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Un petit moment entre amies (ft. Kaleigh et Meagan)

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Kaleigh Ҩ Meagan Ҩ Nahélie
« Un véritable ami, c’est celui qui te soutient alors que tous les autres te laissent tomber. »


J'étais dans ma chambre, allongée sur mon lit à la recherche de quelque chose à faire. A l'heure qu'il était, je devais déjà être en train de bosser, pourtant, à l'instant même, aucune motivation me venait. J'avais bien envie de voir Kaleigh et rire de sa connerie. Cette fille, je ne sais pas comment l'expliquer, elle est formidable. C'est simple, je trouve qu'elle a tout pour elle et son amitié m'est très importante aujourd'hui. J'étais donc en train de lui envoyer un message quand j'en reçu un autre de Cali, me disant qu'il fallait s'organiser rapidement un repas entre filles. Je souriais toute seule en pensant à elles quand K. entra dans ma chambre. J'ai toujours aimé ce petit rituel entre nous, on pouvait arriver n'importe quand, à l'improviste, limite, on ne dérangeait jamais. Elle sauta sur le lit à mes cotés en souriant. Kaleigh, ça faisait un moment que je l'avais rencontré maintenant et les circonstances sont plus étranges quand on y pense puisque c'est quand elle a avoué son homosexualité aux Eliot. Personnellement, je n'ai pas supporté qu'on puisse la juger sur ce qu'elle était étant donné qu'elle restait la même personne, hétéro ou pas. J'ai donc été une des personnes présentes pour elle mais également pour remettre certaines personnes à leur place. « Bon, on fait quoi de nos vies, là, tout de suite ? »
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Entrant dans sa chambre sans prévenir, je jetais mon sac à bandoulière au pied de son lit avant de me jeter sur le lit de la jeune femme, soupirant bruyamment. « Aow. » Répondis-je en écrasant mon dos contre le matelas tandis que l'étudiante envoyait un texto. J'avais cru pendant un temps ne pas apprécier que l'on débarque sans prévenir parce que je détestais être prise de court pour la bonne raison que cela me donnait l'impression de ne pas gérer ma vie. Je n'avais compris que récemment qu'il s'agissait simplement du fait que j'avais tenté de préserver ma sexualité de tout regard indiscret et que, pour se faire, il avait fallut que je tienne d'une poigne de fer tout ce qui touchait à ma vie privée. Notamment le fait que j'avais partagé pendant un temps le lit d'un homme et d'une femme pendant la même période et que j'avais pu jongler pendant presque deux mois entre les deux sans jamais me faire pincer. Mais je n'avais désormais plus rien à cacher. Et certaines personnes savaient qu'elles pouvaient débarquer à toute heure pour me déranger, que ce soit pour avoir du soutien ou pour m'en apporter. Nahélie appartenait désormais à ce clan fermé que composait celui de mes amis. Aussi, je ne ne m'étais pas privée d'avoir traversé le couloir dans l'unique but de m'affaler sur le lit de celle-ci. « Ce qu'on fait c'est qu'on va manger, j'ai tellement faim que je pourrais manger toute l'équipe de foot. » Dis-je, agressive, avant de me relever, m'asseyant sur le lit, éclatant finalement de rire. J'avais un appétit d'oiseau, ce qui ne m'empêchait pas d'avoir tout le temps faim même si ce n'était pour au final que manger une poignée de raisins secs. « Quoi que tu te fasses, tu décommandes et tu viens avec moi. » Ajoutais-je finalement en plissant les yeux, caressant rapidement la parure de lit de mon amie. « Tu l'as acheté ou ? Elle est super douce ! » Sentant soudainement un regain d'énergie me gagner, je me levais si vite que je me donnais l'impression d'avoir sauté du lit. « Tu me raconteras en chemin. » Ajoutais-je, prenant pour acquis sa réponse, fauchant mon sac d'une main avant de prendre la porte, commençant à faire quelques pas dans le couloir. J'avais volontairement omis de prendre mes cachets ce soir, persuadée que je profiterais bien plus de cette soirée et que j'en oublierais presque jusqu'à mes problèmes ainsi...
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Kaleigh Ҩ Meagan Ҩ Nahélie
« Un véritable ami, c’est celui qui te soutient alors que tous les autres te laissent tomber. »


Kaleigh était selon moi, une fille qui méritait dans la vie bien plus qu'une poignée de personnes. On avait réussi à se créer une complicité et une amitié comme il y en a de rares aujourd'hui. Basée sur la confiance, on a toujours su qu'on pouvait tout de dire. Pas de secrets, pas de tabous. On savait préserver l'intimité de l'autre et en un regard, on pouvait se comprendre. Je pense que c'est surtout ça qui a fait la force de notre amitié : pas besoin de parler pour se comprendre. A Harvard, vous savez, il y a toutes sortes de rumeurs qui courent dans les couloirs, c'est limite elles qui font vivre l'université. Depuis que les étudiants ont appris l'homosexualité de Kal', la cheerleaders l'une des filles les plus populaires de l'université, ça y va les « on dit ». Tant que ça ne la blesse pas personnellement, je dis rien, ça me fait plus rire qu'autre chose. Si, en revanche, ça commence à la peser, je n'hésite pas une seconde à pousser mon coup de gueule. A Harvard, on me dit populaire parce que je serais « belle », parce que je serais « une fille à papa », parce que je sors avec les plus beaux mecs de l'école, parce que je fais(ais) pas mal de conneries mais surtout pour mon énorme caractère. La vérité, c'est que je tiens juste à ce que les gens que j'aime ne se fassent pas blâmer.
« Ce qu'on fait c'est qu'on va manger, j'ai tellement faim que je pourrais manger toute l'équipe de foot. Quoi que tu te fasses, tu décommandes et tu viens avec moi. » Je souris à la regardant s'étaler sur mon lit et puis c'est vrai que moi aussi, je mourrais de faim. « Evidemment que je suis toute à toi aujourd'hui ! » Limite, c'était une évidence. Elle se leva brusquement, comme prise d'une soudaine motivation, attrapa son sac et se rua vers la porte. Je la regardai, limite surprise. Je suivis donc son exemple et avant même que je mette mes chaussures, elle était déjà dans le couloir. « M'attend pas surtout ! »
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« M'attend pas surtout ! » Commençant à avancer sans me soucier du reste, je m'écriais : « T'es tellement lente faut dire ! » Dans ma lancée, j'agrippais soudainement une porte dans laquelle j'enfonçais violemment mes clefs, rentrant en trombe dans l'une des chambres de la maison; la mienne et celle de Candice, ma meilleure amie. « Tu croyais que j'allais t'oublier mon loup... » Ronronnais-je en attrapant le chiot par les aisselles, caressant rapidement mon perroquet avant qu'il n'ameute Nahélie dans les parages. Je jetais le surplus d'affaires de mon énorme sac avant de glisser l'animal à l'intérieur, sortant de la chambre comme une voleuse, retrouvant la jeune étudiante dans le couloir. « Oui je sais bon... » Je roulais des yeux et nous partîmes en direction du centre-ville avec Snow, mon petit Shiba Inu qui ne demandait qu'une chose : sortir un peu plus souvent de la chambre. En achetant ce chien sur un coup de cœur, je n'avais pas pensé une seule seconde au fait qu'il serait un jour adulte et qu'il prendrait bientôt trois fois plus de place. Fort heureusement, il n'aboyait jamais. Telle une fashion-victim ayant pris ses cours au sein de la jet-set professionnelles, je tenais la petite boule de poils d'une main tandis que l'autre bras supportait mon sac. « Oh et si on invitait ta jumelle ? » M'exclamais-je en fourrant le chien dans ses bras tandis que je dégainais mon téléphone dans le but de l'inviter sans même laisser le temps à l'étudiante de me répondre. Trop agitée, je tapais si rapidement sur les touches qu'il me fallut m'y reprendre à plusieurs fois pour envoyer un message compréhensible : RDV à l'OM Restaurant. Central Square. XOXO

L'OM Restaurant était un endroit que j'adorais. Non pas pour les prix que l'on pouvait considérer comme dérisoires mais par la fréquentation jeune et branchée, un lieu tout aussi prisé par les hommes d'affaires qui se donnaient le plus souvent rendez-vous au comptoir pour une dégustation rapide de sushis. Néanmoins peu typique, on pouvait tout aussi bien commander du vietnamien que du chinois ou du thaïlandais. Le décor y était moderne, les locaux, spacieux. On pouvait aisément y manger en toute intimité, loin des oreilles indiscrètes dans le cadre d'un dîner romantique ou avoir une place en retrait qui nous permettait de pouvoir observer les autres clients, ce que personnellement j'adorais. Nonobstant j'adorais cet endroit pour vénérer la culture asiatique mais surtout pour celui des cocktails et l'OM Restaurant en servait un dont je raffolais que je ne parvenais hélas pas à retrouver ailleurs. C'est en entrant dans le restaurant que je me demandais si oublier volontairement mon traitement avait été une bonne idée ce soir...
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    Meag' avait passé sa journée en cours, pour beaucoup c'était une torture, mais absolument pas pour la jeune femme. Elle adorait chaque aspect de ses cours, ce qui expliquait bien sa réussite, enfin, aujourd'hui avait été une journée plutôt remplie. Alors qu'elle se dirigeait vers la Dunster House, où elle allait surement rejoindre sa coloc', la jeune femme se rappela que ce soir Daphné lui avait dis qu'elle rentrerai tard. Meagan se demanda alors ce qu'elle pourrait bien faire pour occuper sa soirée, elle en profiterait surement pour regarder tranquille Fashion Police et puis se coucher comme les poules, dès l'apparition du générique de fin.
    A peine rentrée dans sa chambre, Meagan posa ses affaires, ou plutôt jeta ses affaires sur son lit. Prête à glander et se détendre, c'est à ce moment là qu'elle entendit et sentit son téléphone portable. Forcément, il était au fin fond de son immense sac de grande marque, super classe, mais côté pratique, on repassera. Bref' après avoir cherché à l'aveugle dans son sac pendant plusieurs dizaines de secondes qui semblaient une éternité, puis, avoir prit l’extrême décision de tout renverser sur son lit afin d’accéder à ce précieux moyen de communication dont elle ne pouvait pas se passer une seule journée.

    Kaleigh venait de lui envoyer un message, comme à son habitude elle recevait une invitation venue de nulle part, un point de rendez vous, et ça lui plaisait, Meagan adorait qu'on la surprenne et l’imprévu. Ce message avait eu le don de la remettre d'aplomb, fini la fatigue de la journée, la brunette était plus que motivée à passer une bonne soirée, entre amies. La jeune femme passa dans la salle de bain, histoire de vérifier qu'elle était présentable, elle décida de se changer, Meag' essaya de faire le plus vite possible, mais on ne se refait pas. Une fois prête, elle sortit en trombe de sa chambre, pour quitter la maison des Dunster où elle résidait, et prit la direction de Central Square. Arrivée devant le restaurant, la brunette reconnue que trop bien les deux silhouettes qui l'attendaient. Sa moitié était présente, quelle bonne surprise, une soirée toutes les trois s'était encore mieux. Kaleigh était l'une des rares personnes à avoir su s'intégrer au duo des jumelles, les deux Pearce avaient de nombreux amis en commun, mais elles les voyaient rarement en même temps. Leurs amis avaient parfois du mal à trouver leur place, mais pas Kal', on aurait même pu croire, qu'elle était leur triplée, lorsqu'on les voyait ensemble. « Mes deux filles préférées au monde, j'ai fait le plus vite possible, je vous promets ! » Meagan affichait un énorme sourire, histoire de ne pas trop se faire engueuler.
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Kaleigh Ҩ Meagan Ҩ Nahélie
« Un véritable ami, c’est celui qui te soutient alors que tous les autres te laissent tomber. »


Kaleigh avait invité Meagan, la femme de ma vie autrement dit ma jumelle. Je souris lorsqu'elle lui envoya un message en essayant de comprendre comment elle avait réussit à s'intégrer entre nous. J'avoue que la relation que Meag' et moi pouvons entretenir est très très fusionnelle et énormément de personnes ne savent pas où se mettre, se sentent justement de trop lorsqu'ils se retrouvent seuls avec nous deux. Ca a toujours et ce sera toujours "elle et moi" envers et contre tout. Pourtant, Kal' avait trouvé sa place petit à petit et était l'une des "nôtres" comme on pourrait dire. Je souris également en pensant à la soirée que nous allons passer toutes les trois, on ne s'ennuyait jamais. C'est à dire que l'une a toujours quelque chose a raconter, que ce soit de ses cours, de sa maison ou même de sa vie privée. On peut passer des heures à parler sans se rendre compte du temps qui passe et au final, je me dis que l'amitié, ça ne vaut pas grand chose de plus.
Meag arrivait donc et je pus m'empêcher de lui lancer un grand sourire lorsqu'elle passa la porte. Elle était belle, comme à son habitude et sa bonne humeur augmenta encore plus la mienne. « Voilà la plus belle ! » Je la connais plus que bien, mieux que personne et la tête qu'elle affichait la trahissait. En gros, elle voulait que son large sourire joue en sa faveur et au final, ça me fit rire.
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HJ je m'excuse pour le retard, après mon absence, j'ai eu une grosse baisse de régime mais ça revient !

Et que je t’embobine avec un sourie à la colgate, comme si nous ne connaissions pas l’énergumène ! J’esquissais un sourire à mon tour et l’invitais à s’assoir alors que je claquais des doigts comme une gamine insolente pour appeler un serveur à venir dans notre direction. « Votre cocktail maison s’il vous plait. » Demandais-je alors qu’il inscrivait immédiatement ma demande sur son calepin, relevant le nez vers mes deux compères. « La même chose pour elles. » Ajoutais-je en l’envoyant en cuisine d’un geste impétueux de la main, prenant soudainement la parole dans cette discussion. « Bon les filles, il faut qu‘on parle du Summer Camp. J‘suppose que vous serez de la partie ? » Demandais-je en levant un sourcil, comme si je m’apprêtais à leur reprocher quelque chose si elles me répondaient par la négative. Ce Summer Camp serait l’évènement déterminant pour l’année prochaine. Le Summer Camp pouvait détruire à lui seul une réputation qu’on avait mis des années à construire. Bon nombre d’étudiants rêvaient de se rapprocher de ceux des confréries dans le but de pouvoir les intégrer en septembre. C’était un rêve assez commun qu’on notait chez des étudiants de classe sociale moyenne ou inférieure. Pour nous, futurs héritiers de fortunes inestimables et parfois de titres ronflants, il s’agissait là de traditions familiales voire ancestrales que l’on considérait parfois comme un dû. N’appartenir à aucune confrérie était considéré comme une preuve de marginalisme et croyez-moi le marginalisme est très mal perçu dans certains milieux. Pour preuve, mes parents me considéraient comme ingrate de par le fait que je désirais devenir violoniste professionnelle, parce qu’ils aspiraient à une carrière dite plus « noble » comme avocat, juriste… une appellation moins ridicule à leurs yeux et pour ceux de leurs amis avec qui ils passaient leur temps à jouer au jeu du : mon cheval est plus grand le tien.

« Des idées de bizutage pour les premières années ? » Demandais-je car tout le monde le savait bien, même ceux qui rentraient en première année en septembre intégraient le Summer Camp pour pouvoir se faire remarquer, pourquoi pas partager une amourette avec l’un des joueurs de l’équipe de football pour commencer à se construire une réputation. Je devais reconnaître là aux petites nouvelles une certaine ambition, un certain désir d’appartenir à ce monde qu’elles convoitaient avec leurs petits yeux brillants de vierges effarouchées en manque de popularité. Devenir amie avec les jumelles Pearce m’avait remis sur les railles, je m’étais que trop éloignée de qui j’étais vraiment, ayant cru pendant des mois que je voulais devenir quelqu’un d’autre. Je découvrais aujourd’hui que j’étais une peste qui s’assumait et rien ni personne ne pouvait changer ce fait. Je m’aimais enfin comme je l’étais, homosexuelle ou pas. Cela ne changeait finalement rien. J’avais mes propres convictions. Et je savais ou j’allais.
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