, ça va pas être possible vu comment elle va être 
meeeerci ma chérie 
