Tropical the island breeze...Je me présente Isabel Ganado, fille de Don Giuseppe Ganado fille d'homme très influent dans le marketing spécialsiation en mode et de ma mère Maria L'Hulier, francaise,ancienne championne de danse maintenant chorégraphe pour des artistes de renommées. Si vous croyez que naître à Barcelone comporte son lot de chance, il y a aussi des épreuces plus difficiles. J'avais beau être une ''princesse'' non-royale, j'allais toujours avoir le sentiment qu'il me manquait quelque chose...Je veux bien vous parler un peu de moi en vous racontant mon histoire.
Je suis née le jour de la St-Valentin, un 14 février 1990 à Barcelone dans le magnifique pays de l'Espagne. Je suis née la troisième enfant de la famille Ganado, j'ai deux frères aînés Diego y Esteban et nous avons une petite soeur, Stella. Même si je suis née à Barcelone comme ma petite soeur, nous avions souvent déménager à acause des emplois du temps de nos parents, il n'y avait pas une véritable stabilité dans la famille. Un mois, nous pouvions être à Barcelone et le mois après être à Madrid et j'en passe. Mon père était un passionné de mode, il vénérait Valentino mais bien sûr mes frères eux ne partageait pas les mêmes ambitions que le padre, ils s'intéressaient plutôt au foot européen et rêvait de défendre les couleurs du FC Barcelone. Pour ma part, je savais que j'allais être douée dans un domaine. Il semblait que j'avais héritée de la passion pour la danse comme ma mère. Dès l'âge de 5 ans, je passais par le fameux rite des classes de ballet, je voulais que ma mère s'occupe de moi, je voulais qu'elle soit fière de moi tout comme mon père. Pendant un moment, je voulais savoir que j'hésitais à leurs yeux. Plus les années avancaient, plus j'étais confiante et sûr de moi que je deviendrais une grande danseuse, j'apprenais rapidement et les éloges étaient très gratifiants à mon égard mais comme les fashions weeks, la famille Ganado bougeait aussi de ville en ville et maintenant on quittait l'Espagne pour la Suisse et pendant quelques années, la Suisse ensuite Londres, la Toscane, Rome, Madrid, la Belgique et j'en passe. J'étais tellement dégoûtée de devoir abandonner la vie que je me bâtissais à un certain endroit pour pouvoir en commencer une autre ailleurs...Moi et mes frères et ma soeur avions toujours le droit à l'éducation classique dans les grandes écoles mais je commençais à me demander ou était ma vraie place, je ne connaissais pas la stabilité familliale, seulement la danse et l'école. Gracias a Dios que j'étais douée pour quelque chose parce que j'avais l'impression que nos parents pourraient nous laisser derrière eux et ils ne remarquerent même pas qu'il manquait un enfant, Je voyais la relation entre mes parents qui commencaient à être alimenter que par des frictions et tensions tellement leur emploi du temps était occupé. Je devais jouer le rôle de la mère avec mes frères même s'y il était plus âgé que moi et prendre soin de ma chiquiturri de Stella, a ses yeux j'étais plus sa mère que celle qui nous avait donner la vie mais je ne pouvais pas lui empêcher de penser de cette manière....c'était la pure vérité.
Diego avait 16 ans, Esteban 14 ans, moi 12 ans et Stella 8 ans quand nos parents nous annoncait le divorce...Ca me causait un choc, Je savais que la relation entre mi padre et mi madre était fragile mais la, ils abandonnaient carrément le navire. Jamais ils avaient pensés à nous la dedans, c'était comme si on avait pas exister. Je voulais rester forte pour Stella et mes hermanos, je voulais pas qu'il me voit faible, sans espoir et démoraliser alors je canalisais ma colère dans la danse. Je continuais mes classes peut importe dans quel pays que j'étais et j'améliorais mon art. Je voulais me sentir apprécier et importante pour une fois, le sentiment que me procurait la danse était indescriptible. Je voulais être que la meilleure au pays au point de faire rougir les danseurs professionnels de on danse avec les stars. À 17 ans, je sentais que mon rêve d'être une danseuse professionnelle pouvait se réaliser. Malgré la demande importante, on m'avait approché pour être une élève à la James Madison School of Arts aux États-Unis dans le cursus danse, je flottais sur un petit nuage....J'avais bien grandi aussi, je n'étais plus seulement la petite fille qui défendait sa famille mais je commencais a devenir une belle jeune femme espagnol et le regard qu'avait les mecs sur moi changeait également, on m'enviait, on me désirait. Je jouais sur mes atouts mais au profit des valeurs espagnoles quand même. J'étais en voiture avec mon copain de l'époque, on revenait d'une fête en l'honneur des Premios Juventuds qui était présenté dans ma ville natale cette soirée la quand tout a basculé. Je me suis emportée et me disputait avec Stefan pour me laisser conduire la voiture vu que le taux d'alcoolémie qui l'avait et il était trop fier comme un pan pour que je conduise SA voiture qui devait avoir beaucoup plus d'importance à ses yeux que moi. Résultat, on percutait un arbre de plein fouet et je me suis blessée à la jambe, la cheville et le genou avait souffert. J'allais m'en sortir grâce à la physiothérapie mais la danse, je devais faire une croix la dessus et dire adios à l'école de danse aux États-Unis. Je peux vous convaincre que je n'ai plus jamais adresser la parole à Stefan depuis ce soir la.
Résultat de défier l'autorité une fois de trop, une dépression. Pendant un an, je souffrais de dépression en faisant mon deuil de la danse....Ca m'avait rendu malade et je priais Dieu à chaque soir comme matin pour qu'un miracle arrive. J'étais en week-end chez mon père et il voyait que sa princesse souffrait. Il m'acheta par les sentiments et m'emmena avec lui faire la tournée des fashions weeks. C'était l'appel divin que j'attendais et à chaque fois qu'on voyageait lui et moi, les moments père-fille contribuait à ma rémission et je commencais a prendre gout pour le jet set continu et la vie de la mode. J'étais à la fashion week de Londres et j'étais si heureuse de pouvoir revoir mes amis que je m'étais fait ici. Mon père avait assuré tout le marketing pour le défilé en primeur de la collection d'automne de chez Chanel. On avait les meilleurs billets pour l'événement, les premières rangées. Je fis la rencontre de Russell, un photographe prometteur des États-Unis et agent pour une agence de mannequin qui me proposait de faire mon portefolio, en croyant que j'étais mannequin. J'avais ris au début, moi l'étoffe d'un mannequin? Après avoir parler de sa avec mon père, ma mère et mes frères et Stella, je décidais de tenter ma chance, on ne savait jamais ce que le résultat allait donner. Était-ce une intervention divine? 3 mois plus tard après la fasion week, je décochais mon premier contrat en tant que mannequin. Si la danse m'avait abandonnée le mannequinat lui m'ouvrait une porte.
25 ans, girl power! Si vous m'auriez dit que ma vie allait bousculer à cause d'un simple portefolio, jamais je vous aurais cru mais c'était la réalité. Depuis mon premier contrat à 18 ans, ma carrière de mannequin était bel et bien lancée en Europe. Mon nom était dans tous les défilés, les séances photos, représentation cosmétique. J'étais une membre de l'univers de la mode et je ne voulais pas le quitter. J'étais devenu un mannequin de renommé et j'étais approchée de partout...Je vivais une vie de rêve! Même si mes relations familliales en prenait un coup. La chance souriait aux enfants Ganado, Diego était membre de l'équipe réserviste du FC Barcelone. Esteban faisait des yeux doux à l'armée et Stella développait un gout pour la mode et la danse, c'était à notre tour de briller. Pour devenir un top modèle, il fallait être connu à l'internationale! J'avais fait une apparition comme juge invitée à Spain next top model mais j'en voulais toujours plus. J'avais soif de connaissance et je voulais apprendre tout ce que je devais savoir sur la mode même si je connaissais un peu de tout déjà. Je décidais de quitter Barcelone, le nid familliale pour les États-Unis et tenter de percer le marché de la mode la bas. Je fis appel à un bonito amigo, Alejandro Ortega. On s'était connus dans les coulisses de la Fashion Week à Paris et il était divin! Je devais gardé contact avec lui et justement sa tombait qu'il habitait Boston, ou j'essayais de me faire recruter par une importante agence de mannequin la bas. Je lui lachais un coup de fil et je lui expliquais mes projets et il accepta même de me prendre en tant que colocataire le temps que je me trouve quelque chose, il était trop mignon.
Aujourd'hui, je suis toujours mannequin mais j'ai décidée d'ajouter une corde à mon arc et je suis étudiante à temps partiel à Harvard! C'est fou non? Je fais des études de marketing et d'administration et j'adore. Ma carrière est en pleine essor aux États-Unis mais un côté de moi, souhaite que les choses se calment un peu pour que je suis puisse continuer à apprendre et avoir un dîplome d'une université de l'Ivy League. Ca fait maintenant près de 6 mois que je suis à Harvard alors si vous lisez ceci peut-être que j'ai capté votre curisioté ou est-ce qu'on se connaît? Qui sait? J'ai hâte de revoir des visages familiers sur le campus et je vous ai pas tout dit sur mon histoire a vous de la découvrir être la petite nouvelle, débarquée fraîchement d'Europe c'est un appel à l'intégration!
Bisous,
Isabel. xoxo