ANDREW & EMRYS - Footing entre potes sur les plages de sable fin (j9)

Dimanche 15 Mars, 8H30 du matin. J'envoie un message à mon ami Andrew avec qui j'aime passer des moments et que je n'ai pas vu depuis longtemps. Je suis assez gonflé, je l'avoue de lui envoyer un sms si tôt mais entre nous, c'est habituel ! Alors je ne suis pas étonné quand il accepte de me rejoindre pour un footing sur la plage, je suis déjà prêt alors je descend; basket au pieds, short et marcel de quoi pouvoir transpirer sans soucis et puis on sait jamais si on veut finir par un bain. J'arrive donc sur la plage, lunette sur le nez, regardant le large avec envie.

J'étais un peu défoncé là j'avais fait la fête la veille en compagnie de mon meilleur ami Tate et pleins d'autres personnes. J'avais laissé Aliénor en compagnie de sa tante Jade et sa maman d'ailleurs. Je voulais profiter de mes amis mais j'avouais aujourd'hui que je voulais vraiment oublier des choses... Je voulais penser à moi, arrêter de me leurrer sur le fait que je puisse retrouver une vie normale en compagnie de Liyah... Fin bref aux alentours de huit du matin matin la sonnerie de mon tel me réveilla soudainement et honnêtement si je n'avais pas reconnu la personne qui m'envoyait un sms, j'aurais certainement peté un câble. Mais là il s'agissait de mon pote Emrys qui me demandait si je voulais faire un footing matinal alors jacceptais aussitôt même si je décuvais légèrement... Je me mis aussitôt en tenue de jogging et j'allais rejoindre mon ami. " Hey salut beau gosse ! Ça va ? " je lui donnais une grosse accolade digne de nous

On se retrouvais sur la plage, je m'étais presque déjà échauffé tant j'étais sur la défensive sans presque aucune raison et ce, a force de courir pour tout évacuer. Je lui lançais un regard en le voyant arriver au loin mais je pensais enfin à m'adoucir adressant un sourire au jeune homme qui me salua en me flattant directement pour ensuite demander comment j'allais. J'appréciais l'accolade fraternel du jeune noble avant de me séparer de lui, me posant en mode mannequin et le regardant ; comment je vais, je ne saurais ps te dire ma gueule, j'te jure ... j'eus un petit rire qui sentait bien le faux, le gros fake pourrions-nous dire. Je passais une main dans mes cheveux avant de reprendre, doux ; et toi ca va comment frère ? Je grimaçais inquiet que ça n'aille pas plus que moi.