BANG BANG ALL OVER YOUUUU ❋ BEEZEO LES PLUS BEAUX

Jour 9

   
   

Heure : 15h
Lieu : on the beach bitch
Contexte : repos pas de baby-sitting de morveuse, séance plage euké :sifle:
Participants : Bee l'abeille et Leo le chaton :sifle:

Elle se la jouait star, elle était brushingée comme un caniche alors qu'elle savait pertinemment qu'elle allait finir à l'eau. Elle avait sorti les lunettes de soleil mouche, posées au bout du nez, la pose lascive, comme si elle savait qu'elle était belle et qu'en plus de ça il fallait qu'on le remarque. Elle lisait un magasine, à coup sur elle devait être en train de s'intéresser aux frasques des 1D pendant leurs vacances et s'il y avait quelque chose à en tirer. Beezus était maîtresse dans l'art d'obtenir ce qu'elle voulait et Leo avait la profonde conviction qu'un jour cette fille serait célèbre, admirée de tous et le modèle de millions de petites américaines. Le jeune homme s'approcha du transat où la blonde s'était échouée comme une baleine reine. Elle avait un air de Sharpay Evans et il s'attendait à la voir se jeter dans une danse endiablée en chantant « I'm fabulous » avec une armée de groupies en maillot rose. Et le mieux c'est qu'il serait aux premières loges. Sirotant sa tequila sunrise, caché derrière ses propres lunettes de soleil, il venait à peine de se lever et de se remettre de sa dernière soirée. Maintenant qu'il était guéri de ses petits problèmes, Leo était en pleine phase de reconnection avec lui-même et il lui semblait avoir passé une excellente soirée, du moins c'est ce qu'il en déduisit vu qu'il se souvenait de rien. Détail dont il ne ferait pas part à Bee qui allait en profiter pour lui faire un bébé dans le dos. Plus jamais il ne sortirait avec cette fille, un danger public. Puis franchement si lui était passé par la case IST, elle était passée par la case Angel, beaucoup trop d'erreurs en trop peu de temps pour eux deux, il y avait du boulot pour remonter le niveau. Il termina son verre en aspirant dans la paille jusqu'à faire du bruit, puis même après il continua parce qu'il trouvait ça rigolo et il s'assit sur le bord du transat de Beezus en lui arrachant son foutu magasine people des mains. Quoique il y avait Bar Refaeli dedans alors il lut avec passion l'article avant de le reposer parterre. Il regarda la blonde avec un sourire moqueur. « Merde ! Ça se voit quand même que t'as été enceinte, je pensais pas à ce point … » Il fit la grimace, tout en souriant un peu. « Je me disais aussi que le frigo se vidait rapidement en ce moment, tu as besoin d'en parler ? Baby blues peut-être ? »

Tu grognais alors que Leo venait t'arracher ton si bon magazine des mains – et le connard en plus, il se moquait totalement de toi, commençant à lire un article lui-même comme si finalement tu n'existais plus. Comme si ce magazine qu'il semblait détester quelques secondes auparavant venait de devenir bien plus intéressant que toi. Tu croisais tes bras, les collants contre ta poitrine tout en le fixant, les doigts tapotant ta peau d'impatience alors que tu attendais tranquillement que monsieur se concentre à nouveau sur toi – ce qu'il fit quelques minutes plus tard après avoir posé ton magazine par terre. Il avait son grand sourire sur le visage, mais pas celui du mec sympathique qui adore son amie, plutôt celui qui va profiter de te dire des conneries durant tout ton Spring Break. Tu levais d'ailleurs tes yeux au ciel à sa remarque, reniflant un petit rire parce qu'il était trop con – mais apparemment t'aimais ça. « Arrête, je sais que tu me mates en secret. C'est pas grave leo-chou, ça arrive même aux meilleurs. » Tu lui disais avec une fausse expression compatissante sur le visage, tapotant son épaule de manière compréhensive et rassurante. Tu n'avais pas encore tout à fait récupérer ta tonicité précédente, mais merci le sport et la joie de retrouver la danse qui t'avait tant manqué, tu avais bien maigri depuis que Lily-Rose était sortie. Tu haussais ensuite un sourcil, te rallongeant plus confortablement sur ton transat tout en le regardant. « Arrêêêête, je rachète tout ce que je finis, tu ne peux rien dire sur ça, je suis une coloc modèle ! » Tu disais avec un grand sourire fier – et c'était vrai... Enfin, quand t'étais pas complètement fauchée, ce qui arrivait de plus en plus en ce moment avec le pognon que ça te coutait toutes les couches et les affaires de bébé. De toute manière il ne pouvait rien te reprocher maintenant que vous étiez en Nouvelle-Zélande. « Et oui, j'ai le Baby Blues. Elle me manque. Je suis une horrible mère. » Tu disais avec une moue, soupirant. Tu ne disais même pas des conneries, tu le pensais. T'avais laissé ton gosse chez tes parents pour pas l'avoir à la trimballer ici alors que tu voulais juste t'amuser et profiter du Spring Break, alors que finalement, tu voyais pleins d'élèves d'Harvard qui étaient venus avec leurs enfants, sans avoir le choix. T'étais horrible.

tu sais à quel point je bloque au début des posts ? j'ai décidé de pas faire de début.

Il connaissait sa Bee par cœur, la jeune femme râlait uniquement parce qu'elle n'avait pas eu l'attention souhaitée de la part du brun. C'était aussi simple que ça, elle avait un besoin constant que Leo soit à ses petites soins, elle avait déjà suffisamment abusé du fait qu'elle était enceinte, puis qu'elle venait d'accoucher pour réduire Halberstam au rang d'esclaves de ses petits besoins. Ça tenait de l'exploitation, mais il avait fini par s'y faire et en jouer. Ce n'était certainement pas cette frêle blondinette qui allait apprendre au diable à brûler en enfer. Il lui avait donc volé son magasine faisant la navette du regard entre les photos de mannequins et Beezus comme pour lui signifier qu'il y avait vraiment du boulot. « Je veux pas te vexer ma Bee, mais il y a plus joli à mater dans le coin, mais c'est pas grave, complexe pas, je suis sur un jour tu trouveras chaussure à ton pied ! » dit-il avec le même sourire compatissant qu'elle venait de lui servir. Et toc ! D'ailleurs il jeta un coup d'oeil aux filles qui passaient justement devant le transat où la blonde était allongée et lui assis avant de reporter son attention sur elle. Il ne voulait pas la vexer totalement non plus, après elle allait lui sortir sa tête de chaton battu et il allait devoir lui faire un gros câlin. Leo ne voulait pas en arriver là, non vraiment pas. Il la titillait avec son soi-disant gras du bide, elle répliquait aussitôt qu'elle rachetait toujours tout. Théâtral, il fit de grands gestes de bras. « Mais c'est donc pour ça que tu es sur la paille ! Et dire que tu mets ça sur le dos de Lily-Rose-Chérie. » Avant qu'elle ne se mette à pleurer, crier, faire son gros bébé quoi, il lui sourit en ébouriffant ses cheveux. Le Mather fronça les sourcils, c'était quoi cette histoire d'horrible mère ? Franchement il trouvait que la jeune femme se débrouillait plutôt bien, il n'avait pas d'exemple pour comparer c'est sur, mais tout de même, elle était vraiment chouette comme maman. « C'est pas parce que tu vas pas la voir pendant deux semaines qu'elle va croire que tu l'as abandonné, elle est entre de bonnes mains de toute façon, puis elle a un père aussi hein. »

Tu levais tes yeux au ciel devant le comportement de monsieur Halberstam, qui posait ses yeux sur les filles du magasine – les mannequins taille 34 qui sont souvent bien trop maigres pour le plaisir des yeux – puis sur ton corps en maillot de bain, comme si tu étais encore très loin de leurs ressembler. Dommage pour lui, tu n'en avais pas envie. Tout de même, tu te plaisais à rêver à un monde parallèle où les hommes pouvaient tomber enceint comme dans les sims 4, et où Leo se retrouverait en cloque et gros contre son bon vouloir. Un petit peu comme tu t'étais retrouvé toi-même. Et là tu rirais, à voir en combien de temps il réussirait à retrouver son corps de rêve après avoir accouché. « En tout cas, le Spring Break n'a pas amélioré ton sens de l'humour. » Tu répondant en souriant doucement en coin à sa réponse, avant de reprendre le magasine en main et de le feuilleter, puisqu'il avait tellement l'air d'avoir envie d'être avec des femmes bien plus belles que toi. « S'il y a plus beau, pourquoi tu vas pas voir ailleurs ? » Tu demandais, ne lui accordant pas un regard en sachant qu'il regardait les filles de devant, même si ça t'étonnerait qu'il parte quand c'était lui qui était venu te gêner en pleine activité. Tu souriais ensuite en coin en le voyant lever ses bras et les bouger comme un dangereux psychopathe, et tu secouais ta tête. « Déconne pas, c'est super cher ces putains de couches ! » Surtout qu'il fallait en racheter tout le temps, tout le temps, tooout le temps. Bah ouais, c'était pas propre les bébés, ça faisait pipi et caca de partout – les premières années étaient les plus mignonnes apparemment, mais également les moins glamours. Tu riais ensuite quand il ébouriffait ta sublime chevelure, puis tu lui avouais avoir un peu le blues, qu'il n'avait pas si tord. Tu l'écoutais essayer de te rassurer quant tu avouais être une mauvaise mère, et tu soupirais, lâchant un petit rire. « Un père qui vient d'être enfermé en prison, ô joie ! » Tu ricanais d'un rire nerveux, et t'avais cru halluciner quand t'avais entendu ça : quand tu allais retrouver Angel, ça allait barder. Tu passais une main dans tes cheveux, expirant longuement. « Je sais qu'elle ne va pas penser que je l'ai abandonné, mais je ressens les choses de cette manière. Que dès que je sais qu'elle va se mettre en plein chemin ou que ça va être difficile de la gérer ou pour moi de m'amuser, je la refourgue. » Tu murmurais, un peu plus calme qu'auparavant.

Fusils dans le regard, Leo lâcha ses mannequins et autres Jessica Alba des yeux un instant pour fixer Beezus. C'était quoi cet acharnement dont elle faisait preuve à son égard ? Ou la jalousie, ça sentait la jalousie à plein nez. C'est pas parce qu'il avait un corps athlétique, un important fan club et que de manière générale il s'en sortait dans la vie qu'elle devait être mordante à ce point. Il l'aimait tout fort et elle ne trouvait rien de mieux à faire que critiquer son sens de l'humour chose dont il était très fier. Certes il s'était moqué des quelques grammes de graisse qu'elle avait conservé après sa grossesse mais c'était une observation contrairement à elle où c'était de la méchanceté gratuite et injustifiée. Il préféra ne pas répondre à cette attaque minable. Il posa une main sur son cœur – l'emplacement de son cœur, il ne pouvait pas vraiment toucher son cœur anatomique c'est pas possible – prenant un air profondément meurtri. « Parce que je t'aime, peu importe que tu sois belle ou que tu ne ressembles plus à grand chose, Beezus Darling tu resteras jamais dans mon cœur. » Voilà, il était tout mignon tout adorable et elle arrêtait pas de le taper psychologiquement. Comment voulez-vous qu'il tienne le choc ? Il se sentait craquer émotionnellement, toute cette pression, il avait mal, terriblement mal. S'allongeant à moitié sur la jeune femme, quitte à gâcher son bronzage certes, mais vaut mieux ça que gâcher son amour, il hocha la tête. « Si tu veux je peux t'aider à payer, franchement je veux que ma filleule ait les couches les plus confortables qu'un bébé puisse avoir. » Merde le père en prison ? Comment ça se fesse qu'il n'était pas au courant ? Ah vraiment, heureusement qu'il était là pour assurer le rôle de la figure paternelle. « C'est tout ce qu'il mérite, c'est un crime d'avoir une fille aussi belle. » dit-il poétiquement, même si ce n'était pas vraiment le moment de faire une blague. Il se releva, la regardant, plus paisible, c'était un sujet sensible, il le savait et il n'était plus question de l'embêter. « Mais ça t'es tombé dessus comme ça, c'est pas facile ! Tu verras dans quelques temps ça ira mieux, t'inquiète pas comme ça. »

L'humour de Leo c'était... L'humour de Leo. Il allait de piques en piques, mais heureusement que tu savais parfois faire de même et les lui renvoyer dans sa face de beau-goss. C'était juste que parfois, il t'attaquait un petit peu trop sur ton physique, enfant ou pas enfant pour toi, mais il fallait que tu commences à le comprendre, après tout. Sur quoi pouvait-il t'attaquer d'autre que de s'abaisser au physique presque parfait que tu avais ? Sur rien, car tu étais parfaite comme fille, que tu n'avais aucun défaut dans ta merveilleuse personnalité, alors voilà, le physique. Il plaçait d'ailleurs une main sur son coeur, l'air un peu trop triste, et tu levais un sourcil en écoutant ses arguments de pourquoi il restait s'il y avait plus beau ailleurs. « T'es vraiment un débilos hein ? Tu penses que tu peux alterner entre mots blessants puis phrases - presques - mignonnes pour te rattraper et que ça marcherai ? » Bon... Ouais ça marchait. C'était difficile de faire la gueule à Leo, c'était l'un de ces problèmes où tu n'avais toujours pas trouvé de solutions. Il en profitait un petit peu trop par contre, ça c'était moins bien. Tu le laissais s'allonger à moitié sur toi, riant doucement, et tu passais une main dans ses cheveux, les caressants doucement en secouant ta tête. « Laisse tomber, je n'vais pas te laisser payer ses couches. » Tu assurais, car c'était quand même toi sa mère et que tes amis la gâtait déjà beaucoup trop en cadeau et habits en tout genre. Il fallait au moins que tu fasses semblant de pouvoir subvenir à quelques uns de ses besoin, hein ? « Mais c'est cute, t'es déjà totalement soumis à elle. » Tu te moquais gentiment, amusée sur le tel pouvoir que pouvait avoir un petit bébé d'un mois sur de jeunes adultes d'Harvard. Tu lui avouais après que t'avais entendu qu'Angel était en prison, et le pire c'est que tu ne savais même pas ce qu'il s'était passé. « C'est tout ce qu'il mérite, c'est un crime d'avoir une fille aussi belle. » D'accord, là par contre, tu éclatais totalement de rire sous sa phrase qui méritait amplement de faire parmi de toutes les listes répertoriant les mauvaises pick-up line jamais prononcées. C'était pour ça aussi que tu l'adorais ton Leo chaton, il parvenait à te faire rire même durant des moments où tu ne te sentais pas forcément au meilleur de ta forme. C'était peut-être normal que tu ne t'en sentes pas comme la meilleure des mamans, ta fille venait de naître il avait plus d'un mois et c'était déjà comme si tu te sentais débordée, et en même temps quand tu ne l'avais pas près de toi, ça te faisait également te sentir un peu coupable. « Tu lui diras ça quand il sortira de prison tiens, on verra si ça le fera aussi rire que moi. » Tu lui disais en lui faisant un petit clin d'oeil, avant qu'il se relève doucement. Tu soupirais ensuite, haussant tes épaules. « J'espère. Mais en tout cas, je ne saurais pas ce que je ferais sans vous tous. » Tu avouais d'une petite voix en parlant entre autre de Leo, d'Alaska, de Macsen et de tous tes amis qui te supportaient et qui t'aidaient depuis que Lily-Rose était née – et même avant, lorsque tu avais ton gros ventre de femme enceinte.

Ce n'était pas la peine qu'elle nie, il l'avait bien vu qu'elle avait la larmichette à l’œil. Leo avait bien vu l'expression de son visage, sa tête qui disait 'bon sang faut que je me marie avec lui avant qu'une autre le fasse ce mec est parfait' ou encore 'je vais m'occuper de sa lessive pendant les 52 prochains mois'. Il ne lui en voulait pas, c'était compréhensible. Elle souffrait du trop plein de perfection qu'il accumulait tout comme il avait parfois des complexes à vivre avec la perfection faite femme – avec quelques kilos en trop. Le même air meurtri au visage, Halberstam la regarda longuement sans répondre, comme si elle l'avait profondément déçu de ne pas croire à sa vraie déclaration d'amour éternel. « Si tu savais comme je suis malheureux de constater que tu me prends pour un menteur alors que ce que je te dis là est totalement vrai. C'est tout ce que tu trouves à répondre ? Félicitation Beezus tu viens de me briser le cœur. » La brunette revenait rapidement sur sa décision de le bouder éternellement, pour le plus grand plaisir du Mather qui en profitait pour s'offrir un vrai câlin de décompressage. De toute façon il le savait, du moment où elle touchait ses cheveux, elle était en mode craquage complet, grillée au bout de trente secondes la meuf. « Non mais vraiment, si tu as besoin d'une aide financière la banque Halberstam sera ravie de t'aider. » Il rit doucement, bah un peu qu'il était soumis à Lily-Rose la bombasse, c'est pas tous les jours qu'on lui confiait une responsabilité telle. Il avait pas l'habitude d'être le parrain d'une adorable mini-chose toute mignonne. « Je l'épouserai sûrement quand elle sera grande tu sais. » Merde, il était où son casque, il sentait déjà les coups de la jeune femme s'abattre sur lui. Elle rit néanmoins à sa petite blague, à vrai dire il ne riait pas du tout, déjà qu'il ne portait pas Angel dans son cœur en plus celui-ci arrivait à finir en prison. C'était le pompom. Mais il préféra ne pas s'étendre sur le sujet, Bee savait à quoi s'attendre de la part de Leo et il ne voulait pas se prendre la tête avec la plus belle des colocataires pour un mec qui n'en valait pas la peine. « Arrête je vais pleurer si tu continues. » dit-il en faisant mine de se moucher dans l'épaule de la jeune femme.

BLANCA EST BELLE MAMMA MIA

Il se foutait tellement de ta gueule, que ça en devenait presque vexant si tu ne le connaissais pas aussi bien. Et, maintenant il tentait de se rattraper pour tous les trucs méchants qu'il avait réussi à te balancer depuis qu'il était venu te distraire de ton magazine. Il avait son air triste, déçu que tu ne crois pas un mot de ce qu'il avançait, et tu lâchais un petit rire, levant tes yeux au ciel. « Tu viens de découvrir mon horrible secret mon chaton : je suis une briseuse de coeur. Pourquoi tu penses que je suis toute seule ? » Tu avouais même si c'était loin d'être la vérité, un grand sourire sur tes lèvres à la dernière partie de ta phrase. Tu lui tendais un petit peu trop la perche ce coup-là, il risquait de te sortir teeeeellement de choses ignobles sur les raisons de pourquoi tu étais une femme selle, mais tant pis : tu restais sur le fait que tu étais trop bien pour les simples mortels que tu croisais tous les jours. Tu acceptais son câlins, glissant tes doigts dans ses cheveux, et tu riais alors qu'il assurait une nouvelle fois que tu pouvais lui demander si t'avais besoin d'argent. « Carrément ? Alors j'aurais besoin d'un château, d'une piscine olympique dans le jardin, d'un jet privé pour aller visiter mes parents, d'une limousine pour quand je veux aller en cours,… » Tu commençais à lister, comptant chaque items sur tes doigts – et tu rêvais Bee, tu rêvais bien trop. Tu riais une nouvelle fois alors qu'il te disait qu'il épouserai Lily-Rose plus tard, et tu venais pincer un peu ses côtes, secouant ta tête. « Fait attention toi, elle n'a pas encore dit oui ! Et le consentement dans tout ça ? » Même si ça ne t'étonnerait pas que dans quelque mois, quand elle commencera à dire ses premiers mots, elle accepte cet acte de mariage sans comprendre ce que cela veut dire et juste parce que Parrain Leo lui donne tous les câlins qu'elle veut. Tu roulais ensuite à nouveau des yeux, souriant en le regardant faire semblant de se moucher. « Attend que j'ai mon appareil au moins, que je montre à tout le monde à quel point t'es pas beau quand tu pleures. » Tu répondais tout sourire.

JE NE L'AI PLUS MAIS JE TROUVE AUSSI, MERCI.