jamais deux sans trois tu disais ? ❖ marc.

Les cours avaient repris, le Spring Break c'était terminé, on étaient rentrés ce week end et dès le lundi fallait remettre ça et là on étaient quoi mercredi ? J'étais débordé de boulot, aujourd'hui j'avais pas de permanence à faire à l’hôpital, un poids en moins mais ma journée était tout autant chargée. J'arrivais dans un des grands couloir du Yard et je croisais Aurore qui venait juste de pousser un petit cri d'énervement, je lâchais un petit sourire lorsqu'elle lançait la conversation, selon elle, heureuse de me voir Heureux également. lui dis-je Comment tu va depuis la Nouvelle-Zélande ? demandais-je, c'est vrai que depuis la dernière fois, on ne s'étaient pas du tout revu alors qu'on avaient espérer se revoir quelques jours après mais chacun était occupé je crois, on n'avaient pas à s'en vouloir puis elle venait de le dire et moi aussi, on étaient heureux de se revoir, c'était le principal. Je m'adossais contre le plan de casier qui longeait une grosse partie d'un des mur du couloir pour l'écouter, les mains dans les poches, le sourire aux lèvres et mes yeux évidemment perdus dans les siens comme toujours.

Bon bah tant mieux. lui dis-je après avoir su qu'elle allait parfaitement bien d'après ses dires, je souriais venant adosser mon épaule au plan de casiers qui surplombait le couloir, je la voyais se perdre dans mes yeux, moi aussi et c'est ce que je détestais le plus chez elle, c'est d'ailleurs comme ça qu'au Republik elle a su attirer mon attention, son regard, c'est son charme, clairement, enfin bref, son sourire m'avait manqué je dois dire mais j'étais heureux de le retrouver, la voilà son tour qui me demande ce qu'il y a de nouveau pour moi depuis la Nouvelle-Zélande Et bien, La tête de nouveau plongée entre les cours et l'hôpital, fallait s'y attendre. Sinon tout va bien. je lâchais un petit rire la voyant adopter la même posture que moi, s'adossant à un casier en ayant prit légèrement de la distance, on sait très bien que cette distance ne durera pas longtemps. T'as cours là ? lui demandais-je, je ne reprenais qu'à onze heure ça nous laissaient deux bonnes heures devant nous pour rester ensemble et remplir le fameux dicton 'jamais deux sans trois".

Voilà qui est intéressant. sortais-je l'entendant me dire qu'elle ne reprenait pas les cours avant quelques heures, ça nous laissaient du temps pour se retrouver. Et ce sourire restait lorsqu'elle me demandait si j'avais une idée pour faire passer le temps, bien-sûr que j'avais une idée, la façon dont je la regarde peu presque me trahir mais avant que je puisse répondre, ele affichait un grand sourire en se rapprochant de moi, son visage à quelques centimètres du mien pour m'avouer q'elle avait trouver une idée propice de m'intéresser , j'arquais un sourcil sans quitter es magnifiques yeux Puis-je savoir de quoi il s'agit ? lui dis-je venant remettre une de ses mèches de cheveux derrière son oreille.

Aurore avait une idée sur le point de m'intéresser pour passer le temps avant que nos cours reprennent, mais malheureusement elle refusait de me le dire, me laissant dans le doute. Enfin un doute qui laissait place à une quasi-certitude sur l'idée quand elle attrapait ma main pour se diriger vers une salle de cours vide, je souriais alors qu'elle me poussait dans la pièce, refermant la porte derrière elle Ah tu veux réviser, d'accord. dis-je en lâchant un petit rire la voyant s'asseoir sur un des bureaux du premier rang, je m'approchais d'elle et elle m'entoura de ses jambes, passant ses sur mon torse, je posais mes mains sur ses hanches, baissant la tete vers elle qui la montait vers la mienne au même moment pour que nos lèvres s’effleurent quelques secondes avant de crée un contact entre nos lèvres et que nos langues dansent entre elle. Mes mains relèvent son pull pour être au contact de sa peau et la caresser, je finissais par attraper son pull et lui ôter, il tombait sur le sol, je souriais Alors c'est quoi la leçon d'aujourd'hui ? dis-je passant une main sur sa joue avant d'approcher ma tête de la sienne et de pivoter pour déposer mes lèvres dans son cou.