Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitywho let the dogs out ? ~ quentin
Le Deal du moment : -50%
Friteuse sans huile – PHILIPS – Airfryer ...
Voir le deal
54.99 €


who let the dogs out ? ~ quentin

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Il est presque seize heures. Le soleil caresse la peau de la belle blonde. Vêtue d'un simple débardeur blanc et d'un pantalon de survêtement bleu marine, la jeune femme s'apprête à entamer un footing. Elle a noué ses longs cheveux blonds en un chignon imparfait et a chaussé ses baskets roses préférées. Elle attend simplement Bretzel. Elles s'étaient données rendez-vous à quinze-heures quarante cinq suite à une bonne résolution pour se mettre au sport. Malheureusement, Bret' ne montrait pas le bout de son nez. Et pour Lulu, les retards étaient difficiles à concevoir. Elle était toujours très ponctuelle. Du coup, elle détestait quand les gens se présentaient à elle avec du retard. Lucette attrape son portable dans la poche de son survet' et atteint rapidement le numéro de Bret' qui est dans les numéros dernièrement composés. Elle tapote du pied d'impatience et tombe sur la messagerie. " C'est Lulu. Tu fais quoi ? Je vais commencer sans toi, je pense. " La voix de Lulu est plus froide que d'habitude. Elle raccroche et planque le téléphone dans sa poche. Elle s'assoit quelques instants sur un banc et soupire longuement. Elle pouvait toujours commencer son footing toute seule. Mais la motivation semblait soudain avoir disparu. Elle s'était mise en tête de faire ça avec Bret'. Du coup, elle hésite longuement avant de se relever et de prendre ses jambes à son cou. Le footing serait pour plus tard. Du moins...

Un chien errant commence à tourner autour d'elle et à lui renifler les jambes comme si elle était un intéressant bout de viande. Et c'était peut-être ce qu'elle était dans le fond. Lulu aime bien les animaux. Elle est de ceux qui pensent que quand on n'aime pas les animaux, on ne peut pas aimer les gens. Ce chien-là ne lui inspire cependant pas vraiment confiance. Elle fronce les sourcils et tente de ne pas montrer à l'animal qu'elle n'est pas rassurée. Malheureusement pour elle, le chien commence à lui aboyer méchamment dessus. Lulu accélère le pas mais le chien la suit et commence même à lui sauter dessus. Il semble ne pas avoir mangé depuis des jours. Cela se voit car il n'a que la peau sur les os. Cela attriste Lulu mais en même temps, elle se sent menacée par l'animal. Désormais, le chien montre les crocs et cette fois, c'est certain, elle panique. Elle flippe carrément et se met à courir. Elle sait que c'est une réaction stupide mais c'est sans doute un instinct de survie. L'animal la poursuit et est si rapide qu'elle ne trouve pas d'issue. Si elle s'arrête, il va la mordre, lui filer la rage. Du moins, c'est ce qu'elle pense en cet instant précis. Elle ne peut s'empêcher de jurer, ce qu'elle ne fait que très rarement d'habitude. "Oh, putain... Putain. " Alors une seule solution se présente à elle. Elle regarde l'arbre devant elle et ferme les yeux deux secondes avant de se décider à grimper. Très maladroitement. Elle s'égratigne au passage et les larmes lui montent aux yeux quand elle se demande combien de temps elle va devoir attendre perchée dans son arbre. Elle n'a vu aucun promeneur pour l'instant. Elle l'aura fait son footing, finalement. Elle reprend doucement son souffle tandis que l'animal en bas de l'arbre aboie de plus belle en attendant impatiemment que sa proie descende ou bien tombe de l'arbre. Car effectivement, la jeune femme est assise sur une branche un peu bancale et les craquement qu'elle entend ne lui disent rien qui vaille.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Moi qui pensais que seuls les fruits mûrs tombaient des arbres.
Beau temps. Idéal pour un après midi tranquille. Son jour de congés. Vu ce qu'il bossait par jour, il n'était pas rare qu'il ait le droit de poser ses jours quand il voulait, du moment qu'il faisait son boulot et que les dossiers arrivaient et complétés à l'administration de Havard, les résultats avec, personne ne lui disait rien. D'autant plus qu'ils savaient pertinemment qu'ils n'étaient pas un tir au flanc. C'est donc avec plaisir que Quentin avait pris son aprèm. Jean bleu foncé, pull camionneur noir, il avait pris la direction du chenil où il était bénévole, pour aller se défouler un peu avec les clébards sans maître. C'était un de ses passe temps sains, et bien un des seuls être sur terre qui ne savaient pas mentir. Quand il arriva, Léona, un bonne femme bien en chair, avec un double menton et une vitesse de course proche d'un mouton en pleine panique, se rua sur lui, et il ne comprit pas franchement ce qui se passait. Tartiflette était resté dans la bagnole sur la grosse couverture qu'il avait utilisée aussi pour un type bourré qu'il n'avait pas voulu laissé seul dans cet état quelques jours avant, un certain Gary Lewis. Etrange rencontre riche en émotions, mais pour l'air, c'était la grosse Léona qui retenait son attention. Il la détacha poliment de son illustre bras de psy un peu cérébralement épuisé.
- Oh mon pauvre monsieur Miles, j'ai un graaaaaave problème! Personne ne veut de Loubard! Je n'arrive pas à le faire adopter et il est trop gros pour que je ne me fasse pas emporter pendant la promenade! Vous avez un grand cœur vous, vous comprenez les animaux! Aidez-moi!
Quentin haussa un sourcil. Cette femme était peu équilibrée parfois, et adepte du mélodrame inapproprié.
- En même temps, Loubard est puissant. Une famille ne vous le prendra pas.
Il n'osait pas ajouter que vu la sphère humaine qu'était cette bonne vieille Léona, en pleine descente avec ce chute, c'était la gamelle assurée et elle roulerait bien bas. Il remit calmement sa manche de pull en place et elle insistait en lui faisant des yeux de chat potté ... enfin, si on peut appeler ça comme ça.
- Vous devez le prendre avec vous. Un test d'un petit mois allez! On fournira tout!
- La question n'est pas là. J'ai déjà un chien.
- Mais Loubard adore les autres chiens !
- J'aimerais autant qu'il ne le dévore pas. Je ne sais pas comment ils pourraient réagir.
- Et bien justement! Vous êtes venus pour en promener non? Loubard n'est pas sorti depuis une semaine! Prenez le, et amenez le au parc avec vous et Tartiflette!

Quentin regarda sur le coté, blasé. Elle n'allait pas le lâcher. Autant il aimait les animaux , mais la grosse Bertha, moyen. Sa langue passa nerveusement dans l'intérieur de sa joue qui se crispa juste après.
- Ok. Mais que lui. Le reste ne logera pas.

- Oh merci merci !
Et vas-y qu'elle te lui secoue le bras comme une gosse et qu'elle court le chercher. Pourquoi il dit oui aux trucs les plus improbables? S'il ne le fait pas, personne ne voudra sortir ce chien. Ce n'est quand elle revient qu'il percute. Ah oui, un dogue allemand, il le savait mais , ... il ignorait qu'il faisait 1m40 à la tête. Du 1m10 au garrot en somme, un bon bestiau. Et là, il se maudit bien fort. Bon allez on embarque tout ça.


Une heure plus tard


En fait ce chien s'entendait à merveille avec son premier chien bien plus petit qui tapait dans les 40 cm de haut. Il ne le mordait pas, ne le bousculait pas, et le petit jouait avec. Il devait le prendre pour un chiot. Etonnant, Quentin ne s'attendait pas à ça. Occupé à leur balancer des balles, il vit passer une petite blonde en courant. A sa tenue, elle devait faire un footing. Sympa le chien qu'elle avait avec elle. Il était énerg... minute. Quentin se redresse , plissant les yeux. Ce chien n'était pas le sien. Elle était morte de peur. Oh merde. Et personne ne réagissait? Elle courrait depuis quand comme ça? Ils disparurent à un virage sous les arbres, dans un chemin de course comme il y en a beaucoup dans ce parc étendu. Il siffla Loubard et Tartiflette en partant en courant, une balle en main, les deux autres dans la gueule des deux chiens, qui dressèrent les oreilles et se stoppèrent. En voyant le psy partir, ils se mirent à lui courir après. Il renchérit en leur donnant un ordre " ICI ALLEZ!"

En quelques secondes, sac à dos à la main, il arrivera là où le chien aboyait et rageait en griffant l'arbre sur lequel était monté la demoiselle. Pas commode le clébard. Aussitôt qu'il le vit se tourner vers eux, son bras ne fit qu'un tour, net , geste précis , la laisse se referma sur le collier de Loubard et il enroula la laisse autour de sa main. Ok. Pas de geste brusque. Loubard retroussa les babines, et se mit à faire de gros aboiements lourds et graves, campés sur ses pattes puissants. Putain, il le sentait mal.
" Du calme..." et le chien qui grogne comme un cerbère, devant ce qui semblait être un espèce de bas rouge errant... Encore un... Les gens abandonnaient trop d'animaux... Comment leur en vouloir de vouloir se nourrir. Il ouvrit son sac et lui balança... son déjeuner, un bon gros sandwich. Et merde tiens, son sandwich! En fait il s'en foutait. Le chien se rua dessus et s'enfuit avec sans demander son reste. Mais Loubard ne s'arrêta pas là, ce qui obligea Quentin à tirer un coup sec sur la laisse: "Suffit! Assis." Pom. Le chien posa son cul sur le sol et tira la langue. Bon chien. Pas mal le Loubard. Il allait le féliciter quand il entendit un "Crrr...crrr." Oh merde, la fille. Lâchant la laisse, il leva les yeux, et se plaça dessous, pour se prendre la jeune femme et la branche dans les bras et sur la gueule aussi. Il ne sait pas trop comment il réceptionna le tout en fait. Et comme si ça ne suffisait pas, Loubard arriva plein pot, pensant que c'était un jeu et lui faucha les jambes. Tête en arrière, il sentit le poids de la blonde, échappa un cri grave et s'écrasa comme une masse par terre, grimaçant. Putain de journée. Aïe... Le ridicule ne tue pas et heureusement. Et Tartiflette qui suit le gros chien dans son délire et commence à tourner autour du duo. La jeune fille assis en vrac sur Quentin qui se tient l'arrière du crâne.
"Nom de dieu Loubard, couché !" Et le petit chien qui vient lui lécher la barbe. Mais non putain! Crédibilité zéro en trois secondes, mais au moins la fille s'est rien cassée.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Elle allait mourir. Là, près de cet arbre, en survêtement et en baskets roses. Et les derniers mots qu'elles auraient dit à Bret' seraient des mots un peu froids sous le coup de la colère. Voici les pensées de la jeune femme en cet instant précis. Le chien gratte l'arbre et elle se demande une seconde en combien de temps le chien pourrait gratter entièrement ce tronc. Elle a envie de pleurer mais n'en a même pas la force. Elle sent la branche céder sous son poids et elle se maudit d'avoir mangé un sundae au chocolat plus tôt dans la journée. Lulu n'est pas du genre à faire trop attention à son poids mais là, elle ne peut s'empêcher de penser que si elle avait deux kilos en moins, la branche se casserait sans doute moins vite. Puis personne ne lui vient en aide alors la pauvre blondinette a le temps de voir sa mort certaine lui éclater en plein visage. Elle regarde à gauche et à droite mais son regard est inlassablement attiré par le chien errant dont la bave coule le long de sa mâchoire. Elle se demande ce qu'elle a pu faire pour mériter être dans une telle situation. Situation qui était à la fois pathétique et terrorisante. Si Lulu s'en sortait vivante, elle était certaine que ce jour resterait gravé dans les annales.

Lulu n'avait jamais eu peur des chiens. Aussi loin qu'elle s'en souvenait, ses parents avaient toujours eu un chien à la maison. Lulu et son frère Valentin adoraient jouer avec les chiens de la famille. De là était né son amour pour les animaux. Malheureusement pour elle, tous les animaux ne lui rendaient pas cet amour. Le chien qui bave d'envie en la regardant et qui continue de gratter férocement le tronc de l'arbre ne semble pas vouloir lâcher l'affaire. C'est là qu'elle voit arriver son sauveur. Elle retient son souffle lorsqu'elle voit le chien attraper le sandwich et s'enfuir en courant. Elle es sauvée. Tremblante comme une feuille, mais sauvée. Elle souffle longuement de soulagement et en oublie que ses fesses sont posées sur une branche bancale. Ce n'est que lorsqu'elle craque sous son poids qu'elle se dit qu'elle n'a définitivement pas de chance, aujourd'hui. Heureusement, l'homme la rattrape au vol, tel un super-héros. Au passage, elle a du lui mettre un coup de basket dans l'épaule sans faire exprès et elle trouve la présence d'esprit de se promettre de s'excuser pour ça plus tard. Elle pense enfin être en sécurité mais bien vite, elle se trouve par terre, à moitié allongée sur l'homme qui vient de la sauver et un chien géant lèche de visage de ce dernier. C'est surréaliste. S'il n'était pas si sonnée et angoissée, elle aurait sans doute rigolé. Le  chien finit par lâcher celui qui doit être son maître et Lulu, comme toujours spontanée, se jette au coup de son sauveur : " Merci, merci, merci..." souffle-t-elle une bonne dizaine de fois. Dire qu'elle était rassurée était un euphémisme. Elle ne savait même pas comment remercier cet homme qui avait fait preuve de beaucoup de courage et d'ingéniosité. Elle finit par retirer sa tête du cou de l'homme et, malgré ses jambes flageolantes, elle réussit à se relever en grimaçant. Elle avait du se froisser un muscle dans la cuisse car la douleur était assez vive. Elle aurait voulu tendre une main à son sauveur mais malheureusement, l'énorme chien noir et blanc semblait en avoir décidé autrement parce qu'il tourna autour de Lulu et la fit à nouveau tomber sur le sol avant de venir lécher le visage de la belle blonde. Lorsqu'il eut finit, elle ne put cette fois s'empêcher de rire : "Il est affectueux votre molosse, dites moi." 
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)