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WYNTER "SWEETIE" SFORZA ► alysha nett

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Wynter "Sweetie" Sforza

C'est le 20 novembre 1994 à Rome, que les membres de la famille Sforza m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Wynter.  Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de economie (M) et de relations internationales (m) depuis la rentrée 2014 ans et travaille en parallèle de mes études en tant que bénévole à l'hôpital pour tenir compagnie aux malades et accessoirement en tant que féministe vouée aux droits d'la femme. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Dunster ou les Student.

Pourquoi DUNSTER ou STUDENT ?
DUNSTER
  Je n’ai peut être jamais été un modèle en classe, je n’ai jamais été la première de ma promo ou de ma classe. Enfaîte j’étais plutôt celle dans les derniers et pourtant Dieu sait que j’ai pas rien dans la tête. J’aime être avec des gens d’un niveau intellectuelle remarquable, c’est toujours plus constructif. Dans ma vie j’ai toujours visé la première place, je suis une compétitrice en quelque sorte pour atteindre mes ambitions. Je pense avoir ma place au sein de cette confrérie, parce que finalement, je ne me vois nul part ailleurs. L'université est pour moi le meilleure moyen pour pousser des capacités et bosser toujours plus dur.

   STUDENT
Comme je ne me vois dans aucune autre confrérie que les Dunster si je ne peux pas intégrer les Dunster j'irais volontier en simple student.
Mon personnage c'est le plus beau
APRÈS LA BOMBE
Je n’étais pas encore à Cambridge quand cette bombe à explosé, enfaîte je crois que j’en ai jamais vraiment entendu parler avant d’arriver sur le campus. C’était pas ce qui intéresser le plus en Italie à cette époque.  

   APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
  A ce moment la je n’étais pas sur le campus même, disons que j’étais plutôt à l’hôpital avec les enfants. Ils en parlaient à la télé, autant dire qu’on était tous scotchés devant le petit écran. Un de mes frères y était lui, comment expliquer ce que j’ai pu ressentir en le voyant arriver blessé à la jambe ? Je me suis sentie impuissante, comme rarement dans ma vie.  Je ne pouvais pas faire grand chose à part rester là bas.. Attendre. J’en ai voulus à mort ces quatre personnes jusqu'à apprendre qu’ils l’étaient déjà.
#BEWEIRD

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle #BEWEIRD ou encore Lucie et j'ai 16 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à grace aux tops sites je crois. Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de Skyler Hope Boyle (cabot). J'utilise Alysha Nett comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par angel dust. Je fais environ 100-900 mots mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

   Mot de la fin ?hanwii

   Je souhaite ▲ (retire la balise i qui ne correspond pas
fa-check = oui ; fa-remove = non)

    adhérer un flood d'intégration (?)



   
Pour des "once upon a time"




Londres 1993.

Elle est assise dans ce sofa, confortable, élégant sans trop l’être, un rouge vif en cuir. Les jambes croisées, elle a le sourire, les mains sur son ventre rond. Son époux lui semble beaucoup moins sur de l’instant présent, il n’est pas du tout à sa place il faut dire. Jamais il aurait pensé se retrouver dans une telle situation. Un riche italien qui à Londres pour ce genre de chose.. Qui aurait pu imaginer ? « Arrêtes de bouger comme ça chéri. Tout va bien se passer.» Lui dit-elle en posant sa main sur sa cuisse pour qu’il arrête de la gesticuler dans tous les sens. Il lui jette un regard inquiet en voyant l’homme qu’ils attendent avec impatience depuis tout à l’heure, arriver devant eux. Ils se sont donnés rendez vous dans un salon de thé dans la capitale Londonienne. Depuis le temps qu’ils en parlent de cette rencontre. Bon pour dire vrai, elle le connaît depuis bien longtemps elle. C’est son ami d’enfance, ils en ont passés du temps ensemble et aujourd’hui elle lui demande un gros service. L’homme s’est installé en face d’eux, sous le regard inquiet des jeunes mariés. « C’est génial que tu sois venu ! Il voulait te voir en personne, après tout c’est normal, tu vas être le père de nos enfants. » C’est pas une mince demande d’aide qu’elle lui a fait là.. Oulah, elle lui en a demandé beaucoup et lui il veut juste l’aider.  « C’est normal, moi aussi je ne cache pas que je voulais voir le père de mes enfants. » Elle est enceinte de cet anglais, enceinte de son premier enfant. Elle aurait pu tomber enceinte de son mari respectif en effet, mais pour ça il aurait fallu qu’il soit fertile. Monsieur Sforza a accepté d’élever les enfants d’un autre que lui tout en les traitants comme les siens. Ils ne voulaient pas adopter. Parce que c’est trop long, trop couteux, trop de paperasse. L’alternative était simple. La femme a sortie de son sac une petite enveloppe contenant des photographies de l’échographie faite il y a quelques jours. Elle tient tant à lui montrer. « Je te laisse admirer notre petite Sforza. » Elle a dit petite.. Une fille. C’est une fille ! Et le prénom à déjà était tout choisi. « Manu Sforza » ! Elle dit ca avec tant de fierté, son époux lui lance un sourire radieux lui aussi, une main sur le ventre de sa femme. « La naissance est prévue pour fin décembre. » Un beau cadeau de noël.

Rome, 1995.

« On peut pas rester ici ! C’est trop dangereux ! » C’est la panique total dans la maison des Sforza, des pleures, des cris. Elle tient un bébé dans les bras, un bébé de trois mois. Son deuxième enfant, elle la sert fort contre elle. Elle ne veut pas la perdre celle là. « Je sais qu’il faut partir ! Mais moi je ne peux pas ! ».  Il garde son sang froid, il reste de marbre. Sa fille, sa première petite fille, Manu, s’est faite enlevée, kidnappée et très certainement tuée. Il sait que c’est de sa faute, il en a honte, il n’a jamais voulu que ca arrive, comme ça ! Dans la panique il prend un sac, quelques affaires de sa femme, du bébé. Il sait qu’elles doivent partir vite. « C’est vous qui allez partir. Pour Londres… Ce soir ! » Elle fond en larme en prenant difficilement le sac d’une main. Il n’y a pas d’autres solution de toute façons. On ne peut pas rivaliser ou prendre de risque dans cette situation. « Tout ça c’est de ta faute, avec tes magouilles à la con, tes trucs de mafia de merde ! On a perdu une fille, ils l’ont tués merde ! » Il avait des problèmes d’argents, il voulait subvenir au besoin de sa famille. En Italie il est facile de tomber sur des gars pas très cool, des gars qui sont la que pour leur propre intérêt, des gars qui ont vu un intérêt certain à ramener les Versace dans leur cause. « T’avises même pas de venir nous rechercher là bas, j’veux plus jamais te voir. C’est fini." Elle a quitté la maison, son bébé et son sac dans les bras. Elle s’est arrangée comme elle a pu pour prendre un avion direction London pour se réfugier chez un ami de longue date là bas.

Appel de Rome vers Londres, 2000.


« - J’tai dis de plus jamais reprendre contact.
- Je sais mais écoutes moi.. J’ai réglé les problèmes j’en sais plus sur l’enlèvement de Manu.. Je suis désolée.
- Le problème c’était toi, tu le sais très bien. A cause de tes magouilles dans ma mafia ma fille est morte.
- Maintenant je fais plus d’affaires avec des mafieux, j’te le jure.
- Comment je peux te croire ?
- J’suis moi même un mafieux qui fait des magouilles maintenant.
- Pardon ?
- Fini les problèmes d’argent, fini les conflits avec tout le quartier. Chérie, je fais ça pour venger notre fille.
- Qui me dit que les enfants seront en sécurité si je reviens ?
- Les enfants ?
- Ah j’te l’ai pas dit ? J’ai accouché de jumeaux y’a quatre ans.
- .. Qu’importe, tu seras en sécurité tout comme eux ici, crois moi.  Je t’aime. Il pourra jamais rien t’arriver.
- Me rappelle plus, ok ? »



Rome, 2009.

Appuyée contre le mur, la clope entre les lèvres, la fumée qui s’en échappe par petite soufflée. Le mon extérieur m’avait bien manqué. Entendre le bruit des voitures, regarder les gens avancer dans la rue, un pied devant l’autre, la tête baissée sur leur écran de portable ou entrain de regarder le sol pour éviter de marcher sur je ne sais quoi. Certain ont le sourire, d’autre non. Il y a même cette petite vieille qui essaye de traverser la route depuis une bonne dizaine de minute, mais elle a bien trop peur d’avancer et de ne pas avoir le temps sans doutes. « Arrêtes de rêver, on y va. » Je ne rêve pas.. J’ai pas le temps de rêver. Il y a bien trop de chose à regarder dans ce monde pour en avoir le temps, pour même juste songer à rêver. Ma mère passe devant moi en me jetant un regard pour que je la suive. On rentre à la maison ouais.. La maison que j’ai pas vu depuis un an. Ma mère m'a foutue dans un espèce de centre, on peut pas dire hôpital psychiatrique, mais presque. Pourquoi ? J’ai gravement tabassé une fille après l’avoir vu se moquer d’une personne handicapée. C’est une chose que je n’arrive terriblement pas à supporter. Se moquer de quelqu’un de différent je trouve ca tellement petit, tellement faible. C’est hors de moi de supporter ce genre de chose. Je suis d’un naturel plutôt calme, avec du sang froid mais la.. La famille de la fille n’a pas voulue porter plainte mais ma chère mère à juger bon de me punir à sa manière. Une année complète où je n’ai pratiquement pas ouvert la bouche, pour parler à qui que ce soit. A peine pour demander à manger, à boire ou ce genre de service futiles. Ils ont essayés de me proposer des activités "ludiques", me remettre dans le système scolaire sur lequel j’ai jamais accroché. Mais le problème c’est qu’ils ne savaient pas à ce moment comment fonctionnait mon cerveau, comment je pouvais réfléchir, comment Wynter Sforza fonctionne. Les psychologues essayaient de me faire parler, en vain. Ou alors la discussion tournait en rond. Les professeurs voulaient me faire travailler, oh ils y arrivaient.. Pendant deux minutes avant de me faire dormir d’ennui sur la table. Ils ont mit bien six moi avant de comprendre que finalement je suis une enfant précoce, à haut potentiel intellectuel, comme vous voulez. Pour moi une simple question se transforme en toute une hiérarchie d’autres questions qui ne cessent de s’arrêter dans ma tête. Les gens, les animaux, les particules, un objet.. tout est propice à susciter ma curiosité. Au niveau scolaire, j’ai toujours été vue comme la cancre, celle qui préférait ne pas parler au fond de la classe, celle qui ne foutait rien à part dormir quand elle ne séchait pas. Tout est trop lent, tout est trop immobile pour moi. Une semaine pour apprendre une leçon, un jour me suffit. Alors j’ai toujours été vue comme un singe un animal étrange, un spécimen qui ne fallait pas approcher, parce que.. J’suis une Sforza. Les Sforzasont très mal vus dans le pays, dans la ville.. Partout où il y a un Italien ont parle d’eux en mal. La famille a déjà été cible de très nombreuses plaintes pour détournement d’argent. Alors mes gentils petits camarades n’osaient même pas venir me voir, personne n’a jamais vraiment osé. Mon enfance s’est résumée à.. une certaine solitude qui me plait grandement. Je suis une louve solitaire, j’avance seule, je me bats seule. Mon père m’y a toujours encouragé d’ailleurs.. « ma fille n’oublis jamais que tu ne peux faire confiance qu’a toi même. » Et je crois bien que c’est vrai, non d’ailleurs j’en suis sûre. Mon père c’est mon exemple, mon modèle, je le suis, je lui voue une confiance énorme, tout comme lui avec moi. Très jeune il m’a mise dans les affaires de la familles, essentiellement composé de blanchiment d’argent ou de trafic de drogue. A douze ans je fumais déjà et peu de temps après c’était plus que de simple clope. Je marche en arrière de ma mère, je ne veux pas m’approcher d’elle, je ne veux rien avoir à faire avec cette femme. J’ai toujours dit que la famille c’est important alors que pourtant, elle est la seule personne que j’ai du mal à cautionner. Elle a toujours nié le fait que mon père n’est enfaite pas mon vrai père. Elle me prend pour qui sérieusement ? Il y a bien longtemps que j’ai compris qui est mon vrai père. Cet anglais qui vient parfois à la maison et qui veut à peine m’adresser la parole. Il n’y a que moi qui le sais. Mes frères, ces deux jumeaux ne le savent pas non plus. Et c’est très bien comme ça. Ils sont trop fragiles pour le savoir. « Dépêche toi, faut que je passe a la banque voir ton père. » Ma mère a réussit à se faire un nom dans la politique italienne bien que mal vu pour ses idéologies sont jugées trop radicales et mon père est devenu le pdg d’une chaine de banque Italienne. Statue qui l’arrange plutôt bien pour faire passer de l’argent au noir, faire du trafic et j’en passe. « Je vais rentrer seule. » Enfin de quoi m’aérer l’esprit, rester seule, dans ma bulle.

Rome, 2007.

C’est grand. Enorme et magnifique. Comment décrire une telle merveille n’est ce pas ? Ces couleurs, ce jeu de lumière qui se reflète entres eux, donnant un effet mystérieux entre ses murs froids, épais et surtout immense. Je pourrais peut être passer des heures assise sur cette chaise là. Des heures sur cette troisième chaise à la deuxième ligne en partant de la gauche. Celle juste à côté de la petite vasque remplie d’eau bénite. Ce silence, cet air frais, cette ambiance solennelle, à la fois apaisante et pesante. Une église, une religion.. Un tat de questions. Ces croyants qui viennent prier ou bruler des cierges. Cette statue immense représentant le Christ sur sa croix. Faut-il avoir un peu trop d’imaginaire pour y croire ? Faut-il être un scientifique aguerri pour trouver tout ca stupide ? Je pense que une religion reste quelque chose pour unir tout un monde, qu’on y croit ou pas. Elle fera toujours parler d’elle de chaque côté, de toutes les manières pendant encore des années, et surement pour toujours. Pourquoi les personnes ce sont attachés à des idées de la sorte ? Qui a mit en place la Bible.. Le Coran.. Ou encore tout ces livres sacrés qui servent de dictâtes à de nombreuses personnes. Je suis assise là, depuis peut être une demi heure. Et je ne ressens toujours pas l’envie de partir, de me couper de cette atmosphère sainte. C’est aussi ici que j’ai rencontré il y a quelques temps une fille, un être de même sexe que moi, du même âge. Le courant est bizarrement toujours bien passé entre nous et depuis je viens souvent la voir ici. Nos mondes sont opposés, complètement, entièrement, en long et en large. Et pourtant… Avec elle je peux rire, sourire, parler de ma vie, être moi et pas cette fille que personne ne comprend. Elle est intelligente, elle me montre que les personnes de mon âge ne sont pas tous puérils ou ennuyeux. Je sais que sa famille ne m’apprécie pas, je sais que la mienne.. s’en fou bien mal. Elle n’est pas un danger pour moi et à partir de la, mon père me donne toute sa gratitude. Je ne sais même pas si il sait comment je l’ai rencontré.. Qu’importe, ce ‘est pas important. Pas le moins du monde. Je lui fais gouter à la vie, cette vie qu’elle ne connaît pas vraiment, la liberté de penser, de faire, d’agir. Les nombreuses choses qu’on peut faire sans passer pour le diable en personne. C’est vraiment la seule personne avec qui je suis différente. Et c’est bien pour ça que je lui ai promis que ce serait pour la vie.. Amen est à ce jour mon unique amie, la première et surement la dernière.

Rome, 2010.

Après mon p'tit dérapage il y’a un an, m’a vie n’a pas beaucoup changé, je reste a même malgré tous les pseudo conseils des psy que j’ai pu voir en un a. Ces personnes qui sont payés à t’écouter raconter ta vie, alors que tu peux très bien le faire tout seul. Je vis par moi même, personne ne peut me guider dans mes choix. De toute façons je ne leur parlais jamais alors.. Ils devaient se sentir un peu con en face de moi. En sortant j’ai pu retrouver Amen, ma p’tite vie remplis d’inattendus, d’action et de n’importe quoi dans un sens. Ma vie sentimentale est inexistante pour la simple bonne raison que je ne tomberais jamais amoureuse. Je ne refuse pas ce sentiment non, je sais juste que je serais incapable d’aimer qui que ce soit dans ma vie. L’attachement c’est trop dangereux pour vivre surement. L’attachement, un couple, l’amour, c’est trop une routine que je ne veux pas essayer. J’ai grandis dans la mafia. Je sais de quoi je parle. Ces hommes qui ne pense qu’a eux, qu’au plaisir, aux relations d’un soir, qu’a baiser, fumer. Pourquoi les femmes ne pourraient-elles pas le faire ?  J’en suis la première à faire comme eux. Ma première fois.. j’avais treize ans et depuis, tout ces enchainé. Un peu trop vite comme dirait certains. Le sexe est pour moi comme une drogue, quelque chose qui ne se contrôle pas, quelque chose qu’il faut assouvir. N’ importe où, n’importe quand.
Le soir je fréquente des endroits peu recommander pour une fille de seize et pourtant j’reste très bien respectée dans ce genre d’endroits. Les mecs ne me voient pas comme une gamine à violer facilement. Ils savent qui je suis et qu’il ne faut pas m’emmerder. Un soir j’ai ramené Amen avec moi. Au début il faut dire qu’elle était plutôt réticente à cette idée, une soirée calme en premier lieu, à une heure un peu avancé histoire qu’elle ne soit pas affolée à voir autant de mec plus âgés autour d’elle. Une superbe soirée dont j’en garderais longtemps le souvenir. Pour la première fois je la voyais vraiment heureuse, certes bourrée, mais heureuse. Une fille bien, pas coincée. Une fille géniale. Bien sûr après cette petite virée alcool, ses parents m’ont encore plus détesté. Mais cette fois, vraiment.  « Je ne partage pas les mêmes idéologies que vous madame, mais sachez juste que jamais il n’arrivera malheur à Amen en m’a présence. » Etrangement, être la meilleure amie d’une fille de mafieux ca peut être bénéfique sur la sécurité. Je me suis toujours jurée de la protéger même si je l’enfonce un peu avec moi dans mes côtés sombres. Je ne veux que son bien, je ne veux qu’elle.

Rome à New-York, 2013.

Le drame.. La catastrophe. Elle ne peut pas me faire ça, pas à moi, pas comme ça. Je m’en veux de lui avoir dis tout ça, et pur tant je le pense vraiment. Pourtant je suis sur que Julian lui voulait du mal. Ce n’est qu’un mec, en apparence un gentil garçon qui pense avec sa bite n’est ce pas ? Je ne veux pas prendre le risque de la voir souffrir, je ne veux pas prendre le risque de la voir proche de quelqu’un d’autre. C’est pourquoi je lui ai dit ce que je pensais, mais ca l’a vexée. Un peu trop peut être. Elle est partie, partie loin.. Sur un autre continent. L’Amérique. Je ne lui en veux pas. Je ne suis pas rancunière, pas pour ça, pas pour elle. Je respect son choix. Elle est partie.. C’est comme ça. Je ne vais pas lui courir après. Ce n’est pas moi. Amen est partie, ma vie continue, ma vie de solitaire. Agée de dix huit ans. Mon cerveau frôle l’envie d’intégrer une université, pousser mes capacités bien plus loin. Sortir diplômée, reprendre l’affaire familiale. Rendre mon père fier de moi. Même si pour lui, les études ne servent à rien. Il est déjà trop fier de moi je crois. « C’est quoi ce bordel ? » Je rentre un soir, dans le salon je vois.. Une colonie de valise côte à côte. Je sais très bien qu’il n’y a quelques choses qui ne va pas. Quelque chose de gros.. Jamais en dix huit ans je n’ai vu autant de panique dans cette maison. On s’en va ma puce. On quitte l’Italie. » Son regard pesant, inquiet.. Je ne peux pas poser plus de questions et puis je sais que je vais aussi très vite comprendre. On a tous fait nos valises, on s’est embarqué dans une voiture sans prendre la peine de prendre plus de chose que nos vêtements. Je serre mon pendentif contre moi. Ce pendentif qui me suit depuis toujours. Portant mes initiales et celle de ma grande sœur apparemment disparue quand je venais de naitre. Pour le première fois de ma vie j’ai peur. Je ressens une émotion énorme en pleine gueule. Pourquoi fuir comme ça ? Et c’est après, en arrivant sur le sol américain que j’ai compris. La mafia voulait notre exile.. Mon père s’est fait banni de cette sorte de communauté. A cause de nous.  Moi, mes frères. Nous sommes des enfants illégitimes, et ca je le savais depuis longtemps. Nous ne sommes pas les vrais enfants de Sforza, non, notre père est un anglais. On se retrouve dans un appartement à New York, un peu déboussolé part tout ça. Les jumeaux ont intégrés Harvard, poussé par maman. C’était leur rêve.. Une grande université.. Des fêtes à gogo, des gens venant du monde entier. Ils sont comme ça eux.. Un rien leur fait plaisir. Un papillon pourrait les rendre heureux. Moi je suis moins réceptive à l’idée de recommencer toute une vie ici, aux USA. Ici je ne suis plus rien.. Je ne suis plus celle que j’étais là bas. Je n’ai plus ma petite réputation, mes repères. Et pourtant je m’adapte très vite à la vie New-Yorkaise.

Cambridge, 2014.

Mes frères ont eus raison de moi. Ils ont réussis à me faire craquer. Pour de bon. Je pose mes valises à Cambridge en cette rentrée septembre. Je pose mes valises à Harvard, une nouvelle Terre inconnue. De nouveaux repères, une nouvelle vie. Je dois vivre en collectivité ici, c’est dur pour moi. Dur dans un premier temps. J’essais de garder mes distances avec les autres, vivre ma vie comme je l’ai toujours fait. Les études se passent.. Bien. Je ne suis pas première de ma promo, parce que je n’en ai pas l’envie. Les résultats ne servent à rien. Le final lui est le plus important. Mes  professeurs sont conscients de mon fonctionnement et ont réussis à trouver le parfait équilibre dans les cours pour ne pas m’ennuyer, me permettre de chauffer le cerveau sans jamais ressentir l’envie de tout bâcler par lacement total. C’est ici aussi que ce trouve Amen.. Je le sais. Je l’ai vus. Je n’ose pas l’approcher lui parler. Lui adresser la parole. J’ai peur de sa réaction, pour une fois dans ma vie. Peur de la perdre encore une fois en essayant de la récupérer.. Elle est.. Particulière pour moi.

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Re-Welcouuuuuume WYNTER "SWEETIE" SFORZA ► alysha nett 3850463188
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(Re)bienvenue. WYNTER "SWEETIE" SFORZA ► alysha nett 2511619667
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RE BIENVENUE BEBE CONNAAAAAAAASSE hanwii WYNTER "SWEETIE" SFORZA ► alysha nett 2931463659
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MERCI VOUS TROIS hanwii

GASPA, nous faudra un lien qui déchire tout (emo)
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RIP Jojo :TT: (je me permets huhu) ça fait bizarre Ö
Rebienvenue!
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Moeeew merci :sifle:
mais le jojo risque de revenir sous forme féminine :hum:

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Bon courage pour ce nouveau personnage
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re-bienvenue WYNTER "SWEETIE" SFORZA ► alysha nett 2109348208
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Merci à vous deux Vic
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